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Accueil du site > Tribune Libre > De l’info à l’intox, Idéologie et information

De l’info à l’intox, Idéologie et information

Propulsée au premier des préoccupations et des nécessités humaines, la communication, en  tant que système social, jouit d’une importance capitale dans la définition des relations sociologiques entre gouvernants et gouvernés, voire même entre sociétés. Ce rapport communicationnel entre l’information communiquée et les groupes sociaux soulève non seulement la problématique fonctionnelle de la communication et ses différents paradigmes, mais aussi dans le processus méthodologique dont celle-ci est communiquée aux gouvernés.

L’histoire de la communication ne peut être intelligible qu’à travers la documentation de l’histoire des sociétés et son évolution sociale et politique car depuis la création de l’Homme la communication fait partie des besoins humains.

 Les différents âges de celle-ci illustrent clairement ce besoin vital pour l’homme d’être en relation avec ses semblables et son environnement immédiat et/ou lointain. Cette condition de nécessité a rendu l’acte de communication une condition de survie, notamment avec le développement des activités de la société. L’évolution a transformé ce besoin en appui incontestable pur légitimer toute action d’intégration des groupes sociaux dans une tendance politico-idéologique prédéfinit dans le système d’ensemble, notamment avec le développement extraordinaire des supports de la communication de masse.

 Ainsi, les supports de l’oralité ont cédé graduellement leur(s) place(s) à d’autres moyens d’information de masse audiovisuels et à Internet. Produits par une combinaison ingénieuse de l’intelligence humaine, ces moyens de communication sont, devenus, au fil du temps, un élément d’appropriation politique chargé de construire ce « village global » prédit en son temps par Mac Luhan.

 Les dimensions géographiques et les espaces juridique, social, culturel, linguistique et politique de ce « village global » se tracent à la vitesse des transformations technologiques des supports et selon une programmation idéologique cherchant à matérialiser le credo de Mac Luhan : « l’information est le médium ».

 La configuration architecturale de la communication de la communication mondiale est très facile à délimiter dans un village déséquilibré par la progression d’une infime partie du monde sur tous les plans au détriment du Tiers-Monde.

 Il est d’une importance capitale de situer l’intérêt accordé par les classes dirigeantes et les capitaux aux fonctions accomplies par les médias.

En cette aube du 21ème siècle cet intérêt se développe et s’accentue de manière exacerbée par la planification scientifique par le grand Capital des stratégies de communication publique qui intègre une multitude d’objets prédéfinis qui répondent à sa volonté d’agrandir son monopole.

 La diversification des supports de communication de masse a permis d’étendre le champs de la communication sociale à permis à l’impérialisme d’étendre son monopole, économique bien sûr, mais aussi culturel. 

L’information, en tant que message, a toujours été soumise à ce monopole.

Sur le plan politique – évidemment subordonné à l’économique – il convient de dire que les détenteur du pouvoir tout temps instrumentalisé les médias pour des fonctions préconçues dans les composantes idéologiques doctrinales. Ceci est valable pour les différents âges de la communication et toutes les théories doctrinales qui régissent l’information en tant que processus industriel. Le message véhiculé à travers les médias cherche à authentifier la dominance politique du capitalisme, légitimer sa présence, promouvoir et défendre ses intérêts par le truchement d’une pseudo objectivité que nous qualifions ici de grande fumisterie.

 Le contexte géopolitique imposé par le capitalisme se dessine actuellement par la détermination de zones d’influence par rapport à la pénétration des messages distillés vers les pays d’une Europe vassalisée aux Etats-Unis et les pays sous-développés.

 Situer la répartition de zones géographiques par rapport aux ondes et autres systèmes de transmission ne relève pas d’une panacée. L’ère de l’invasion capitaliste depuis le 19ème siècle se substitue souvent à l’invasion militaire classique qui s’explique tout simplement par le pouvoir culturel, linguistique de l’information et de la communication.

 Le pouvoir persuasif de l’information après la guerre mondiale – guerre dont le grand bénéficiaire ont été les Etats-Unis qui, en outre, ont attendu les derniers mois pour envoyer une poignée de soldats se battre en Normandie.

 La question surgit alors de savoir quelle contribution pouvons-nous apporter à l’étude des médias en tant que quatrième pouvoir dans la société et les institutions étatiques. Il s’agit d’une analyse du discours médiatique par de nouveaux paradigmes qui émergent dans un ensemble de besoin, à l’instar des autres nécessités.

 Devons-nous nous référer à l’installation et la mise en place d’infrastructures informationnelles et la formation d’un personnel spécialisé y afférent pour illustrer l’importance capitale de l’information dans la vie des sociétés ? De même que la conception du système d’information et de communication révèle l’intérêt accordé en ce siècle à l’information en tant que « pouvoir d’intégration » idéologique instrumentalisé par les véritables détenteurs du pouvoir, c’est-à-dire les trusts financiers et autres holdings.

 Cette attention particulière que nous accordons à l’information a pris racines dans les fonctions économique (d’abord !), éducative, sociale et politique de la communication de masse. En outre, la communication ne se limite plus exclusivement aux formes traditionnelles mais englobe tous les canaux et supports produits par le génie humain à la recherche constante de dynamiques nouvelles dans ce domaine. En effet, la technologie transforme radicalement notre mode d’action en matière de communication spécialement la considération des machines diaboliques « ordinateurs » comme support et moyen technique « au service » de l’homme. Cette technologie est génération d’un pouvoir accru aux mains des puissances d’argent. Les manœuvres de manipulation et de domination énoncées par l’impérialisme U.S. entravent, pour les peuples de la planète le libre accès à une information crédible. La manipulation capitaliste des les moyens d’information exprime clairement son souci d’instrumentaliser ces moyens pour la diffusion du programme idéologique et la réalisation d’une « culture économique » au détriment de la culture sociale.

Dj. B.

http://euromed.skyblog.com


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14 réactions à cet article    


  • Francis, agnotologue JL 15 juin 2009 10:12

    J’ai relu trois fois votre premier § tellement il est ésotérique. On y trouve deux fois le mot « gouvernés » et deux fois l’expression : « information communiquée » : une fois aux groupes sociaux, une fois aux gouvernés".

    Sachez monsieur, que le mot gouverné ne désignera jamais les citoyens d’un pays démocratique. S’il y a des gouvernés, alors il n’y a pas de démocratie. Si vous ne savez pas cela, vous ne savez rien en politique. Et si vous le savez et que vous utilisez ce mot sciemment, alors vous n’êtes pas un démocrate.


    • Kalki Kalki 15 juin 2009 12:49

      Et pourtant jl il y a une science pour bien gouverner, et il y a des moyens de gouverner : qui ne sont plus la force des armes.

      Platon utilisait kubernêtikê (grec, ÎšÏ…Î²ÎµÏ Î½Î·Ï„Î¹ÎºÎ®) pour désigner le pilotage d’un navire. Les mots gouverne, gouvernail et gouvernement ou gouverneur partagent cette racine avec le mot cybernétique.

      En 1834, André-Marie Ampère parle de cybernétique pour désigner l’art de gouverner les hommes[2]. Il s’agit ici d’une utilisation politique de la même base étymologique, dont Norbert Wiener déclarera ne pas avoir eu connaissance lorsqu’il a utilisé le terme cybernétique pour la première fois en 1947[3]. Wiener déclare avoir fait dériver le mot cybernétique « du mot grec kubernetes, ou pilote, le même mot grec dont nous faisons en fin de compte notre mot gouverneur  »[4].

      Vous n’imaginez pas a quel point la vision que l’on se fait du monde est une construction ...

      Une construction qui n’est pas libre, les sujets, sont télé-spectateurs.

      C’est une société du spectacle, c’est une réalité de simulacre et de simulation...

      etc , etc, etc , etc, vous pouvez trouver d’autre reformulation ou d’autres sciences.

      Le monde tel que le perçoivent les « citoyens » est une invention, qui n’est pas de leur création.


    • abdelkader17 15 juin 2009 10:42

      @JL
      parce que vous croyez encore à la fable de la démocratie ?
      Quand les détenteurs du capital intellectuel et financier imposent leurs idées est on encore en démocratie ?le retour au suffrage censitaire serait sans aucun doute plus approprié dans ces simulacres de démocratie.


      • Kalki Kalki 15 juin 2009 12:31

        Après la guerre en france par exemple il y avait un ministère de la propagande.

        Les choses changent de noms.

        Est ce que l’idéologie comme instrument de pouvoir est acceptable en démocratie ? OU LE PEUPLE EST SOUVERAIN.

        Si on envahit chaque citoyen du peuple , est ce que le peuple peut être encore considéré comme étant souverain de lui même ?

        Ou est il enchainé , -esclave - , d’ un monde, une construction tout à fait mental du monde, de la réalité, et donc des possibles ? Peut il user de sa liberté si il ne PEUT PLUS imaginer autre chose ?


        • werther_original werther_original 15 juin 2009 14:41

          C’est un contrat tacite entre les gouvernants et les gouvernés.

          Bien sur , sur agoravox , vous trouverez nombre de personnes refusant ce contrat. Mais agoravox n’est que le représentant de lui-même, comme éminencia.

          Si vous sortez et demandez au gens , au gens de tous les jours , la plupart n’en ont que faire de la politique. Ou même si il en pense quelque chose , ils sont bien trop feignants pour vouloir changer les choses à leur avantage.Est-ce parce qu’ils sont manipulés ? Cela reste à prouver. Vous aurez de très grand moment de lucidité chez ces personnes quand vous leur demanderez leur vision de la société actuelle.

          Vous ne pourrez pas imposer la liberté contre le gré de tous le monde.Trop d’accoutumance à la non-responsabilité , à la facilité de la vie toute tracée. Vous aurez beau secouer le problème dans tous les sens , vous débattre parce que cet horrible état de fait vous brise vous personnellement, cela ne changera rien. Vous êtes empêtrés dans cette foule qui n’en a que faire du débat politique et vous n’en sortirez pas. 

          Que même si demain , vous direz au peuple : demain , vous pouvez choisir d’être libre , il vous pendrait haut et court pour entrave à vivre sa petite vie tranquille.

          La seule chose à faire, en ce qui me concerne , cela n’engage que moi , est suivre l’attitude de l’âne dans la ferme aux animaux de orwell. Sujet mais pas....... crétin.

          Vous pouvez penser à une démocratie directe. Je n’ai rien contre , qui suis-je pour dire que c’est mal. Vouloir l’appliquer est , je pense , d’une part perdu d’avance , et serai d’autre part, contre-productif connaissant la léthargie volontaire du peuple.


        • Kalki Kalki 15 juin 2009 15:04

          Est-ce parce qu’ils sont manipulés ? Cela reste à prouver

          Cela n’est pas à prouver. Si ils acceptent ce qu’on leur propose, et meme si ils se taisent ils acceptent.

          C’est la société du spectacle.

          Vous êtes empêtrés dans cette foule qui n’en a que faire du débat politique et vous n’en sortirez pas.

          Parfois on est sortie par l’idéologie - la pensée révolutionnaire.

          L’ane est complice du génocide, avec staline, avec hitler, avec roosevelt ... et notre société fait de génocide sans nom, de souffrance chiffrés meutris qu’on ne regarde plus.

          Coupable. Plus qu’un complice vous tenez la machette du malheur qui s’abat jour dans une société injuste

          Tout le monde ne peut l’être et ne veut pas l’être. Ils ne sont pas tous conscient, mais il s’agit bien de culpabilité.

          la léthargie volontaire du peuple

          La démocratie, Il ne s’agit pas de l’appliquer la ou elle n’est pas applicable et ou ne veux pas l’appliquer.

          La démocratie directe c’est un choix, qui va de pair avec une autre économie, cela va de soit.

          Derrière les tyrans et la tyrannie il y a l’économie, l’organisation économique.

          Meme en france dans ce pays léthargique : l’histoire n’est pas finit, il se passera des choses, les citoyens y participeront.


        • Kalki Kalki 15 juin 2009 15:07

          Il n’y a pas besoin de 70 millions de personnes assujetti pour faire une société qui fonctionne, et matériellement viable.


        • werther_original werther_original 15 juin 2009 15:27

          L’ane est coupable. Disons qu’on ne peut pas reprocher a quelqu’un de se faire tuer pour rien.

          Si l’âne dit quelque chose , il est mort. Il sera mort intègre mais il sera mort.ce sera un malade mental pour la plupart des gens.
          Si l’âne ne dit rien mais n’accepte pas , il vit. Il vit dans la douleur mais il vit. je suis dans ce cas et VOUS êtes dans ce cas. Nous sommes sortis tous deux du simulacre. Et après ?

          Si vous ne voulez pas être dans ce cas, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

          C’est vrai , la démocratie directe , c’est un choix. Un choix que jamais le peuple ne fera.

          C’est vrai il y a eu des révolutions et des changements dans ce pays. Mais celle-ci n’ont engagé qu’une petite partie de la population. Des gens comme vous qui se sont retrouvés pour un idéal et l’on , parfois , mené a leur terme.

          Mais ces gens dont vous faites partie ne représente que votre groupe et l’ensemble de vos connaissances.Il n’y a pas d’universalité derrière votre combat propre. C’est ce dont on du s’apercevoir les révolutionnaires. En fait , les révolutionnaires ne représentaient que les révolutionnaires. Ils ont du se sentir bien bête devant cet état de fait. Voila pourquoi rien de bien véritablement démocratique n’est sorti de cet épisode de france.


        • Kalki Kalki 15 juin 2009 18:02

          Vous confondez révolutionnaire et bourgeois.
          Le bourgeois qui a finalement pris le pouvoir en gardant la même organisation de la société n’est pas un révolutionnaire.

          • Les événements peuvent encore sortir de la main mise du système.

          • Sinon ca veut dire que l’humanité aura Ã tout jamais perdu... jusqu’a ce qu’elle crève. Comme tout ce qu’elle aura fait crever, dans son injustice et ses contradictions.

          Vous pouvez croire que le monde ne changera pas : c’est faux. quoi qu’il arrive c’est faux. Dites vous que c’est faux. Le monde est changement. La barrière mentale incapacitante qu’on veut nous forger , c’est que ce monde serait figé : dans un meilleur des mondes : démocratique, libre, axe du bien.

          C’est faux, tout est changement, le monde change plus qu’on ne le croirait dans les apparence de la société du spectacl. tout àune fin.

          La fin ? C’est une question de temps et de choix : les vôtres.

          Il y a des failles , des moments de faibles, ou la bete systeme peut mordre biensur, mais elle est dans son trou. Préférez vous qu’ell sorte de son trou en plein capacité ?

          on arrive surement àun tournant de l’histoire, le spectacle, c’est-à-dire certain mensonge, ne pourra plus trop durer, on en a plus les moyens, les ressources naturelles.

          Soit :

          • On laisse les décideurs décider. Et on les laisse faire jolie petite russie, peut être en continuant la société du spectacle, en raffermissant la force de cohésion physiquement
          • Soit des citoyens, c’est àdire pas la majorité de la population ; se lèvent et créent leurs alternatives. ET àla moindre tentative du système de les écraser : c’est le système qui volera en éclat.

        • werther_original werther_original 15 juin 2009 18:13

          Vous voudrez bien m’expliquer quelque chose kalki.

          A chaque fois , vous dites : le peuple ,vos choix , ce sont les VOTRES, vos décisions , c’est vous qui le faites......

          Notre liberté , comme vous dites , est aussi la votre. Etes vous hors peuple ?
          Vous me pardonnerez , mais j’ai presque l’impression d’entendre parler morpheus.


        • Kalki Kalki 15 juin 2009 22:54

          Chaque personne est a meme de décider de la meilleur voie.

          Il y a des gens qui décident pour le bien du peuple et ce n’est pas le peuple, pris individuellement.

          Toute personne a le droit d’exprimer son avis en démocratie.

          Et cela veut dire biensur de la direction a prendre en commun, CETTE NOTION SUPRÊME QUI DÉFINIT LA SOCIÉTÉ , car oui cette chose est une décision HUMAINE, tout a fait humaine : ELLE NE SORT PAS d’UN ORDINATEUR ou d’une feuille excel.

          Ne rien faire n’est pas ne rien faire.
          L’absence d’avis est un avis.
          Se dire accepter la direction de la société c’est aussi un choix ou une acceptation non dite de la direction de la société, et en tant que tel ca équivaut à un autre choix qui irait a l’encontre du conformisme ou de ce rationnalisme faussement intellectuel.

          ( peut etre que vous placez l’état actuel du monde comme force de vérité, et donc comme seul réalité dans l’absolut, il n’empeche qu’on à le droit de choisir d’autre voie, ET cela ne peut se faire que par l’intermédiaire de l’individu, oui l’individu  : l’atome. Pas la masse qui refuse pour beaucoup de penser.

          Penser , liberté de penser ?

          Et si votre monde est ou devenait une petite URSS ? Union des républiques « socialiste » soviétiques. (socialiste seulement dans le capitalisme d’état : la russie n’a pas été grand chose de plus ). Avec tout ce que ca implique d’autre , en sous entendu...

          Et si le new deal écologiste valait tous les autres new deal du passé ?

          eminencia.free.fr/wiki/doku.php ?id=wiki:extrait-d-oeuvres:contre_les_propagandes_et_ideologies:valeurs_vernaculaires_par_ivan_illich

          . C’est seulement par la transition du fossile au soleil que les externalités de production peuvent être suffisamment réduites pour que les ressources maintenant dépensées à fabriquer des déchêts et à payer des éboueurs pour les supprimer peuvent être métamorphosées en bénéfices. Je suis d’accord. S’il doit y avoir de la croissance, alors Lovins a raison ; et les investissements sont plus solides avec des éoliennes qu’avec des derricks pétroliers. Pour la droite et la gauche traditionnelles, pour les démocrates gestionnaires ou les autoritaires socialistes, le process et l’énergie doux deviennent le raisonnement nécessaire pour étendre leur bureaucratie et satisfaire des “besoins” croissants par la production standardisée de marchandises et de services.

          L’Organisation Mondiale de la Santé met maintenant l’accent sur la prévention et l’éducation aux soin personnels. C’est seulement ainsi que les niveaux de santé de la population peuvent être relevés, alors que les thérapies coûteuses – en général d’efficacité non prouvée, bien que restant le travail principal des médecins – peuvent être abandonnées. L’utopie égalitaire libérale du 18e siècle, reprise comme idéal de la société industrielle par les socialistes du 19ème, ne semble maintenant réalisable que sur le chemin du doux et de l’auto-assistance. Sur ce point, droite et gauche convergent. Wolfgang Harich, un communiste de grande culture ;, affiné et blindé dans ses convictions par deux périodes de huit ans de détention – une fois sous Hitler et une fois sous Ulbricht – est le porte-parole d’Europe de l’Est pour la voie douce. Mais tandis que pour Lovins la transition vers la production décentralisée dépend du marché, pour Harich la nécessité de cette transition est un argument en faveur de l’écologie Staliniste. Pour la droite et la gauche, les démocrates ou les partisans de l’autorité, le processus et l’énergie doux deviennent les moyens nécessaires pour satisfaire des “besoins” croissants par la production standardisée de marchandises et de services.

          1980


        • xray 16 juin 2009 11:08


          Une seule chose est sûre ! 
          Il y a la réalité, les versions officieuses, la version officielle. La version officielle étant destinée à la foule. 


          Depuis 5 000 ans ! Quoi de neuf ? 
          http://echofrance36.wordpress.com/2008/10/22/depuis-5-000-ans-quoi-de-neuf/
           



          • chlegoff 16 juin 2009 14:51

            La force d’inertie est l’obstacle majeur auquel se heurtent les tentatives de
            changer les comportements humains. La civilisation trouve sa limite dans
            l’inertie. ( EDWARD BERNAYS - PROPAGANDA )

            Les professionnels de la politique ne font rien d’autre que d’exprimer auprès de la population, (souvent avec talent), ce qu’elle veut entendre. La population est consentante à défaut d’être complice. Rien n’interdit aux opposants d’utiliser les armes de la propagande pour s’opposer aux propagandistes officiels.


            • Kalki Kalki 17 juin 2009 13:02

              Rien , en êtes vous sur.

              De la méthode

              de la méthode de la propagande, s’inscrit dans une vision du monde - TYRANNIQUE.

              Dans cette vision du monde et de la société qui devrait etre hierarchisé, le tyran - l’égo surdevellopé qui est fait pour TYRANNISER et décider àla place des autres, et les autres la plupart bien JOUISSEUR de cette tyrannie , car il n’ont plusbesoin de se poser de question -
               
              Dans cette vision du monde - on ne vaint pas la tyrannie. On la recopie, répercute, on refait les meme erreurs.

              Une tyrannie équivaudra àune tyrannie. Les protagonistes peuvent changer, ils ont changés.

              La propagande par définition n’est pas donner la lumière - c’est utiliser les ombres.

              Et c’est pourtant la lumière qu’il faut apporter.

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