Et la prochaine première Dame sera... Isabelle Juppé !

87% d'opinions défavorables pour l'actuel Président de la République qui a perdu sa première Dame dans un moment d'égarement avec une autre. Inutile de revenir sur la terrible morsure de son ex compagne, la journaliste Valérie Trierweiller. Mais vous ne devinerez jamais quelle était la profession d'Isabelle Juppé avant d'entrer chez Arnaud Lagardère pour travailler sur le numérique.

Et bien la femme qui a vécu pendant un an au Québec avec son mari, suite à une petite condamnation pour quelques malheureux emplois fictifs à la ville de Paris, alors que le meilleur d'entre nous selon Chirac, voulait simplement résorber un peu le chômage de la capitale, exerçait le métier de journaliste au journal La Croix et au Matin de Paris. Mais Isabelle Juppé est également écrivaine... Aie, aie, aie ! 

Mais non, rien à craindre avec ce couple qui s'aime d'amour tendre depuis 20 ans. Et comme dirait Jean-Marie Le Pen, qui sait de quoi il parle, la libido à 70 ans n'est plus ce qu'elle était à 60.

Depuis 2009, Madame Jupé occupe chez Lagardère la fonction de directrice déléguée du développement durable. Une promotion obtenue uniquement à la force du poignet et par la qualité de son travail ; même si un mari ministre ça peut aider. Et pourquoi pas un jour avec un conjoint Président, une nomination comme ministre du numérique plutôt qu'une fonction honorifique d'hôtesse d'accueil à l'Elysée. 

N'a-t-elle pas publié un ouvrage intitulé La Femme digitale où elle explique l'évolution et l'attractivité des nouvelles technologies sur les femmes. Car "Grâce au numérique, de nombreuses femmes qui ne travaillaient pas, ou s’étaient arrêtées pour élever leurs enfants, ont bel et bien retrouvé une vie professionnelle avec un modèle économique à la clé".

Quant à Sarkozy, avec moins de 40% de Français qui souhaitent le revoir régner, ses chances de revenir aux affaires sont assez aléatoires, même si un renversement de tendance est toujours possible. Justement en parlant des affaires, si le fil de l'épée de Damoclès était un crin de cheval, dans le cas de l'ancien chef d'Etat une nouvelle mise en examen ou une condamnation ne tiennent qu'à un cheveu. Comme Carla Bruni va être heureuse, elle qui frondeuse disait "J'ai épousé Nicolas Sarkozy, pas la France". La chanteuse qui le jour de la passation de pouvoir, avait sur le perron du palais présidentiel prévenu Valérie Trierweiller, "Ce sera terrible" lui avait-elle chuchoté.

Maintenant, imaginez-vous le partenaire de Marine Le Pen en "premier Monsieur de France". Si d'ici là une autre saga sentimentale n'a pas bouleversée la vie amoureuse du couple Aliot-Le Pen ! Car voyez-vous ces histoires là n'arrivent pas seulement chez les socialistes.