C’est malheureux à dire, mais si les Grecs veulent éviter de finir comme esclaves, avec leurs filles en train de se prostituer pour vivre (flashback Europe de l’Est dans les années 90-2000), il va falloir qu’ils butent quelques uns de leurs dirigeants. Il faut qu’ils prennent les armes, c’est leur dernière option. Devant la violence du traitement qui leur est infligé, la protestation pacifique n’a plus de poids. Sortez les guillotines !
Aux armes !