« Putôt que de laisser la situation se dégrader, ou d’endetter encore plus
les pays comme la Grèce, l’Europe devrait être solidaire et décréter
d’une seule voix une réduction des dettes publiques des pays en
difficultés. Comme cela s’est déjà fait pour des pays émergents. On met
sa fierté dans sa poche et on se redresse. »
Cela signifie donc la spoliation d’épargnants, des assurances vies, des retraites.
La Grèce doit payer ou faire faillite. Obliger les créanciers à renoncer à leur dû est une grosse violation du droit, qui est à la base de la prospérité de notre société depuis qu’on a créé les institutions garantissant les droits de propriété et de contrats au 13ème siècle.
Sans compter que c’est faire éviter les conséquences à la mauvaise gestion des grecs.
Vu ce qui a été allongé pour sauver la Grèce, il aurait mieux valu les laisser faire faillite et sauver nos banques avec cet argent. Et la faillite de la Grèce aurait mis la pression sur les autres états pour mettre de l’ordre dans leur budget.
Pas question que les fourmis paient pour la cigale !