Capitalisme malveillant, socialisme corrompu, bêtise, trilogie d’un naufrage français
Barista, gestes barrières, hôte de propreté, « entretien présentiel », la novlangue qui a envahi notre champs lexical est le stigmate d’une société déracinée qui a perdu le contact avec la réalité et le bon sens nécessaire à la survie de toute civilisation.
Capitalisme malveillant
Facebook ou Google, sont les emblèmes de ce soft power mal intentionné. Multinationales qui sèment le mensonge sous couvert de bienfaisance, ne paient pas d’impôts ou à peine, manipulent les élections de nombreux États, font croire au succès d’un produit médiocre, ou condamnent à l’obscurité le petit entrepreneur doué grâce à leurs algorithmes (suite d'ordres informatisés). Ententes de marché, concurrence déloyale, restriction d’audience discrète (shadow banning), toute la panoplie des armes du capitalisme malveillant 2.0 est utilisée par ces groupes tentaculaires dont le seul but est de « faire de l’argent » et non pas d’améliorer notre destin commun. Comme Prométhée les "techs" de la Silicon Valley ont volé le feu aux dieux, non pas pour éclairer l’humanité, mais pour la priver de lumière.
Socialisme corrompu
C’est un socialisme qui n’a plus de socialiste que le langage. Anti social, malveillant et destructeur, il taxe de manière outrancière la petite entreprise, le travail honnête, l’effort, et le mérite, et transforme le peuple en sous hommes malheureux et obéissants. Il est transgenre, poli, policier, pervers, jaloux, vieux et malhonnête. Il a repris toutes les pratiques et les réflexes du stalinisme à ceci près qu’il ne sert plus le Parti, mais le CAC 40. En « marche » main dans la main avec la banque, il est l'héritier naturel du corporatisme musolinien. Il fabrique à coup d’aides et de subventions des milliardaires qui se servent de l’État pour racheter des entreprises publiques, privatiser les bénéficies et nationaliser leurs pertes qui sont toujours au bout du chemin. La France est le fer de lance de ce socialisme corrompu et ce n’est pas un hasard si l’homme le plus riche du monde est français, alors qu'il n'a rien inventé contrairement à son alter égo américain. C'est un pur produit de la fiscalité française.
Avec sa « redistribution sociale », sous couvert de « solidarité », l’État français vole impunément les petits entrepreneurs -les empêchant grâce au poids de l'impôts et des taxes de concurrencer les grandes-, confisque à ceux qui travaillent courageusement, pour gaver de subventions tout un tas de parasites et entretenir ceux qui ne travaillent pas pendant que l’hyperclasse abrite bénéfices et fortunes mal acquises dans des paradis fiscaux.
L’hypocrisie, synonyme du mot mensonge, consubstantielle au socialisme corrompu.
En France contrairement aux États-Unis, le mensonge n’est pas sanctionné devant les tribunaux. Les avocats ont le droit de mentir car il faut bien que les juges « socialistes » complices du « Grand Capital » aient quelque chose à écrire dans leurs parodies de décisions de « justice » qui donnent trop souvent raison aux riches contre le droit.
La subvention, l’autre nom de la corruption.
Le média, émanation du mot latin « moyen », est l’arme de ce complexe militaro industriel corrupteur. A ce titre, si la publicité mensongère est punie de 5 ans d’emprisonnement, la « presse » a elle le droit de mentir et même de vérifier l'information. Il serait plus exact de dire qu’elle donne une imperceptible torsion à la vérité, comme le diable.
La bêtise.
Elle n’a pas de visage sinon celui des Français crédules et/ou arrogants. Mais sans elle rien ne serait possible. Parqués dans les enclos de la pensée unique, les moutons de la bergerie française tombent dans tous les panneaux idéologiques que lui sert l’oligarchie malveillante. « Je suis Charlie », « anti fas », « néo libéraux », woke culture, autant de têtes de gondoles politiques pour les gogoles, et de concepts pièges a cons promus par l’élite, qui permettent d’opposer « les mêmes » et de s'arranger à ce qu'ils ne comprennent jamais les causes profondes de leur misère. Manipulé et rançonné, le Français « tertiarisé » a perdu son bon sens paysan. Pour survivre dans ce merdier et face à la détestation de soi, il a besoin quand il ne peut s'échapper à l'étranger, de beaucoup de café, de clopes, d’anti dépresseurs et de jeux de grattage. Sans oublier le foot, l’alcool, le porno, et j’en passe.
Reflexe conditionnés peur et jalousie.
La jalousie n’est pas spécifiquement française, contrairement au mensonge que distille les médias, elle est la fille naturelle des lois françaises et en premier lieu des lois fiscales en vertu desquelles chacun est inégal.
A force de créer des catégories de citoyens inégaux devant l’impôt, et de distribuer avantages et punitions différentes à chaques catégories de Français que la loi a créé en violation du principe de l’égalité inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, le socialisme corrompu et son maître, le capitalisme malveillant, sont parvenus à fractionner la société et à dresser chacun contre l’autre, et chacun contre soi.
Est-ce étonnant que la Russie, la Chine et l'Inde s'éloignent de ce « modèle démocratique » et lui préfèrent les anciens autoritarismes ?
Peut-être que pour bâtir une communauté humaine digne de ce nom, il faudrait prendre comme particule élémentaire l’homme avec un petit h, c’est-à-dire chacun en ce qu’il a d’unique, plutôt qu’une « idée » échafaudée artificiellement avec un grand H par une « élite » « capitaliste » ou « socialiste » qui imagine et fabrique des buts selon les lubies du moment, suivant l'appât du gain, en le broyant chemin faisant comme un conbustible.
Les courants de pensée révolutionnaires même bien intentionnés mènent toujours au massacre des masses comme l'a démontré Albert Camus dans son magistral ouvrage « L’homme révolté ». Il n’y a de révolte saine et juste qu’individuelle. Cette pensée avait déjà été développée bien avant par Pascal avec son « l’homme n’est ni ange, ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête ». Cette phrase convient parfaitement au « socialisme » français d'ascendance capitaliste. L’ange social corrompu, dit « État providence », instrumentalisé par le Grand Capital, s’est mué en bête. Dans ce camp de prisonniers, des petits démons de « gauche » élevés à l'école Républicaine, souvent fils de profs, sacrifient les masses sur l'autel de la démocratie pour les profits du Grand Capital.
Stanislas, votre serviteur.
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