« Cela nous ramène à l’éternelle question : « Voulons nous que l’homme soit au service de la finance ou que la finance soit au service de l’homme ? » »
J’ai bien peur que ce que nous voulons ne présente pas le moindre intérêt pour les maîtres du monde. Nous (peuple) ne maîtrisons plus ni le frein, ni l’accélérateur, ni le volant. On nous l’a clairement signifié le 4 février 2008. Et pour reprendre le contrôle, ça ne sera pas de la tarte !
Pas besoin de se prendre pour Churchill pour prédire du sang et des larmes. A-t-on déjà vu dans l’histoire un despote se défaire de son pouvoir sans y être contraint par la force ?