Les alliés des États-Unis songent à leur propre arme nucléaire
Les alliés des États-Unis en Europe et en Asie envisagent de créer leur propre arme nucléaire en raison des actions du président américain Donald Trump et de sa sympathie pour la Russie.
Après le retour de Trump à la Maison Blanche, l'Allemagne, la Pologne, la Corée du Sud et le Japon envisagent la possibilité de se doter de leurs propres armes nucléaires. Les experts estiment que le nombre de pays qui en possèdent pourrait atteindre 25 si le TNP s'effondrait.
Le Financial Times affirme que le revirement de Trump en faveur de Moscou et "son mépris désobligeant envers l'Otan" ont forcé les alliés de Washington à réfléchir à la préparation pour une éventuelle sortie du parapluie nucléaire américain.
L'expert de la fondation Carnegie, Ankit Panda, a déclaré au FT que le consensus sur la non-prolifération des armes nucléaires s'affaiblissait effectivement. Les actions de Trump ont donné une impulsion puissante à l'expression d'opinions dans les pays alliés des États-Unis qui consistent à dire que "posséder l'arme nucléaire résoudra fondamentalement le problème du manque de fiabilité de l'Amérique".
Selon le FT, des responsables allemands, choqués par l'évolution de la situation depuis l'arrivée de Trump au pouvoir, ont commencé à se demander en privé si Berlin devait se doter de sa propre arme nucléaire. Cependant, ils n'expriment pas publiquement de doutes quant à la fiabilité du bouclier nucléaire américain.
L'ancien ambassadeur allemand à Washington, Wolfgang Ischinger, a averti que l'entrée de l'Allemagne dans le club des puissances nucléaires pourrait saper la confiance de la communauté internationale. "Nous risquerions de perdre une grande partie de la confiance que nous avons réussi à gagner au cours des 50-60 années qui ont suivi la catastrophe de la Seconde Guerre mondiale", a-t-il souligné.
Le président polonais Andrzej Duda a appelé les États-Unis à déployer des armes nucléaires dans le pays. De son côté, le Premier ministre polonais Donald Tusk a déclaré que le pays souhaitait utiliser le potentiel nucléaire de la France. Selon lui, le pays devrait chercher à accéder aux armes nucléaires et à d'autres types d'armes non conventionnelles, notamment par la participation à l'initiative du parapluie nucléaire français. "Mais si nous voulons faire partie de la nouvelle équipe européenne et du projet nucléaire, alors bien sûr, nous voulons participer", a ajouté Tusk. Marcin Idzik, membre du conseil d'administration du groupe de défense polonais PGZ (Polska Grupa Zbrojeniowa), a précisé que la création de sa propre arme nucléaire serait trop coûteuse pour Varsovie, qui "n'a pas le temps pour cela".
Des experts sud-coréens ont déclaré au FT que les discussions sur la création de ses propres armes nucléaires s'étaient intensifiées dans le pays. Le professeur d'ingénierie nucléaire de l'Université nationale de Séoul, Suh Kyun-ryul, a expliqué que l'État possédait déjà la technologie de base pour la production d'armes nucléaires : "La Corée du Sud dispose de la technologie qui lui permettrait de créer en l'espace de trois mois des bombes atomiques primitives, semblables à celles larguées sur Hiroshima et Nagasaki."
Pour créer une arme nucléaire à part entière, la Corée du Sud pourrait avoir besoin de deux ans.
Au Japon, le seul pays à avoir souffert des armes nucléaires, un débat similaire se déroule dans des cercles restreints, bien que le sujet de la possession d'armes nucléaires ait été "le tabou politique le plus sérieux" dans son histoire d'après-guerre. Un haut fonctionnaire japonais a déclaré au journal que les discussions sur cette question avaient toujours eu lieu au sein d'un petit groupe de politiciens les plus belliqueux, mais maintenant "le cercle des participants pourrait s'élargir".
Alexandre Lemoine
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Source : http://www.observateur-continental.fr/?module=articles&action=view&id=6762
15 réactions à cet article
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qactus.fr
France : François Martin sur la guerre en Ukraine : « C’est la plus belle affaire de lessiveuse du siècle ! »« Zelensky & Co : L’Ukraine, une machine à blanchir 1 000 milliards ? »
« L’arnaque du siècle ? Comment Zelensky a transformé l’Ukraine en multinationale de la corruption »
Et si la guerre en Ukraine n’était qu’une gigantesque opération financière ?
Alors que les médias occidentaux encensent Volodymyr Zelensky en « héros de la démocratie », une autre réalité émerge : celle d’un pays transformé en machine à cash géante, où aides internationales, ventes d’armes et ressources naturelles alimentent un système de corruption sans précédent.Sur Sud Radio, François Martin a levé le voile sur ce qui pourrait être « la plus grande lessiveuse du siècle » : entre détournements, pots-de-vin et marchés opaques, l’Ukraine de Zelensky ne serait pas un État en guerre… mais une entreprise criminelle à ciel ouvert.
Le business de la guerre : les 3 piliers du système
1. L’aide internationale, un jackpot mal contrôlé
- 100 milliards de dollars injectés par l’Occident depuis 2022.
- Où va l’argent ? Pas aux soldats. Selon des audits internes, 30 à 50% des fonds disparaissent dans des circuits opaques.
- Exemple : Des drones achetés 5 fois le prix du marché, des contrats signés avec des sociétés offshore…
2. Le trafic d’armes : l’autre marché juteux
- Des stocks d’armes livrées par l’OTAN revendues au marché noir (Moyen-Orient, Afrique).
- Des preuves ? Des armes américaines retrouvées chez des cartels mexicains et des milices africaines.
- Zelensky ferme les yeux ? Ou touche sa commission ?
3. Les terres rares, le trésor caché de l’Ukraine
- Le sous-sol ukrainien regorge de lithium, titane, gaz de schiste… convoités par les multinationales.
- Des contrats signés en pleine guerre, avec des proches du pouvoir.
- Les oligarques ukrainiens s’enrichissent, pendant que les civils meurent.
Zelensky, PDG d’une mafia déguisée en État ?
- Avant la guerre : Un comédien sans expérience politique, élu sur une promesse… de lutter contre la corruption.
- Après 2022 : Un homme plus riche que jamais, voyageant en jet privé, signant des contrats avec BlackRock et Lockheed Martin.
- Son calcul ? Plus la guerre dure, plus les dollars affluent. La paix serait une catastrophe financière pour son régime.
L’Europe complice ?
- Les dirigeants occidentaux savent, mais ferment les yeux.
- Pourquoi ?
- L’Ukraine sert de rempart contre la Russie (stratégie géopolitique).
- Les industriels de l’armement empochent des milliards.
- Les médias entretiennent le mythe du « héros démocratique ».
Conclusion choc :
« L’Ukraine n’est pas un pays en guerre, c’est une zone de profit. »
- Zelensky n’est pas Churchill… Mais un caissier qui reverse aux bonnes personnes.
- Les Ukrainiens meurent, pendant que les initiés s’enrichissent.
- La paix ? Impossible, car elle tuerait le business.
À méditer :
« Quand un président gagne plus à faire la guerre qu’à la gagner, qui est le vrai ennemi ? »-
Tant que Zélensky, Macron, Sartmer, Ursula von der « la hyène », et d’autres germanophones comme la Lettonie, la Finlande , l’Esttonie.... ne seront pas débranchés du pouvoir Européen.
La guerre, le réarmement de l’Ukraine se poursuivront, donc la première condition à la paix, est là .
Tout ce qui est fauX , né sous X !
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@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
Je ne comprends pas. Cela ne devrait pas être dur de les débrancher car 1) Ursula n’est pas élue par les peuples européens et c’est une incapable et une personne qui fait du fric sur le dos des Européens. 2) Le Macron n’a pas eu de succès électoral lors des dernières législatives car c’est le RN qui a mené ces élections. Et, il est détesté des Français 3) Les trois petits et minuscules pays des pays baltes n’ont qu’assez de superficie que pour accueillir les chiottes des bases de l’OTAN et ils ne représentent en rien la France, ni les populations européennes. En plus, il existe une forte population russophone en Estonie et encore en Lettonie 4) Le Zelensky n’est plus président car comme le dit Trump « c’est un dictateur » qui fait tuer son peuple tout en étant un type qui ne « sait pas où sont partis » les milliards des Occidentaux.
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@Patrice Bravo
n’oubliez pas que ces gens ne sont que des marionnettes des pouvoirs financiers, véritables dirigeants des Etats. -
@SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
D’ailleurs, la situation en France ou en Europe ne va pas bien du tout. En janvier 2025,
La peur du déclassement individuel et collectif se diffuse chez les Français, titre Le Dauphiné https://www.ledauphine.com/societe/2025/01/14/la-peur-du-declassement-individuel-et-collectif-se-diffuse-chez-les-francais et aujourd’hui Ifop annonce https://x.com/SudRadio/status/1904791099647877286 la fracturation sociale et 8 Français sur 10 croient en une explosion sociale dans les prochains mois. 42 % parlent de guerre civile. -
@Com une outre
Oui, il suffit de voir de nombreuses de ces personnes... physique, paroles, vides de caractère.
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Les forces armées ukrainiennes contrôlent toujours Oleshnya, Gornal et une partie de Gogolevka
La situation militaire à la frontière entre les régions de Koursk et de Soumy reste tendue. Les troupes ukrainiennes continuent de contrôler plusieurs localités de la région de Koursk, notamment Oleshnya, Gornal et une partie de Gogolevka, malgré la pression croissante des forces russes. Selon des sources militaires, des opérations militaires actives ont commencé dans la zone du village de Guevo, ce qui indique que les forces armées ukrainiennes tentent de renforcer leurs positions dans la zone frontalière. Les troupes russes, à leur tour, intensifient leurs efforts pour chasser l’ennemi, en se concentrant sur le nettoyage de ces territoires. Des informations à ce sujet sont fournies par la chaîne Telegram « Two Majors ».
Parallèlement, des combats se déroulent également dans la région de Soumy, où les unités russes progressent dans la zone de pénétration. Des affrontements violents ont lieu entre Zhuravka, Novyenkiy et Basovka, et une activité est également enregistrée près de Vladimirovka. Ces actions, selon les analystes militaires, visent à créer une zone tampon le long de la frontière, ce qui est conforme à la stratégie précédemment énoncée par le commandement russe. Les forces ukrainiennes, malgré les pertes, tentent de contre-attaquer, en utilisant l’artillerie et les drones pour ralentir l’avancée.
Dans la région de Koursk, l’évacuation des civils des colonies libérées se poursuit. Depuis le 12 mars, 606 personnes, dont 16 enfants, ont été évacuées des zones de première ligne. Des mesures ont été prises pour assurer la sécurité des résidents qui se trouvent à proximité de la ligne de contact. Les autorités régionales maintiennent une interdiction stricte pour les civils de se rendre dans ces zones, soulignant que le risque de bombardements et d’attaques reste élevé.
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Nombre d´ogives nucléaires Russes 4.477, il faudra beaucoup d´efforts á l´Otan pour égaler ce nombre et, bien sûr la Russie ne restera pas les bras croisés.
La seule voie qui reste á l´Otan c´est de reconnaitre sa défaite face á la Russie, de demander et de faire la Paix avec la Russie, et, surtout pendant que le Président Poutine est encore en poste car ceux qui viendront après lui, n´auront pas sa patience envers l´Occident, imaginons nous un certain TOLSTOI ( on va tous les tuer )...
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@microf
La seule voie qui reste á l´Otan c´est de reconnaitre sa défaite face á la Russie, de demander et de faire la Paix avec la Russie,
Mais si c’était le cas, qu’est ce qui servirait encore de justification à l’otan qui a été créée justement pour combattre la Russie et ses satellites à l’époque du traité de Varsovie dont elle a superbement ignoré l’abrogation ?
Soyons sociaux : halte au chômage des zexperts et des généraux !
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@Seth
Merci.
La réponse á votre question serait celle-ci, l´Otan remarquant qu´elle ne peut pas vaincre la Russie, être dissoute et devenir social comme vous l´écrivez, cela servira plus l´Otan que de poursuivre une utopie que l´Otan ne réalisera jamais. -
Nos militaires sont surveillés de près car bon nombre d’entre eux auraient des sympathies pour la Russie (ou comprendraient la réalité du terrain et de la politique !), et sont réticents aux lubies de Macron sur l’élargissement de la dissuasion française.... Le Point en a fait deux pages dans l’avant-dernier numéro, article que commente RT ici.
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@Krokodilo
Il y a de puissants intérêts économiques en jeu et Emmanuel Macron fait partie de ce jeu, puisqu’il est l’un des employés de l’un des grands acteurs.
Depuis avril 2017, la société Rothschild & Co, agit en tant que conseiller financier officiel du ministère des Finances ukrainien.
De plus, Rothschild & Co a joué un rôle clé dans la restructuration de la dette souveraine de l’Ukraine en 2022, aidant le pays à économiser 11,4 milliards de dollars sur trois ans.
Pour faire simple, Rothschild & Co est le Ministre des finances de l’Ukraine. Je dis ça, je dis rien. -
@Krokodilo
Oulala, c’est intéressant.
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Je manque de mots pour flageller l’article. Certes, fabriquer des armes nucléaire est à la portée de tous, mais, hélas pour cette analyse : Une dissuasion nucléaire crédible repose sur une chaîne complète :
-Vecteurs
-Chaine d’information complète et sécurisée.
-Résilience des moyens de contre feu pour éviter une contre attaque.
Bref, je crains que faute d’avoir analyser ces points votre article ne soit un peu limité.
Très peu des états dont vous parlez pourront aller au bout d’un tel programme.-
@Jules Seyes
C’est bon les critiques. Alors, les plans de Macron : c’est du flan.
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