L’argent repose sur du virtuel. Le FMI tout comme les banques
centrales ont créés des règles strictes
basées sur ce virtuel leur permettant ainsi le contrôle des nations. Pour asseoir
leurs pouvoirs, ils ont compris qu’ils
leurs fallaient prêter à outrance afin d’endetter par des taux usuriers
indécents les emprunteurs et ainsi créer chez eux une dépendance dont ils ne
pourraient se défaire. Les règles de ce jeu pervers, nous l’aurons compris, ne
serve qu’une bande de rapaces financiers minoritaires. Il suffirait de changer
ces règles pour que l’argent ne soit plus un but ou une fin en soi mais un
moyen d’échange, de partage et d’investissement de progrès social. Tout cela
relève d’un choix de société en passant obligatoirement par une juste
répartition des richesses, une reconnaissance du travail et de celui qui produit,
une forte taxation de la spéculation et une limitation de la richesse
individuelle. Cela nous ramène à l’éternelle question : « Voulons
nous que l’homme soit au service de la finance ou que la finance soit au
service de l’homme ? »