En
fait la dictature des journalistes c’est plutôt un flagorneur, qui sert la soupe
à son maître, qui comme lui, occupe un quelconque poste d’élu depuis des
décennies. Ils font, l’un avec l’autre, des voyages d’études au frais de la
République, s’auto congratulent mutuellement et critiques les despotes arabes
qui s’incrustent pour s’enrichir sur dos des peuples.