"On ne pourra plus affirmer que le « pouvoir » fait pression sur la
Justice, ce n’est pas le moindre des intérêts de cette enquête."
Entre le refus d’une enquête (entraînant immédiatement l’accusation de juges aux ordres ) et l’ouverture d’une enquête, le pouvoir a choisi le moindre : l’enquête !
C’est de notoriété publique que lorsque l’on veut enterrer une affaire, on nomme une commission d’enquête.
Gageons que nous allons prochainement apprendre que l’enquête est délicate, qu’elle nécessite des investigations approfondies qui vont prendre du temps. Les mois (années ?) vont s’écouler et l’enquête va disparaître dans les sables mouvants administratifs.
Bien joué, les malfrats !