Villiers n’est pas un Français comme un autre.
C’est un homme politique qui a passé la campagne du référendum européen à nous assommer avec les « plombiers polonais » et les « électriciens lituaniens » et qui a contribué à donner une image détestable de la France en Europe centrale et orientale.
A ce titre, c’est effectivement sacrément culotté d’aller imprimer ses livres en Hongrie.
Il s’est pris les pieds dans son populisme, si j’ose dire.