Tant que le peuple aura encore quelque chose à perdre, la solidarité aura des limites.
Seulement aujourd’hui, les jeunes qu’ont-ils à perdre ? Ils n’ont rien : pas d’emploi, pas de logement, pas d’avenir, donc pas d’espoir.
Là, résidera le problème pour cette poignée de sangsues anonymes dont parle l’auteur de l’article. Les jeunes seront solidaires et plus encore dans l"avenir...