Tout à fait d’accord, si les élites européennes n’avaient pas couvert les turpitudes de Polanski en érigeant une sorte de principe d’immunité au profit des « entre-nous », la juge n’aurait pas été aussi rigide envers DSK.
Les échanges lors de la présentation à la cour sont absolument clair là dessus.
Les élites européennes donnent une image de délitement complet et renforcent l’idée que nous ne sommes désormais des pays balkanisés, corrompus jusqu’à l’os renforçant le sentiment de ceux qui ne le sont pas qu’on peut nous manipuler et mener par le bout du nez sans que nous ne mouftions.
Il est temps de faire le grand ménage.