Cette situation dramatique souligne le vide juridique abyssal qui existe dans pareil cas de figure, en effet, même si sur le plan somatique, il y a urgence et risque létal (en l’occurrence évanouissements sur la voie publique), à partir du moment où il y a refus de soins, de fait, l’on ferme les yeux sur la nécessité d’une intervention au nom de cet article de loi.