Écolo-fascisme : pouvons-nous sortir de leur nuisible hystérie CO2 ?
La « transition écologique » est une folie économique et écologique aberrante. Elle nous entraine dans une ineptie de dépenses inutiles qui pèsent sur nous, les générations suivantes et engendrera pour l’Europe un grand recul. Région où ils ont pourri de leur lobby une grande majorité de nos politiciens.
Les écolos-fascistes nous annoncent un « réchauffement climatique » qui au fil du temps est devenu dans le langage courant et le lobbying des écolos-fascistes un « changement climatique ».
1-Le point de départ de l'idéologie anti-CO2.
Tout a commencé réellement en 2006 avec un film documentaire à succès. Un fondateur d'un fond d'investissement spécialisé en investissements à long terme dans l'économie durable, L’Américain Al Gore, à la recherche de l'argent des fonds de pension américains, pour son fond d'investissement a utilisé son influence et une stratégie pour faire effet levier et trouver des clients.
Ancien candidat à la présidentielle Américaine il commente un film documentaire d'anticipation An Inconvenient Truth (Une vérité qui dérange) qui démontrerai les effets dramatiques d'un réchauffement climatique sur la planète, et présenté cela comme une affirmation appuyé par les justification d'un groupe d'influence orienté, le GIEC. Depuis son film, le fond de Al ,Gore a plus que doublé d'investisseurs, il est passé d'une gestion de 4,4 Giga$ à 9,8 Giga$. Ce fut le point de départ de la démagogie médiatique du CO2.
2-L'ennemi horrible, le CO2
Pourquoi les écologistes ont désigné le CO2 comme ennemi ?
C'est en fait la conjonction de 2 choses factuelles et d'une conclusion très empirique.
Factuel a) Au cours des deux derniers siècles, l’économie mondiale a quasiment doublé, le monde est sorti de la misère pure. Cette expansion a été alimentée par des combustibles fossiles, dont la combustion a contribué à faire passer le niveau de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère de 0,0284% en 1820 à 0,0407% en 2017.
Factuel b) Des relevés de température sur terre ont montré un réchauffement sur quelques années de la température. Données à prendre avec des pincettes, à l'échelle de la terre, l'assiette est très faible, les thermomètres digitaux et l'informatisation et la compilation sur des données fiables sont en fait sont très récentes. En fait un réchauffement ponctuel a plus à voir avec les erreurs ou fiabilité des mesures dans le passé qui sert de base aux calculs, ou l'instabilité structurelle du soleil, qui est le principal générateur de chaleur que l'agrégat à 0,02% du CO2.
Voici leur manière de voir le problème :
1- La génération du CO2 a augmenté
2- La température sur quelques années a varié vers le plus beau.
C'est gens ont conclu que le CO2 modifie le climat et le réchauffe.
De la même manière, si on faisait le même raisonnement avec des lapins :
1- Les lapins mangent des carottes.
2- Les lapins ne portent pas de lunettes
Et que l'on conclue que les carottes modifient la vue et donne une bonne vue.
Le documentaire Al Gore, le GIEC, et le fait de la faillite du communisme, les gauchistes des pays occidentaux en panne de modèle a considérer les gens comme des masses a asservir, ont trouvé un idéal de remplacement bienvenu et donc ont adhéré à l'écologie idéologique par la planification et la soumission collective ou collectiviste qu'implique cette idée.
3-L’énergie renouvelable :
a) La surface disponible n'est pas suffisante. Le passage à l'énergie renouvelable est une absurdité logique. Si l'énergie éolienne ou solaire produisait autant d'énergie que le nucléaire ou les combustibles fossiles, il faudrait couvrir d'éoliennes et de panneaux plus d'hectares de terre et de côtes que disponible sur tout le territoire.
b) Un autre inconvénient de l'énergie verte est le manque de fiabilité de l'approvisionnement. Les éoliennes ont besoin de vent pour faire tourner les pales, les panneaux solaires ont besoin de soleil. Lorsque la nature ne coopère pas, l'énergie verte devient est imprévisible et incohérente. En plein jour, on n’a pas besoin d'éclairage là ou le soleil produit de l’énergie, et pas la nuit là ou le panneau solaire ne produit rien. L'énergie intermittente n'est pas compatible avec les besoins réels de la société.
c) Pour compliquer encore les choses, l'énergie renouvelable est beaucoup plus chère que les sources d'énergie plus conventionnelles. Les éoliennes et les panneaux solaires font de l'énergie « zombie », qui n'existe que par le subventionnement. Une éolienne ou des panneaux solaires ont une vie de 10 et 20 ans et nécessiteront un réinvestissement perpétuel non négligeable. L’État actuellement achète de deux fois plus cher que le prix du marché de l’électricité l'énergie éolienne.
d) Le rendement est faible par rapport aux vrais besoins. L'énergie renouvelable est loin de produire suffisamment d'électricité pour remplacer les combustibles fossiles ou nucléaires.
e) L'impact de nuisance écologique est loin d'être négligeable. Pour implanter 20 000 éoliennes, il faut 300 millions de tonnes de béton, qu'il faudra un jour démanteler du sol. Pour une seule éolienne, 60 camions-toupies de 25 tonnes de béton chacun sont nécessaires pour la réalisation d'un socle plein armé de 10m par 1,5m de profondeur. Des blockhaus immondes en zones souvent vierges ou naturelles. Plantées généralement dans des lieux sauvages, elles necessitent la pose de pylones pour acheminer leur electricité.
f) Elles pèsent sur le pouvoir d'achat et la compétitivité. Les factures d'électricité sont augmentées par des taxes qui supportent les subventions et pèsent sur le pouvoir d'achat de chacun de manière non négligeable. L'électricité est responsable de la perte de plusieur points de croissance. Prix sur le bidjet de la consomation, c'est l'équivalent de milliers d'emplois non crées.
En résumé, l'énergie renouvelable est un fantasme romantique. C'est beau dans l'image l'énergie de l'air et du soleil. Mais dans la réalité, c'est juste idéaliste. Ces fous écolo-fascistes nous entraînent dans la folie furieuse d'une hérésie.
Ce n’est pas rentable, ce n’est pas fiable, il n'y a pas assez de place pour la mettre, c'est cher, c'est de la dépense récurrente et en plus ce n’est pas écologique.
On a même découvert au hasard d'un pont qui s'écroule en Italie et du dernier rapport sur les routes dégradées, que les sommes ne sont pas votées pour améliorer le réseau routier, mais transférées pour payer des rentes aux producteurs d’énergie intermittentes, structurellement déficitaires.
Devrions-nous, par conséquent, limiter notre consommation énergétique globale au détriment de la productivité et limiter la croissance du niveau de vie des populations dans le processus ?
4-Le CO2 :
Le CO2 n'est pas un polluant. Chaque fois que vous expirez du CO2, vous augmentez la concentration de ce minuscule gaz dans l'atmosphère. Si vous êtes un écologiste convaincu, et souhaitez avoir un impact positif sur l'environnement, retenez votre souffle. Mais attention, vous risquez l'étouffement et mourir dans d'atroces souffrances. :-)). Ne vous chauffez pas l’hiver. Mais là encore vous risquez la pneumonie et mourir dans d’affreuses souffrances. Mieux vaut ne pas haïr totalement le CO2 pour rester vivant.
Si vous êtes un libéral, L'augmentation du dioxyde de carbone dans l'atmosphère nous rappelle que l’homme a réussit à accroître l'offre mondiale pour répondre à une demande croissante. L’augmentation passée du CO2 est la signature d’un succès qui a conduit en définitive à une amélioration du niveau de vie mondial et à une réduction de la vulnérabilité aux aléas sociaux et aussi climatiques des peuples.
Paraît-il que la terre verdit grâce au CO2. La terre selon les données comparées entre 1980 et 2016 par les satellites, plus de régions sont vertes. Des gens comme moi qui ne se laissent pas acheter sur des stat globales, vous diront que la relation de cause a effet n'est peut être pas là. Les OGM qui produisent des semences capables de résister aux conditions extrêmes ou autre chose y sont peut être aussi pour quelque chose.
Mais néanmoins, le CO2 est indispensable à la photosynthèse des arbres et des plantes. Le CO2 n'est pas un polluant, mais au contraire un élément indispensable à la vie.
5-Pourquoi c’est une hystérie et qu’il ne faut pas s’affoler ?
Relevez vos manches et promouvez la liberté et la libre entreprise, le marché libre car, par habitant, ce sont les pays libres du monde qui ont les environnements les plus propres et ceux qui ont les gouvernements socialistes ou sociaux-démocrates les plus mauvais.
Comme le montrent les données, les forces du marché sont en réalité plus efficaces pour réduire la quantité d'énergie utilisée dans la production.
La plupart des gens supposent que les entreprises, livrées à elles-mêmes, ne sont pas dignes de confiance. Principalement en France, ou la mainmise sur les sciences sociales, humaines et économiques sont monopolisées par un monopole propagandiste de socialistes. Et, à proprement parler, il est vrai que les entreprises sont principalement concernées par leurs résultats. La consommation d'énergie représente cependant une part importante des dépenses des entreprises. Les entreprises sont donc fortement incitées à réduire leur consommation d'énergie.
Prenons, par exemple, l’industrie automobile. Selon une étude, « la quantité d’énergie utilisée à différents stades de la production automobile (presse, carrosserie, peinture et assemblage) est de près de 700 kWh par véhicule et le coût de l’énergie représente 10 à 12% du coût total de production. (Ce qui est vrai pour les grands fabricants est également vrai pour les petites entreprises). L’énergie est un coût non négligeable, supérieur aux salaires, aux matières premières dans cette industrie. C’est aussi elle qui a réalisé le plus de réduction d’émissions de CO2. Les nouvelles technologies continuent à émerger, notamment un meilleur stockage des batteries, des centrales nucléaires plus sûres.
En d'autres termes, il est dans l'intérêt des producteurs de réduire leurs coûts énergétiques. C'est l'une des raisons pour lesquelles les émissions mondiales de CO2 par dollar de production sont passées de 2,14 kilogrammes en 1960 à 0,74 kilogramme en 2014, soit une diminution de 65%.
En d'autres termes, la motivation du profit ajoutée aux améliorations technologiques réduit la consommation d’énergie par dollar de production et, par conséquent, de réduit les émissions de CO2.
Au fur et à mesure de l’enrichissement des individus, le besoin de bien respirer et vivre dans un environnement propre saint et meilleur se fait naturellement. Il en découle une production plus parcimonieuse de CO2 inversement proportionnelle à son enrichissement.
Parce que le capitalisme, contrairement au socialisme, déteste le gaspillage. Il fait donc tout son possible pour être efficace. Cela signifie utiliser le moins d'énergie possible pour fabriquer des choses.
Et cela est antérieur à l’hystérie actuelle du CO2.
6-La preuve par l’exemple :
Quel pays réduit le plus ses émissions de gaz à effet de serre ?
Le Canada ? La Grande-Bretagne ? La France ? L'Inde ? L'Allemagne ? Le Japon ? Non, non, non, non, non et non. Ce sont les USA.
Cela doit être une faute de frappe ? Une Fake-news ?
Comment est-ce possible ?. L'Amérique n'a jamais ratifié le Traité de Kyoto il y a deux décennies. N’a jamais adopté la taxe sur le carbone et la ribambelle de taxes et coercitions de ses habitants. Pas de programme d’émission de carbone, pas de plafonnement d’échange. Ce devrait être les méchants environnementaux.
Imaginez donc, ils sont sortis de l’accord sur le climat de Paris signé par presque tout le reste du monde civilisé.
Pourtant, le dernier rapport mondial sur le climat publié par BP Statistical Review of World Energy constate qu'en 2017, les États-Unis ont réduit leurs émissions de carbone de 0,5%, soit le pourcentage le plus élevé de tous les principaux pays. Cela est particulièrement impressionnant étant donné que l’économie a progressé de près de 3%. Plus de croissance, moins de pollution et la technologie et l’absence d’écolos-faschistes. Eux qui ont ouvert la révolution du pétrole et du gaz de schiste qui transforme le monde en gaz naturel bon marché et propre pour la production d’électricité.
En France on est pas à une contradiction écolo et l'interdiction de tout en permanence. Les écolos jouent à domicile avec les 95% de journalistes de gauche qui chaque matin à la radio vous présentent la dernière stat bidonnée d’une ONG ecolo-faschiste qui vous vous est compté comme une vérité et sera même reprise par les media. Evidemment du même bord, aucun journaliste ne pose une question de viabilité. Vous ne le savez pas ? Vous êtes tous mort par l'épuisement des ressources en août. Ce genre de conneries sont répétées, répétées et répétées chaque année. Remarquez plus c'est gros, plus c'est con, plus c'est écolo-anxiogène, plus ça passe.
Pendant ce temps, là ou les taxes, les contraintes et moults programmes CO2 de voitures électriques, LED et remboursement de cloisons pour les opportunistes fleurissent, les niveaux de pollution CO2 ont augmenté et dans une plus grande mesure que les années précédentes.
Qu’importe que la France réduise ses gaz à effet de serre. Dire qu’il y a des Enarques qui pensent vider la mer à la petite cuillère et qu’ils aident à sauver la planète en achetant une voiture électrique ou en installant un panneau solaire sur leur toit. Vaste blague pour attirer les votes à bobos. Chaque gouvernement a son écolo-faschiste dans sa musette a présenter.
7-Les écolos-fascistes :
Les écolo-fascistes visent plus la destruction du capitalisme et l’avènement du directivisme par l’excuse idéologique que la nature comme hier ils imposaient l’excuse sociale à toutes les sauces pour imposer leur vues. Aujourd’hui ils imposent règlementations, taxes et contraintes contradictoires.
C’est un lobby puisant qui se nourrit de subventions. De nombreuses ONG se sont transformées en voies écolo-fascistes. Elles permettent à des politiciens de justifier les taxes, coercitions et utilité. Parlement européen. Enarques, fonctionnaires, rentiers de l’état qui vivent de la caisse de l’état y trouvent un son sympathique. Leurs idées étant de taxer les nuages, ils savent que la pluie de taxe ira indirectement dans leur poche.
Ecoutez leurs mots « révolution, changement, transformation ». Les écolos-fascistes ont dans la tête une transformation de la société. Ce n’est pas moins de pollution ou de verdure qu’ils cherchent. C’est le collectivisme. Le directivisme.
Les écolos ont sombré dans une nouvelle forme de socialisme tyrannique. On retrouve les écolo-fascistes dans les anciens socialo-communistes reconvertis, conscient que le directivisme à l’excuse « sociale » est en faillite, et qui sont passés à l’excuse « écologique ». Leurs cibles et arguments se rejoignent, le capitalisme, la jalousie des autres et la demande de vivre aux crochets des autres en considérant tous les gens comme des beaufs ou des masses à asservir par des idéologies.
L'écolo fasciste, c'est celui qui interdirait le feu à l'homme des cavernes, pour se chauffer et cuire ses aliments sous prétexte que c'est pas écologique. Il est irrationnel.
La transformation écologique n’amènera que du malheur, des taxes, des règlementations, les contraintes ne luttent pas contre le CO2, elles nourrissent les bureaucrates.
Mais une chose est sûre. L’écologie a un problème, c’est qu’elle n’a pas besoin d’écologistes. Elle a besoin d'une société libre...
Pour aller plus loin :
Vidéo : Les modèles climatiques peuvent-ils prédire le changement climatique ?
Video : Les prédictions écologistes de passé et la réalité d'aujourd'hui
Vidéo Mea-culpa du fondateur de Greenpeace Patrick Moore : Pourquoi j'ai quitté Greenpeace ?
Page web : Éolien : une gigantesque escroquerie
Page web : L'invasion éolienne, la course folle
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