Assez d’accord si ce n’est que je ne vois pas pourquoi figer le progrès humain en notre époque plutôt que de le laisser progresser encore.
Progresser jusqu’à un point où, à force de maturité individuelle et collective, nous n’écririons plus : « Il serait catastrophique qu’il n’y ait plus d’appels à lyncher ».