Bonjour, Caramico.
Après les bides sportifs, voici le bide médiatique. Et quel bide ! je crains pour Domenech que son étoile n’ait dangereusement pâli dans cette reconversion ratée.
Rien à voir, mais utile à rappeler à ceux qui ont pu voir en Domenech l’humaniste dont il a essayé de monter l’image avant ses fiascos : du temps où il jouait, il ne connaissait pas plus la morale sur le terrain. Souvent truqueur, toujours rugueux, parfois violent, il a laissé non l’image d’un footballeur digne de ce nom, mais celle d’un individu prêt à tout pour parvenir à ses fins.