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Lorelei Lorelei 25 août 2011 14:37

faux personne ne zappe la preuve

" il semblait initialement que, vu la rapidité du rapport, il était probablement non consenti. Initialement. Après il y a changement de point de vue. Cela n’est pas factuel, c’est l’impression initiale du proc, impression qui changera entièrement."

faux il n’y à aucun moment ecrit : j’ai changé de point de vue et que le rapport etait consenti
 il est ecrit qu’au début de l’enquete le procureur croyait que la relation a été non consensuelle mais que les mensonges de diallo associés à une impossibilité de faire pencher le rapport médical dans une direction rende le procès impossible...voilà la réalité,

le mot au début veut dire à la base initialement etc..

et dans la traduction faite par rue 89, citée dans l’article et verifiable donc il est ecrit...

Des preuves montrent enfin que la plaignante n’avait pas connaissance au préalable du séjour de l’accusé à l’hôtel, ce qui lui aurait permis d’organiser une rencontre entre eux, et qu’elle est entrée dans la suite de l’accusé pensant qu’elle était vide. D’autres preuves étaient cohérentes avec l’idée d’une relation sexuelle non-consentie entre la plaignante et l’accusé.

Comme décrit ci-dessus, la plaignante aurait laissé éclater son désarroi face à ses deux responsables. Tous deux ont été auditionnés par un procureur dans les premières 48 heures de l’enquête, et ont rapporté qu’elle était apparue bouleversée.

Un résultat préliminaire des tests d’ADN conduits par l’Office of Chief Medical Examiner (OCME) a établi que plusieurs taches situées sur la partie supérieure de l’uniforme d’hôtel de la plaignante contenaient du sperme qui fournissait l’ADN de l’accusé.

Bien que ce résultat d’expertise préliminaire n’ait pas déterminé si la relation sexuelle entre la plaignante et l’accusé était forcée, il a établi que l’accusé avait pris part à un acte sexuel avec la plaignante. Une enquête rapide a également indiqué que la rencontre entre la plaignante et l’accusé fut brève, suggérant qu’il était peu probable que l’acte sexuel soit le produit d’une rencontre consensuelle

En se fondant sur de multiples entretiens avec la plaignante et une évaluation de toutes les preuves disponibles à l’époque, les inspecteurs de la police de New York et procureurs qui ont parlé avec la plaignante pendant la phase initiale de l’enquête sont arrivés, individuellement, à la même conclusion. Chacun a trouvé la plaignante crédible et était convaincu que les charges criminelles étaient fondées. En conséquence, l’affaire a été présentée devant un grand jury et l’accusé a été inculpé.

et ne parlons pas de ce qui se passe à sarcelle et de la subordination de témoins dans cette affaire..

en préambule le procureur dit en substance qu’il y un doute raisonnable à son non culpabilité, avec ça on ne va pas loin..


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