Bonjour, Olivier.
A en juger par le nombre de girouettes qui s’agitent dans espace, les vents sont décidément bien changeants. Des girouettes de couleurs très variées qui donnent à notre paysage politique un caractère bigarré.
A nous, électeurs, de rompre avec notre naïveté passée. A nous de renvoyer à leurs collections de timbres ceux qui se sont montrés plus habiles à retourner leur veste qu’à pendre des décisions efficaces dans le sens d’une plus grande justice sociale.
Cordiales salutations.