Bonjour, Cathy.
En réalité, seule une petite minorité de joueurs et joueuses de tennis vit largement de ce sport : ceux qui parviennent régulièrement dans les phases finales des grands tournois.
Rien à voir avec le football où même les joueurs lambda des clubs professionnels de D1 touchent au minimum un salaire de PDG d’un grand service public, les « stars » (je déteste ce mot) gagnant, et c’est effectivement très indécent, jusqu’à 200 000 euros par mois. On marche sur la tête !