Quand on est en démocratie, il faut placer les gens face à leurs responsabilités. Si les gens veulent voter Le Pen, je ne vois pas tellement ce que je peux faire pour les en empêcher, au final. Ce n’est pas ce constant chantage au diable qui va changer quoi que ce soit. C’est une situation un peu trop confortable pour le PS, à mon goût.