Ce n’est pas le faciès (au sens large du terme bien entendu) de l’émetteur ou du passeur d’une idée qui prime, mais l’idée en elle-même.
J’ai lu des choses extrêmement intéressantes sans connaître le nom de leur auteur, ou même si son nom était présent, sans vérifier que cela pourrait véritablement correspondre à son état civil, et je suppose qu’il pourrait en être de même pour vous.
Avez-vous lu du Stendhal ?
Marie-Henri Beyle dit Stendhal...
Emile Ajar... et il y en a vraiment beaucoup d’autres, alors piètre remarque probablement...
Pour ce qui est de la « pensée en liberté » : eh bien libérons-la de la contrainte du nom, quand cet contrainte représente une impossibilité d’émettre la pensée, et ce type de cas existe.