Décidément l’histoire ne se répète pas, mais alors quand elle bafouille, ça tourne au sublime
au jour d’aujourd’hui cette affaire semble de plus en plus ressembler à l’affaire de Suez des années 50, avec les mêmes participants, à savoir
1 - le commanditaire masqué qui attise les flammes :l’état israélien via ses relais néo-cons
2 - les fournisseurs de chair à canon : la France et l’Angleterre
3 - le traitre de dernière minute : les américains (le sénat US a refusé de financer les rebelles)
4 - les vraies motivations : financières (tentative de faire main basse sur les ressources du pays attaqué)
A cela on peut aussi ajouter le fait qu’en face « on » a un chef incontrôlable et surtout incorruptible au libéralisme occidental (avec, oh curieux hasard, une prédominance à l’alliance avec la Russie (ou l’ex URSS)
et donc devinez comment ça va se finir....