L’ogre doté d’un féroce appétit sexuel admet
désormais avoir eu un rapport sexuel avec la femme de ménage. Il nous
décrit posément le récit pornographique des aventures d’une jeune
soubrette qui aurait dit oui. Croit-il que le jury populaire qui sera vraisemblablement établi gobera
sa prude et renversante passade d’un jour pointant surtout le grossier mensonge produit par sa première version ?