Demander à des financiers d’aider au développement d’énergies qui cumulent des tas d’ « inconvénients » (notions de : gratuité au départ, autonomie, souplesse, pas de monopole, etc.) c’est quand même beaucoup leur demander...
C’est bien ça le problème de fond : où (c’est à dire au bénéfice de qui) mettre le compteur dans ces conditions ? Mais ne nous leurrons pas, ils y arriveront, après nous avoir vendu la dernière goutte/le dernier gramme d’énergie fossile à prix d’or, pardon, au prix du marché, pas avant.