Amusant ! Vous avez compris mon propos dans le sens opposé !
Je serai plus précis la prochaine fois.
J’ajoute donc des précisions : le système démocratique suisse n’est pas une démocratie directe. Elle est à qualifier de semi-représentative ou semi-directe (je dirais participative) car il y a toujours des élus jouant le rôle de représentants.
En partant de là, je pense que l’on peut deviner que quand je dénonçais l’effet corruptible exercé sur l’individu face au pouvoir, je dénonçais évidemment la représentativité et par conséquent toute forme de « démocratie » qui en use.
Donc d’après moi, le fait de négliger l’effet corruptible du pouvoir dans le cadre même d’une « démocratie » participative est causé par l’idéal de l’auteur et non par la réalité.