Merci Sisyphe de votre intervention bien venue.
He oui, la force destructrice de l’atome civil est lente et moins impressionnante que celle du nucléaire militaire : on ne se promène pas avec des lambeaux de peau partout.
mais les souffrances que cela entraîne, sans oublier ces monstrueuses déformations, font douter de la raison des décideurs.
Votre conclusion est malheureusement d’une grande lucidité : l’impossible bilan.