Certes DSK n’est toujours pas blanchi. Mais le discrédit jeté par le procureur Vance lui-même sur son accusatrice qu’il qualifie de « untruthful » (qui ne dit pas la vérité) dans sa lettre du 30 juin 2011 à la Défense, conduit à imaginer raisonnablement, sous réserve que toute charge soit abandonnée contre l’accusé, une suite à cette affaire.
Des « deux hypothèses pour une énigme » qu’on a dès l’origine avancées (1), celle qui tend aujourd’hui à l’emporter sur l’autre pose à son tour une nouvelle énigme dont deux nouvelles hypothèses différentes sont susceptibles d’être la solution :
1- la plaignante a-t-elle agi seule ?
2- Ou n’est-elle que l’agent d’une machination programmée par un groupe ?
Or, une fois de plus, les indices dont on dispose peuvent étayer l’une ou l’autre hypothèse sans qu’on puisse les départager à ce jour.
1- Première hypothèse : une initiative solitaire d’un chantage financier
L’hypothèse d’une initiative solitaire est la plus simple. La plaignante peut avoir eu l’idée de gagner de l’argent facilement et rapidement en exerçant un chantage financier sous menace d’accusation de viol.
1- Une hypothèse vraisemblable
Nul besoin de chercher longtemps pour lui prêter des mobiles vraisemblables. Elle est modeste, perçoit un salaire de femme de chambre dans un hôtel de luxe. Elle est donc en contact quotidiennement avec des membres de la ploutocratie mondiale : les suites qu’elle nettoie, coûtent pour une seule nuit son salaire mensuel sinon plus. Elle peut avoir conçu l’idée de piéger un client richissime pour le faire chanter après l’avoir attiré par leurre d’appel sexuel dans un traquenard.
Ce genre de délit ou de crime n’est pas rare. DSK lui aurait semblé une proie toute désignée : c’est un homme politique mondialement connu à la réputation de coureur invétéré, et donc prêt à tout faire sans doute pour s’éviter un scandale. Deux solutions alors se présentent :
- ou l’opération a échoué dans un premier temps car DSK aurait refusé de payer, qu’il y ait eu relation sexuelle tarifée ou non.
- Ou l’opération visait directement un développement judiciaire par accusation de viol après collecte d’indices ADN par exemple pour obtenir des dédommagements importants.
2- Trois objections
Cette hypothèse est recevable mais se heurte à trois objections.
- Pour peu qu’on la « mette en série » dans la suite des nombreuses affaires qui ont impliqué une personnalité politique de premier plan, souvent l’agression perpétrée est imputée à l’initiative d’un individu solitaire qu’on fait parfois passer pour fou. C’est un écran usuel pour masquer une opération collective concertée. L’exemple emblématique reste l’assassin officiel du président Kennedy, Lee Harvey Oswald, lui-même assassiné 48 heures après dans les locaux de la police de Dallas, comme s’il s’agissait de l’empêcher de parler : il a été présenté comme un tueur solitaire et un un peu dérangé. Or, qui croit aujourd’hui à cette version officielle de l’assassinat du président Kennedy près de cinquante ans après ?
- L’autre objection est la date de l’agression alléguée, ce 14 mai 2011. Pourquoi DSK qui passe pour être un coureur inélégant qui importune les femmes par ses assiduités inconvenantes, ne s’est-il pas fait prendre dans les années précédentes, à l’exception de son aventure avec une employée hongroise du FMI en octobre 2008 ? C’est le hasard, répondront certains. Dans ce cas, il fait bien les choses et les adversaires de DSK ont tout lieu d’élever à la déesse romaine de La Fortune un temple pour les avoir si bien servis et débarrassés d’un gêneur sans coup férir.
Mais on ne peut s’empêcher d’établir une corrélation avec les proches échéances politiques capitales pour la suite de sa carrière : ses projets de création d’une monnaie de réserve internationale sous l’autorité du FMI susceptible d’ indisposer la puissance américaine peu encline à voir les DTS (Droits de Tirage Spéciaux) remplacer le dollar, et une probable candidature à la présidence de la République française.
- La troisième objection est justement l’image d’un homme pour ces raisons sur le qui-vive, donnée par deux témoignages (2), que sa récente expérience de harcèlement sexuel d’octobre 2008 pouvait avoir échaudé. Qui sait d’ailleurs si ce n’était pas déjà un premier leurre d’appel sexuel destiné à le faire tomber ? Il aurait même au cours d’un déjeuner confidentiel, le 28 avril précédent à Paris, imaginé le scénario d’une femme payée 500.000 ou 1 million d’euros pour l’accuser de l’avoir violée dans un parking.
2- Deuxième hypothèse : une machination organisée
La deuxième hypothèse d’une machination organisée a le mérite de répondre à ces objections, mais en soulève une autre à son tour..
1- Une hypothèse vraisemblable
- Une femme de chambre, agent en mission
La femme de chambre serait l’agent dont la mission aurait été de servir de leurre d’appel sexuel auprès de DSK pour recueillir les indices d’une relation sexuelle déguisée en viol. Divers scénarios sont possibles et d’autres sans doute pour lesquels on manque d’imagination. Le plus simple est une relation d’abord consentie pour laquelle DSK à l’appétit insatiable ne se serait pas fait prier, tournant à la dispute au moment de la formulation du chantage : « Tu paies ou je fais un scandale ».
- Le déroulement minuté et rapide de l’opération
* On observe, ensuite, une grande célérité de la police non seulement dans l’arrestation de DSK mais surtout dans la divulgation de l’information au monde entier, qui ferait penser à un plan minutieusement préparé.
* Les deux chorégraphies honteuses de la sortie du commissariat de DSK menotté dans le dos entre deux policiers, et de son entrée au palais de justice sous les huées de femmes de chambre ameutées, a-t-on dit, par un syndicat new-yorkais, paraissent aussi avoir été minutieusement organisées pour achever de convaincre de la culpabilité du prévenu qu’en démocratie pourtant on tient pour présumé innocent avant tout jugement.
- Des instigateurs possibles
Qui pourrait avoir fomenté cette possible machination ? DSK a assez d’ennemis pour qu’on ait l’embarras du choix. Il était considéré comme un rival dangereux à la prochaine élection présidentielle française. Lui même soupçonnait le russe Poutine de vouloir le chasser du FMI. Et, on l’a dit plus haut, la puissance américaine ne pouvait pas accepter de voir leur monnaie le dollar céder la place à une monnaie de réserve, les DTS, sous l’autorité du FMI.
2- Une objection
Cette hypothèse suscite cependant, elle aussi, une objection.
- Le choix incompréhensible d’un agent vulnérable
* Il ne faut pas mépriser l’adversaire. On en a fait le reproche à ses adversaires en échafaudant un scénario où on lui fait jouer le rôle d’un benêt : il aurait succombé à la seule vue d’un leurre d’appel sexuel. C’est oublier le contexte politique et l’extrême prudence dont, selon des témoins, il entendait faire preuve.
* Et, depuis les révélations du procureur dans sa lettre du 30 juin à la Défense (2), cette machination supposée, organisée par des ennemis de DSK, trahit l’amateurisme. La femme de chambre paraît avoir été choisie en dépit du bon sens. Les louanges sur ses vertus de femme méritante, chantées en chœur dans un premier temps par les médias officiels, n’ont pas résisté à l’enquête du procureur. Des instigateurs professionnels auraient-ils pris le risque d’exposer leur entreprise à l’échec en recrutant un agent aussi vulnérable, qui a accumulé les mensonges selon le procureur ? « « The complainant, écrit-il, was untruthful with assistant district attorneys about a variety of additional topics concerning her history, background, present circumstances and personal relationships. » (3) ?
- La vie de la femme de ménage en danger ?
Ou alors il faut craindre pour sa vie dans les jours qui viennent. On supprime en général l’agent utilisé après sa mission pour éviter qu’il ne parle et permette de remonter aux instigateurs qui l’ont engagé. Lee Harvey Oswald a été abattu dans les lieux même où l’on pouvait penser qu’il était le mieux protégé, les locaux de la police de Dallas.
À l’image des poupées russes imbriquées les unes dans les autres, l’affaire DSK pourrait bien ouvrir sur un nouveau jeu de deux hypothèses d’égale fiabilité, s’il s’avère que l’accusation de viol n’est plus retenue en raison du discrédit de l’accusatrice reconnu par le procureur Vance lui-même. Certains indices rendent tour à tour vraisemblables ou improbables l’initiative solitaire d’une femme de chambre pour extorquer de l’argent par chantage et la machination organisée où elle aurait servi de leurre d’appel sexuel pour écarter DSK de ses fonctions de directeur du FMI et de toute candidature à l’élection présidentielle française. Comme dans la première partie de l’affaire dont deux hypothèses d’égale fiabilité mais contraires pouvaient résoudre l’énigme, la folie est de conclure sans preuve et la prudence, au contraire, d’emprunter le même chemin de crête à égale distance des deux hypothèses nouvelles pour ne pas rouler dans l’abîme tant que des indices décisifs ne seront pas recueillis. Paul Villach
(1) Pierre-Yves CHereul, "L'affaire DSK, deux hypothèses pour une énigme", Éditions Golias, juin 2011.
(2) Antoine Guiral, « Oui, j’aime les femmes, et alors ? », Libération, 16 mai 2011.
Nouvel Obs.com, « Bartolone : DSK pensait que Poutine et la France voulaient « le virer du FMI » », 19.05.2011
Petit problème mon gars. Il faut lire les informations. Les cartes magnétiques confirment la thèse défendue par la femme de chambre depuis le début. Un gros hic. Elle n’a plus menti, du moins en ce qui concerne la relation des faits. Il semble plutôt que le procureur se fourvoyant depuis le début sur la manière d’agir ayant perdu deux procès récemment ait eu une peur panique de perdre le procès alors qu’il y voyait une belle publicité et s’est organisé une petite sortie en beauté. Malheureusement pour lui les faits contredisent sa version du mensonge de la femme de chambre pour ce qui a suivi les événements. Tout comme confirme les éléments médico-légaux. Cela fait beaucoup maintenant. Et vous oubliez le très gros mensonge de DSK. Sa défense du début était qu’il ne pouvait y avoir eu d’agression car au moment des faits supposés il n’était pas là. Ce mensonge ne vous en soulève pas une. La défense a fait un virage à 180 ° quand les tests ADN ont prouvé le contraire. Sa non présence sur les lieux s’est transformée par miracle en relation consentie. Alors si un mensonge aujourd’hui annulé de la femme de chambre porte discrédit sur sa plante qu’en est-il d’un mensonge avéré et confirmé de DSK ? Ce mensonge conforterait donc sa version à lui sans la mettre un petit peu en doute ?
Monsieur, Vous abordez l’information avec la même désinvolture que vous le faites avec un interlocuteur.
Votre article d’hier vous disqualifie ! Vous n’êtes même pas capable de faire la différence entre information fiable et information non fiable.
Les ragots, colportés par la presse populacière qui s’est illustrée comme l’on sait dans la première phase de l’affaire, vous semblent aussi fiables que les informations accréditées par l’autorité judiciaire qui en vient à devoir avouer ses erreurs par écrit dans une lettre à la Défense et par une révision radicale des mesures de surveillance imposées au prévenu : cela se nomme une information extorquée dont plus fiable qu’une information donnée.
De grâce, allez jouer avec le New-York Post ou le Daily News, c’est le bac à sable qui vous va comme un gant ! Paul Villach
Désormais, je n’ai plus beaucoup de doute sur le fait que DSK est coupable. La fermeture du dossier est trop opportuniste : juste au moment où la preuve est apportée que la femme de chambre n’a pas menti sur les faits (cartes magnétiques). Bref, on prend la décision au meilleur moment pour DSK. Cela sent trop la combine...
autant je diverge souvent de vos opinions, voire même je n’apprécie pas, autant cette fois je ne peux m’empécher de soulever les mêmes doutes que vous sur cette affaire..
c’est tout de même gros toutes ces coincidences....
j’ajouterai ceci : Poutine a lui-meême dit que ça sentait le coup monté...
et je pense que question coups-montés, il n’est pas novice...
j’essaye de retrouver un article en parlant. et je met le lien.
1°) Dans l’hypothèse d’une machination, il faudra se méfier comme la peste de l’argument non scientifique « post hoc ergo procter hoc » .
En effet, d’aucuns n’hésiteront pas à faire des spéculations plus qu’hasardeuses sur deux coïncidences temporelles amusantes : l’accusation contre DSK s’est effondrée immédiatement après l’accession de Christine Lagarde à la tête du FMI et après la candidature officielle de Martine Brochen « Aubry » à l’investiture du PS, candidature qui n’aurait jamais eu lieu si DSK avait été candidat . Autrement dit l’accusation contre DSK est tombée en vrille dès qu’il a cessé d’être un obstacle à certaines ambitions.
Cette coïncidence temporelle n’implique évidemment pas que l’une ou l’autre de ces deux femmes ait quoi que ce soit à voir avec une éventuelle machination !
2°) L’objection à l’hypothèse de la machination qui consiste à dire que le choix d’un « agent vulnérable » est incompréhensible n’est peut-être pas si solide que ça.
L’histoire des services secrets fourmille d’anecdotes qui montrent qu’au contraire, les agents vulnérables sont d’autant plus faciles à manipuler, et donc à recruter, qu’ils sont vulnérables :
- soit ils ont des « cadavres dans le placard » et donc ils peuvent faire l’objet d’un chantage ,
- soit ils sont prêts à tout pour gagner de l’argent, ce qui n’est évidemment pas le cas d’une personne irréprochable, et l’appât du gain va être pour eux un moteur puissant !
- et enfin, on voit mal ce qui pourrait inciter une personne totalement irréprochable à simuler un viol pour servir des intérêts qui ne sont pas les siens.
Si machination il y a, son instigateur peut avoir eu trois motifs :
- se débarrasser au plus vite du chef du FMI
- se débarrasser d’un candidat à la présidentielle française
- un motif d’ordre privé ( la vengeance élaborée d’un riche mari trompé, par exemple ).
Or, ces motifs n’avaient pas besoin, pour aboutir, que DSK passe soixante dix ans derrière les barreaux ( ce dont il était menacé si l’affaire avait fait l’objet d’un procès ) . Le fait est que, en l’espace de quelques jours, DSK n’était plus directeur du FMI, avait perdu quasiment toutes chances d’être élu président de la République, et a suffisamment été emmerdé, humilié, et perdu argent et avenir professionnel pour qu’un hypothétique riche mari trompé s’estime amplement vengé.
La seule chose dont avait besoin l’hypothétique instigateur d’une hypothétique machination était que l’accusation tienne le coup pendant quelques jours ou semaines, ce qui pouvait parfaitement être obtenu par un « agent vulnérable » tel que pourrait l’être l’accusatrice de DSK.
S’il y a machination, la grande difficulté sera de retrouver l’éventuel ou les éventuels responsable(s) de celle-ci. Or, nul doute que ceux-ci, s’ils existent, ont pris le plus grand soin de brouiller les pistes et de ne laisser aucune trace ...
Cependant, si, dans l’hypothèse d’une machination, le choix d’un agent vulnérable s’explique comme vous le faites très bien, vous savez que souvent il est ensuite éliminé. C’est pourquoi une disparition de la plaignante serait un indice de machination.
Dans le cas contraire, avouez que les instigateurs auraient pris le risques d’être démasqués. Mais comme vous dites, ils ont pu cloisonner les relations de sorte que l’agent sur la sellette ne puisse fournir aucune information compromettante. À suivre... Paul Villach
Tiens, c’est marrant !! des conspirationnistes à la petite semaine......
Merci à vous deux d’avoir enfin levé le voile de la vérité sur le complot judéo-maçonnique illuminati des femmes de chambre ayant planifié la dépopulation oligarchique !! Villach et Doctory, nos meilleurs truthers !! Bravo les gars, grâce à vous, la populassière chienlit qui passe son temps à comploter contre nos braves, purs et honnêtes guides néo-libéral vont commencer à trembler dans leur caleçon...... À quand le TPI des femmes de chambre génocidaires ?....
Si je comprends bien, je résume, il y deux solutions : ou DSK est innocent, ou la femme de chambre est coupable.
C’est ça ? J’ai bon ?
Heureusement, quoi qu’il en soit, la femme de ménage sera sévèrement punie, ceci afin de dissuader à l’avenir les misérables de porter plainte contre les richards ! Non mais !
D’où tirez-vous ces informations ? De l’immonde presse populacière ? Décidément elle vous ressemble ! Vous n’avez jamais appris à faire le tri entre information fiable et information non fiable ? Où l’auriez-vous appris, c’est vrai ? Allez jouer avec le New York Post ou le Daily News, ces journaux qu’on aurait accrochés autrefois, découpés en huit, dans les cabinets au fond du jardin pour l’usage que vous savez ! Paul Villach
Écoutez, si vous avez envie de défendre les malades du slip en col blanc, c’est votre affaire..... J’abonde dans votre sens pour déclarer sans embage que la presse merdiatique en général n’est qu’une simple et pâle copie de la Pravda Stalinienne, c’est sûr que parler de l’affaire DSK est un bel exemple de rideau de fumée.....cela évite de parler de sujets ô combien plus importants comme par exemple, les trois réacteurs en fusion de Fukushima, l’escroquerie financière, le 11 septembre, les guerres impérialistes, les scandales politiques....etc.etc.. Donc, je vous laisse continuer de vous amuser dans le bac à sable confectionner quelques jolis pâtés.....vous le valez bien yes, we Kahn !
Et comment expliquez-vous qu’en très peu de temps, le NYT ait viré sa cutie ? Ily a peu ses meilleurs journalistes avaient enquêté partout sans rien trouver. Et aujourd’hui... Vous croyez la presse américaine moins pourrie que celle de l’hexagone ?
Au sujet des expertises des clés qui confirment la version première : il faut croire que la défense et tous les pourris qui l’accompagnent se sont rendus compte que persister à désinformer sur ce point - à savoir, que Mme Diallo aurait fait le ménage dans une autre chambre avant de se plaindre, et n’était donc pas bouleversée -, était à double tranchant : en effet, cette version des faits aurait pu accréditer le fait qu’il n’y avait pas de complot.
Ce qui donne à penser sur leurs manières de faire et défaire l’opinion publique.
Cela renvoie aux multiples versions des faits présentées par la défense cependant que la version de la plaignante n’a pas varié d’un iota. Cherchez l’erreur qui fait que DSK se promène aujourd’hui librement à NW aux bras de celle qu’il a humiliée devant le monde entier.
On a l’air de se raccrocher à ce que l’on peut : maintenant les clefs des femmes de ménage...
Hum sauf saisie immédiate par la police du passe de la plaignante, et de son empreinte magnétique tout autant immédiate , je reste assez perplexe sur la validité de ce « rebondissement » !
Et voilà le futur dépot plainte de cette journaliste suivie sans doute de plainte de DSK pour dénonciation calomnieuse, joli feuilleton de l’été.
Curieux que le New York-Post participe au lynchage de DSK. Le New York-Post appartient à Ruppert Murdoch grand ami d’Israël et sioniste notoire. Un sioniste attaquant un autre sioniste ? Si les loups commencent à se dévorer entre eux c’est que d’importants intérêts sont en jeu... Le château de cartes de la finance pourrait s’écrouler plus vite que les tours du WTC. Wait and see.
tous les travers des hommes politiques importants (addiction au sexe dsk ,masochisme ,adultère ,pédophilie,drogue ,anciennement pédérastie,jeux ,prévarication ,détournement de fond ,pot de vins ,abus de biens sociaux ,rapports d’expertise bidons ) sont connus de tous les services secrets (fichiers biens à jours ) . ces travers se perpétuant ils peuvent être dénoncés/médiatises au moment choisi par la cia/pouvoir occulte derrière sans que la victime soit au courant /complice ( dsk/diallo ) il est évident que l’affaire dsk/diallo aurait pu être étouffée (par la mort accidentelle de diallo si nécessaire !) mais ordre à été donné de laisser filer comme ordre à été donné maintenant que laguarde /usa est au fmi d’effacer cette petite affaire qui n’est que du troussage de domestique vu qu’il n’y a pas mort d’homme !
je répete plus généralement !
pour renter dans la vraie maffia il faut avoir
tué et laissé des preuves a celle -ci comme garantie de non
trahisons !
en politique qui n’est qu’une activité maffieuse à couverture
« légale » pour y entrer il faut aussi donner des gages et être
mouillé ! un pacte tacite de non agression sur ce sujet relie tout ce
beau monde
tout politique honnête et voulant le rester (pas aller à la
soupe !) est détecté au niveau local /municipal /syndical s’il est jugé dangereux et se voit neutralisé ,exclus ,vilipendé !
je ne cite personne mais j’invite tous les gogos à se poser des
questions !
babayaya : « ouais bin moi je dis qu’il aurait du mettre une capote, et hop envolées les preuves »
Cette réflexion me fait penser, puisque nous en sommes aux élucubrations en tous genres, à ceci : qu’est-ce qui empêche d’imaginer que la femme de chambre n’a pas récupéré, dans la poubelle qu’elle venait vider, l’éventuel préservatif utilisé puis négligemment jeté quelques heures plus tôt lors de la visite nocturne avérée d’une « dame », pour en répandre le contenu sur ses propres vêtements et ainsi constituer une « preuve », qui est pour l’instant l’un des seuls éléments, apparemment irréfutable (ADN oblige), qu’on puisse opposer à la défense de DSK ? Ca ne serait pas la première fois qu’un tel scénario aurait été élaboré...
PS : non, je n’écris pas (encore) de romans, mais j’y songe.