La classe ouvrière n’a jamais été homogène, c’est là l’erreur. Sans vouloir idéaliser cette dernière, on a qu’une vie et comme les parents veulent que leurs enfants deviennent médecins, avocats ou ingénieurs, les ouvriers aspiraient non pas à singer la bourgeoisie, mais à avoir une part du gâteau. Je conserve une immense admiration pour ces travailleurs, souvent syndicalistes, qui n’ont jamais transigé avec leurs principes, mais c’était une minorité.