Ce que j’évoquais n’est à mes yeux qu’un possible facteur du processus de modération qui, je pense, résulte d’une multitude d’autres facteurs. Qu’il y ait des articles publiés qui soient parfois véhéments, coléreux ou même agressifs n’est pas, en soi, preuve suffisante que la chose est admise et indiffère les modérateurs en toutes circonstances.
Pour ma part, étant d’orientation libertaire et prompt à faire fond sur l’intelligence collective, je crois que je préfèrerais un système sans modération où c’est les lecteurs qui voteraient pour un article et le ferait remonter du fond du classement jusqu’à la « une » où, en cas de grand succès, il pourrait même rester plusieurs jours, tant que durerait le plébiscite.
Une activité éditoriale serait toujours envisageable mais néanmoins beaucoup moins nécessaire. De la sorte tous les articles auraient leur chance. Mais bien entendu, il n’est pas exclu que cela présente des effets pervers ici et là.