Cela montre bien l’impérieuse nécessité du retour au primat du politique.
La finance est un outil dont le contrôle nous a échappé parce qu’elle s’est affranchie des frontières, tout comme la mafia financière cosmopolite mondialisée qu’elle engraisse sans fin.
Croire en une démocratie mondiale qui pourrait maîtriser « la bête » est une pure illusion digne du monde à Babar. Ce sont donc les systèmes démocratiques nationaux qu’il faut restaurer - voire reconstruire - car eux seuls peuvent imposer l’intérêt du peuple face à celui des actuels « maîtres du monde ».
Nos politocards actuels, véritables hommes de main de la sus-mentionnée mafia, apparaissent maintenant clairement pour ce qu’ils sont : des traitres à la nation et au peuple.