par Courouve (IP:xxx.x3.102.41) le 18 mai 2006 à 00H10
Entre la clandestinité et l’exhibition, la minorité homosexuelle aurait pu choisir la voie de la discrétion ...
Cependant, à l’écart des lieux répertoriés « gays », une certaine bisexualité se vit de plus en plus dans d’autres lieux.
bi-sexualité : bien sûr il faut de tout pour faire un monde...
comment se pratique la bisexualité ?
1) un jour un homme et une femme
puis un jour un homme et un homme
puis une femme et une femme
puis une femme et un homme ;
2) l’alternance se pratiquant d’un jour sur l’autre
ou le matin puis l’après-midi ou le soir ?
3) se joue à deux, selon le shéma n°1 ? ou à trois : homme-homme-femme (fantasme de l’homme-sultan-harem par rapport à la femme-objet sexuel ou fantasme de la femme qui aurait un sentiment de domination face à deux hommes la "servant) ?
ou homme-femme-femme assouvissant leurs besoins de voyeurisme ou exhibitionisme saphique ?
ou à plus...(partouze)
est-on marié(e) ou pas ?
Si mariage il y a le(la) conjoint(e) est-il(elle) informée et consentante ou y-a-t-il tromperie ? le mariage est un contrat civil qui implique entre autres la fidélité...
Connaissez-vous beaucoup de conjoint(e) qui acceptent la bi-sexualité de leur compagnon-compagne. Au delà du contrat civil il y a une blessure psychologique d’une violence inouïe pour celui ou celle qui croyait construire un idéal de partage et qui découvre un jour n’être qu’un pion dans un jeu d’échec sexuel ; je ne veux pas écrire amoureux, bien trop rare sont ceux qui savent conjuguer
sexualité et amour qui implique la notion de maitrise de soit par rapport à toutes les copies grimacières de l’amour qui ne sont en fait qu’une satisfaction compulsive de tous les fantasme qu’il faut impérativement concrétiser ;
c’est bien connu : où y a d’la gêne y a pas l’plaisir