Concertation / Violences. Soumission / Révoltes
Concertation / Violences.
Soumission / Révoltes.
Ces mots qui s’opposent, ne sont que des agissements imposés par une société d’exploitation, profiteuse et inhumaine.
Pour les profiteurs de ce système, ils n’ont à la bouche que ces mots soumission et concertation. Ils utilisent les mots révoltes et violences que pour culpabiliser ceux qui manifestent, tenter de diviser les différentes catégories entre elles, ceux qui veulent changer socialement et humainement la situation actuelle et à venir puis ceux qui redoutent la violence. A la lumière de l’intervention de Macron à la télévision (enregistrement fait en différé), il est évident que pour le Gouvernement et sa clique LERM il n’est pas question de changer de cap.
Ignorer à ce point les revendications du peuple c’est UNE PURE VIOLENCE !! , voire de la provocation.
Pour qu’il y ait concertation, il faut qu’il y ait dialogue. Or chaque fois que des revendications remontent, les patrons et le Gouvernement répondent par la négative, brandissant la dette, l’impossibilité économique pour les satisfaire. Toujours et par principe la concertation se traduit par un monologue et une prose patronale ou politicarde au profit des possédants, laissant amer et désabusé ce peuple qui à le sentiment de ne pas être entendu et mal défendu.
Les défenseurs de la classe ouvrière (les vrais) se heurtent depuis des décennies à l’indifférence totale des patrons et des Gouvernements successifs.
Ces maitres d’entreprises utilisent l’arrogance et la division, trouvent des complicités parmi des défenseurs toujours prêts à signer des accords (tout et n’importe quoi), qui s’inscrivent dans une stratégie réformiste dénonçant les effets sans dénoncer les causes. Aujourd’hui, le gouvernement fort de l’appui de la grande presse (propriété des grosses entreprises) et (aux ordres du Gouvernement) insiste lourdement sur la violence des manifestants et parle peu des violences policières qui défendent l’autorité des représentants de ce système injuste et inégalitaire. Il est évident que cette grande presse télévisée et écrite oppose la violence à la soumission et la révolte à la concertation.
Autrement dit : Patronat, Gouvernement, grande presse, tentent de culpabiliser les contestataires. Ils veulent ainsi gagner du temps espérant le pourrissement de cette révolte revendicative.
La Révolte n’est que le fruit de l’absence de concertation objective.
La violence est une réponse au mépris et invectives de cette caste, qui s’arroge des droits et des privilèges sur le peuple.
11/12/2018
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