Savez-vous qu’en ce moment Nicolas Sarkozy travaille comme un damné de la terre ? En effet il met à rude épreuve ses mélanocytes et les fibres musculaires de sa ceinture abdominale. Ey oui il bronze à Cap Nègre en tentant de raffermir son ventre. Je crois que nous avons là le plus fainéant de tous les présidents que la France ait comptés depuis Clovis, lui aussi monarque électif.
La cour des comptes a rendu son verdict, avec quelques jours de retard, pour n’être rendu public qu’après le grand raout de l’étrange lucarne qui a fait plouf, tout comme le plongeon élégant de notre président dans la grande bleue du haut des rochers de la famille Bruni Tedeschi. Certains se sont demandés si ce retard était une faveur afin de ne pas être révélé au bon peuple et afin que l’excellent reporter et coach de Nicolas Sarkozy, un certain Pujadas, qui ne bouge pas une oreille quand son interlocuté se répand en 20 mensonges gros comme la tour Eiffel, n’eût à poser quelques questions supplémentaires qu’il n’aurait pourtant pas posées ou un retard dû à des causes organiques. Mais d’autres affirment carrément que c’est à la demande de l’Elysée (Les Echos) : Initialement prévue le 9 juillet, la remise du rapport de la Cour des comptes sur la gestion 2009 de l’Elysée au chef de l’Etat avait été décalée, à la demande de celui-ci, au 13 juillet.
On se demande pourquoi le château pouvait s’inquiéter tant le Migaud, qui avait été quelque peu léger dans l’affaire Tapie quand il était président de la commission d’enquête, est devenu un lèche botte de bonne catégorie, et je vais le prouver car le résumé du rapport ne correspond en rien à la réalité de son contenu. Quand on lit ça : Sur la forme, « peu de pays voient les services du chef de l’Etat faire l’objet d’un contrôle aussi approfondi », « avec un rapport rendu public à son initiative », a d’abord rappelé Didier Migaud, notant en outre que le contrôle, mené « en toute indépendance », est désormais exercé à un « rythme tout à fait exceptionnel ». (Le Figaro et Morano ne feraient pas mieux) on se dit qu’à la tête de la cour des comptes on brosse à reluire et dans le sens du poil. On parle de la forme tout en employant les superlatifs alors que dans certains pays du nord, des journalistes en équipe tournante chaque année ont livre ouvert dans les comptes du pouvoir et alors que ce même pouvoir a refusé - et c’est bien en 2009 il me semble, l’année de contrôle de ce cher Migaud - avait refusé une enquête parlementaire sur ces fameux sondages sans appel d’offre à prix exorbitants ce qui est pénalement répréhensible mais qui n’a engendré qu’une petite tape sur les doigts et que le remplaçant de Philippe Séguin aurait dû rappeler. Mais la flatterie ne s’arrête pas à la forme aussi déteint sur le fond : Sur le fond, le message de la cour est presque aussi positif. L’exécution du budget 2009, avec des dépenses de 112 millions d’euros (+1,9% par rapport à 2008), a été conforme aux prévisions, et même légèrement excédentaire (222.000 euros). Il « consolide désormais toutes les dépenses des services de l’Elysée et donne donc une image complète de ses activités », indique la cour.
Mais là où Migaud nigaud nous en bouche un coin c’est ceci : En juillet l’an dernier, la cour avait noté que des dépenses privées de Nicolas Sarkozy étaient financées sur le budget de l’Elysée. Le chef de l’Etat avait remboursé celles au titre de 2008 (14.123 euros). En novembre dernier, il a remboursé 9.645,55 euros au titre de ses achats privés du premier semestre 2009. Depuis l’été 2009, « vous payez directement vos dépenses de nature privée sans que la présidence en fasse l’avance », indique le rapport.
On dirait un maître d’école qui donne une image au bon élève alors que c’est tout simplement effarant qu’il ait fallu attendre deux ans et Philippe Séguin pour que notre Nicolas Sarkozy paye de sa poche ses dépenses et non ne rembourse ce qu’il n’a fait que parce que Séguin en avait fait la remarque, la réponse de l’époque avait été vaseuse, Oh pardon ms’ieur je m’avais trompé de poche. Le moins qu’on puisse dire qu’il y a avait deux manières de présenter la chose, l’une comme le fait le servile Migaud de féliciter et l’autre de dire : enfin ! On n’a pas à féliciter un homme qui tarde à faire ce qui est la norme et après s’être fait tiré les oreilles. Ou alors c’est de la pédagogie positive, tout le contraire de ce que prône ce pouvoir à l’encontre des voyous.
Tout ceci n’est en réalité qu’une sorte de jeu d’illusionniste et la cour des comptes se contente de regarder la forme mais avec une canne blanche. Un exemple parmi tant d’autres, le budget officiel des sondages a été réduit considérablement et maintenant on fait des appels d’offre qui permet de faire baisser le coût de 45 %, sauf que, oui sauf qu’on a déplacé pour 1,2 millions d’euros dans une autre ligne budgétaire. Que c’est ballot, la cour des comptes n’a rien vu.
Au passage une belle petite tricherie aux dépens du budget. Au lieu de recevoir la dotation régulièrement (sans doute grâce au conseil de madame Woerth spécialiste en matière financière) le château se fait livrer le magot en début d’année et place les sous : L’Elysée a demandé à Bercy que sa dotation soit versée dès le début de l’exercice et dans son intégralité au lieu de versements trimestriels. Celle-ci a généré des intérêts de 1 %, ce qui a permis de dégager des produits financiers en hausse de 550.000 euros par rapport à 2008. Ceci est à rapprocher de cette autre information citée plus haut un excédent budgétaire de 220 000 €. Faites donc le calcul sans ce placement au détriment du budget de la France car s’il faut verser tout d’un coup c’est bien notre trésorerie qui du coup en prend un, il y aurait eu un déficit de 330 000 €. Si vous souvenez de ce passage plus haut, le cireur Migaud avait ajouté dans son rapport ceci : Il « consolide désormais toutes les dépenses des services de l’Elysée et donne donc une image complète de ses activités »
Or ceci est parfaitement contredit par des informations de ce rapport. Au moins trois exemples :
Le plan de rénovation triennal du palais de l’Elysée est exécuté et financé par le ministère de la Culture.
Les dépenses de fonctionnement de la résidence de la Lanterne ont également été financées, en vertu d’une convention et à hauteur de 153.000 euros, par Matignon.
c’est au budget du ministère de la défense que sont imputés les coûts de l’avion présidentiel (le NouvelObs) (rappel c’est 178 millions d’euros, une petite paille qui n’intéresse pas Migaud).
Ce qui est stupéfiant dans ce rapport c’est que l’on vous dit en gros : bravissimo les dépenses diminuent de la meilleure façon, 10 % ici, 40 % là (bel exemple de cette technique pour la fameuse garden party du 14 qui a été supprimée car si le prix unitaire a baissé, le coût global a augmenté, c’est la bonne technique de l’illusionniste on montre sa main droite pendant que la gauche sort un pigeon. A quoi bon restreindre le coût unitaire, puisque le problème c’est la dépense dans l’absolu, si on augmente les unités. En revanche il y a bien un poste qui a drastiquement baissé c’est celui de l’aide sociale du château. Là, pas de cadeau !). Mais le budget lui a augmenté de 1,9 % ! On nous prend pour des ânes.
En fait les diminutions de certains postes ont permis une extravagante hausse d’autres postes et particulièrement de deux :
les voyages
la communication
Avant de s’étendre un instant sur ces deux postes en voici trois autres qui ne manquent pas de faire bondir (Rue89) : Les frais de restauration : le coût moyen d’un repas au restaurant administratif de l’Elysée, hors charges de personnel, a progressé de 27,6% en deux ans, « soit plus vite que l’indice général des prix à la consommation », note la Cour avec un brin de malice. Et le prix de revient moyen d’un repas passe de 4,99 à 21,88 euros…
8 serveurs, 11 cuisiniers, 2 pâtissiers, cela semble beaucoup pour servir 500 repas par jour, estime la Cour. La « table du Palais » coûte au total 8,3 millions d’euros, soit 7,4% du budget global de l’Elysée… « On peut s’interroger sur l’importance » de cette somme, dit le rapport.
Autres sources d’économies imaginables : les fleurs, dont le budget (297 252 euros) s’est alourdi de 8% et les achats de journaux en kiosque (391 634 euros), qui pourraient être remplacés par des abonnements aux tarifs très préférentiels.
On assiste donc à des hausses vertigineuses de ces postes car ne l’oublions pas selon Fillon en (septembre 2007) l’état est en faillite, Sarkozy (janvier 2008) on ne peut vider des caisses qui sont vides et l’économie mondiale (septembre 2008) on est en pleine crise gravissime, le château, lui, se fleurit, se restaure à s’en faire péter la sous-ventrière et et lit ses quotidiens. Pour ces derniers on a eu une réponse absurde de la part du château : ces messieurs et dames veulent les journaux avec les croissants, l’abonnement serait un peu lent. D’une part il paraît complètement surréaliste que tous les services aient besoin d’informations immédiates et en plus un abonnement internet, moins coûteux en plus d’un abonnement classique, est plus immédiat encore et renouvelé qu’un achat au kiosque. Cela ne tient pas une seconde et d’autant qu’il y a déjà et en plus 69 334 € d’abonnement (il serait très intéressant de connaître les titres des journaux et magazines tant en kiosque qu’en abonnement). La réalité est autre et ce sera la conclusion de cet article.
Venons en à nos moutons dépensiers. L’année 2009 a été explosive pour les déplacements et la communication (Juan) : Dans le récent rapport de la Cour des Comptes sur l’année 2009, cette dernière s’inquiète déjà de l’inflation incontrôlée des dépenses de communication du président français : « La médiatisation des déplacements engendre des coûts de plus en plus élevés ». Les dépenses du service audiovisuel d’Elysee.fr sont passées de 465 000 euros en 2008 à plus de 1,2 millions d’euros en 2009 pour les déplacements en France ou à l’étranger. Sarkozy s’est fait fabriquer un décor pour 141 000 euros pour habiller chacune de ses tables-rondes lors de ses « visites de terrain » aux quatre coins du pays.
Avez-vous remarqué ce coût extravagant de 141 0000 euros pour un décor ? Il semble que ce soit une constante, une des constantes des déplacements de Nicolas Sarkozy : il lui faut quelque chose d’unique rien que pour lui (les Echos) : Au G20 de Pittsburgh (Etats-Unis) fin septembre 2009, le service audiovisuel de l’Elysée, jugeant la salle de presse attribuée « incompatible avec les contraintes » (20 minutes par délégation) a loué et aménagé une nouvelle salle pour un coût dépassant 25.000 euros.
Vous imaginez l’impudence ! Vous imaginez la légèreté des dépenses, la facilité de prendre un briquet et de brûler pour une simple conférence de presse alors qu’il existe des locaux faits pour cela un paquet de biffetons pour 25 000 euros ! Vous l’imaginez quand on va se faire serrer la ceinture à tout le monde, que pour pavaner et flatter son égo on gaspille une telle somme pour 20 mn ou même une heure et faire plaisir à ce qui n’est qu’un monarque élu grâce vraisemblablement au financement de sa campagne de façon illicite en détournant la loi ! Et Migaud trouve que tout va très bien madame la marquise, que Sarkozy, loué soit-il, paye de sa poche, le gentil garçon, ses dépenses personnelles, sans que l’on ait à lui faire l’avance, lui qui ne touche que 20 000 euros par mois !
Et celles-là, cela ne vous écœure t-il pas ? : A l’occasion de son déplacement dans l’Ain le 10 septembre 2009, « 68 personnes vous ont accompagné », rappelle le rapport. Le coût, pour deux heures et demie, s’est élevé à 128.291 euros, dont 17.000 euros pour aménager une scène dans un gymnase. Dix jours plus tard, 132 personnes (et 31 membres d’équipage) ont accompagné Nicolas Sarkozy à New York pour l’assemblée générale de l’ONU, pour un coût de 1,15 million d’euros. Les effectifs des délégations « sont le facteur déterminant du coût croissant de vos déplacements », indique le rapport, qui recommande « un pilotage unique et central ». Les dépenses des « précurseurs », envoyés quelques jours avant pour préparer un déplacement, sont pointées du doigt, notamment les locations de voitures avec chauffeurs (45.635 euros pour 22 personnes à New York).
On envoie 22 personnes (! !) qui ne se contentent pas de taxi, non, des voitures avec chauffeur, dont on se demande pourquoi ils sont si nombreux pour une visite officielle à New York (ils avaient des courses à faire dans la 5ème ?) sachant que :
a- il y a une ambassade sur place ou un consulat qui peut très bien s’en charger
b- que ces sommets sont organisés par les invitants et donc que tout est prévu.
Et en France 17 000 euros pour aménager un gymnase, près de 130 000 euros pour un déplacement de 2 heures et demie ! On ne peut qu’être sur le cul si vous me permettez cette expression.
Enfin voici d’autres dépenses, celles de communication : Au total, les dépenses engagées par ce service ont doublé pour les déplacements en France (681.388 euros) l’an dernier, et triplé pour ceux à l’étranger (378.077 euros). « L’engagement de ce type de dépenses est laissé à la seule appréciation de votre cellule de communication sans aucun contrôle en dépit de leurs montants », critique la cour.
La conclusion en ce qui concerne ce rapport est très simple : il n’est qu’une imposture. Les conclusions générales sont favorables tant sur le fond que dans la forme, alors que son contenu pêche parfois par une grande timidité, ne se préoccupe pas de la valeur intrinsèque du budget, dévie quand par exemple il parle de réduction de coût unitaire au lieu de coût global qui lui est en hausse, noie le poisson quand il parle de baisses significatives quand le budget lui-même est en hausse significative, qu’il ne repère pas les transferts de budget, qu’il ne tient pas vraiment compte des budgets financés par d’autres ministères (Matignon, la culture, la défense) ce qui fausse le budget qui est déjà explosif par rapport à ceux de ses prédécesseurs, qu’il n’a aucun commentaire dans sa conclusion sur le manque de contrôle du budget de communication, de son flou, aucune critique sur le basculement du budget avec des augmentations himalayennes pour la communication, la restauration et les déplacements (5 millions d’euros engloutis pour 56 déplacements en province, un coût des voyages en hausse de 26% en Europe, de 36% en France, de 46% à l’étranger... Lors de ses vols moyens courriers, le chef et son équipe sont restaurés pour 115 à 169 euros le repas en moyenne. Juan). C’est une République de l’indécence et de la manipulation.
Ce que nous dit ce rapport en fait c’est que Nicolas Sarkozy se construit une image factice de lui-même, pour lui-même d’abord son égotisme est tel qu’il ne peut agir autrement, mais aussi pour les Français. Il use donc des deniers de l’Etat pour faire sa propagande ce qui est évidemment inadmissible tant démocratiquement parlant que constitutionnellement et même, à voir, juridiquement parlant, pour ne pas dire judiciairement parlant. Ailleurs on appellerait cela du détournement de fonds, de l’abus de bien social. Ceci démontre aussi autre chose d’assez limpide : Sarkozy entretient une cour et use de son poste de président de la République pour en vivre comme un monarque aux dépenses somptuaires. Et pour cela il emmène le plus de monde possible croyant que sa puissance et son rayonnement se mesure aux prébendes qu’il distribue et au nombre de valets qui le suivent et à la magnificence avec laquelle il les reçoit ( 169 euros le repas, on croit rêver !). Il se sert des caisses de l’Etat pour jeter des louis d’or sur son passage et payer ses services afin que, là où il arrive, il soit chez lui, dans son décor, avec ses chroniqueurs vassalisés et attitrés qui feront un portait impérial de lui, flatteur, avec des moyens techniques et humains disproportionnés (il n’a pas fallu moins de 10 communicants pour son voyage dans l’Ain, on ne sait plus s’il faut en rire ou en pleurer, se pincer pour savoir si c’est vrai). Quelle bouffonnerie ses deux déplacements par semaine qui sont médiatisés. Pour dire quoi ? Et quand travaille-t-il ? Entre tous ses déplacements, toutes ses perpétuelles réunions avec les élus, les militants et les caciques de l’UMP, puis les élus et les caciques de la majorité (ses partis satellites), avec ses communicants, ses innombrables WE de quatre jours à Cap Nègre (il y est encore aujourd’hui sans doute) où trouve-t-il le temps pour s’occuper un peu réellement des Français et de la France ?
La vérité toute nue, mais que l’on connaissait déjà, c’est qu’il se sert de l’Etat pour vivre comme un nabab, que ses déplacements ne sont pour lui qu’une manière de se démontrer qu’il est un puissant qui peut offrir à ses affidés des petits fours, qu’il démontre à la face du monde à quel point il vit dans le luxe, un luxe volé. Il croit peut-être que cela fait de lui un Windsor ou en plus petit un Grimaldi. Ce basculement au sein des dépenses de l’Elysée dont le budget global finalement ne baisse pas mais augmente, en faveur des voyages somptuaires et de la communication est fort inquiétant. Il prouve une augmentation sensible de la personnalisation et de la jouissance du pouvoir, une jouissance matérialiste. Sarkozy devient une sorte de gigolo de la République, qui vit royalement à ses dépens et qui veut manipuler les Français en usant des fonds de l’Etat à l’opposé de toute morale et de toute éthique et bien évidemment de tout respect démocratique et pour les futures élections d’égalité dans le combat. Quand on sait que 120 millions d’euros vont être consacré par SGIG pour faire de communication et qu’en plus il est demandé de faire en sorte que ce n’est pas l’air d’être de la communication alors qu’au contraire à toute intervention de communication d’Etat devrait être apposé en gros un logo afin de nous avertir que ce reportage, cette émission, ce spot est réalisé à la demande du pouvoir avec notre argent, on ne peut qu’être encore plus inquiet de l’avenir démocratique dans notre pays.
Si vous êtes intéressés vous pouvez retrouver gratuitement ici :
La cour des comptes ?.. Une vaste blague mis en place pour la com de sarko.. Un truc où lèche-culs et lèche-bottes rivalisent de salive pour nettoyer les magouilles et dépenses du nainpérial.. La transparence comme l’eau du golfe du mexique..
( Petite mise à jour : nouveautés en italique-gras)
Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Boc-as-sa , né le
28 janvier 1955 dans le 17e arrondissement de Paris. Titulature :
Sa Majesté naimpériale le nabot Leon, Tsar Kozy de toutes les
Hongries. - Roi des Présidents, Président des Rois, Président
des Présidents, Roi des Rois - Maître du monde - Guide suprême -
Divin Konductor - Génie des Hauts-de-Seine & Capo di tutti
capi de Levallois - Nil de la pensée (unique) - Géniteur
des Dieux - Leader vénéré - Libérateur du Libéralisme - Grand
Timonier à vue - Petit (très petit) père des pipoles - Commandeur
des Chevaliers du népotisme - Grand croix de perversion narcissique -
Docteur deshonoris causa Es-Manipulation - Attila de la Démocratie
(« La Démocratie ne repoussera pas derrière moi ») - Néron des Droits
de l’Homme - Dépeceur de la Constitution - Grand prêtre de
l’Orient Tatcherien des courtisans du cac40 - Dilapidateur des
deniers publics. - Diplomé de l’Université Ferdinant Marcos de
corruption. - Doctorat en Omar Bonguisme appliqué. -
Licencié Es-Mobutu de pillage de l’état. - Failliteur
de l’Etat - Camelot-Liquidateur des institutions au secteur privé -
Davos d’or de bradage de l’économie Française - Grand Stakhanoviste
du minage de fond du déficit budgétaire - Généreux donateur aux
banques - Cordon d’Admirateur servile et Protecteur des riches et des
puissants - Chef-Fossoyeur de la Justice - 1er prix d’ecarissage
de l’Education Nationale - Doctorat en euthanasie de la Santé
Publique - Meilleur éradiqueur des Libertés - Maître en
déstabilisation de la paix civile - Affameur de l’agriculture -
Décoré de la croix du Medef (avec palmes) pour le démantèlement des
acquis sociaux du Front populaire et du Gaullisme - Secrétaire
perpétuel de l’Académie des mensonges - Grand psychoseur des naïfs -
Master en récupération de faits divers - Prix G.W.Bush de corruption
des consciences - Loyal frère de la Fraternité
Cheney-Romsfeld-Volfowitz pour une gouvernance mondiale non-démocratique -
Maître de conférence en cuistrerie médiocre - Eternel recalé
de langue Française. - Membre d’honneur et perpétuel de la
SDEDDEDJFDCNEDSPBJLM (Société Des Egoutiers Du Dimanche Et Jours Feriés
Du Cap-Nègre Et De Sa Proche Banlieue Jusqu’à La Mer)
Je suis surpris qu’un parfait anonyme puisse tous les jours calomnier le Président de la République, comme morice l’autre anonyme qui défend mordicus son athéisme.
Le CV d’Imhotep est riquiqui : « Rédaction d’une petite histoire du mouvement démocrate »
Pas mal, pour quelqu’un qui est parti de rien, imaginez, il développait des petits logiciels sur tableur Excel dans une étude notariale.
C’est très peu pour être compétent et en plus, il se cache derrière l’anonymat pour tous les jours, répéter les mêmes fausses accusations.-))-))
Euh je n’ai jamais travaillé dans une étude notariale mais j’ai été conseiller financier et par ailleurs j’ai développé, non sur excel, des logiciels pour des banques dont un pour une banque hypothécaire, logiciel traitant des droits de mutation en traitant des divers cas de fiscalité.
Ce cacher derrière un pseudo « mourid » à consonnance étangère et venir pondre 14 commentaires en tout et pour tout, tous plus racistes, débiles, inutiles, les uns que les autres et en plus critiquer Imhotep ! Si c’est pas être le parangon de la médiocrité, de l’incompétence du crétinisme ça !!
@ Imhotep, ça y est j’ai réussi à passer un article !!Youppiiii !!! il faut dire que l’occasion du scandale WAUQUIEZ tellment ENORME a fait le larron ! dit Furio,
mais il oublie d’indiquer que son billet dont il est si fier a été pompé mot pour mot ici :
sauf que francis.l.55 c’est moi sur Médiapart !!lol !! ça ne lui a même pas effleuré l’esprit ! lo !!mourid de rire ! C’est dire s’il en a ! De plus le billet de Agoravox a été soumis à la modération avant le 19. ben oui !
@ Imhotep, ça y est j’ai réussi à passer un article !!Youppiiii !!! il faut dire que l’occasion du scandale WAUQUIEZ tellment ENORME a fait le larron !
Pendant que Monsieur se dore le gras du bide, les petits porteurs et autres ramasseurs de fonds sillonnent le pays et l’Etranger pour la grande Quète de 2012 ! Tout est bon pour ces collecteurs umpistes, l’argent sale, les magouilles avec les grands financiers, les hedges funds, etc..et principalement en espèces au delà de 7500€ SVP !
Suite royale, massages : voyage ordinaire aux frais de la Pécresse.
Un voyage d’affaires à l’étranger, cela coûte toujours très cher. Celui de Valérie Pécresse en Asie en juin 2008 ne fait pas exception. Mais certaines dépenses de la ministre et de son équipage soulèvent des questions. Nous les avons soumises au ministère, sans obtenir toutes les réponses que nous souhaitions.
Dans certains pays comme la Suède, il est très facile, pour tout citoyen, de vérifier les notes de frais des ministres et autres représentants de la collectivité. En France, la transparence est encore un concept « en devenir ».
C’était en juin 2008. A une autre époque… Juste avant la crise économique, un temps où les membres du gouvernement profitaient sans souci des petits et grands privilèges de la République. Les 13 et 15 juin 2008, la ministre Valérie Pécresse représente la France, qui préside le G8 de la Science et de la Technologie, pour une réunion prévue à Okinawa au Japon.
Dans les faux frais (348 euros), la facture de l’hôtel fait état d’un « bT[W ». Comprenez un « massage » et même deux -un chaque jour- au bénéfice de la chambre 1180 (la chambre occupée par Valérie Pécresse), pour un total de 12 600 yens (75 euros). Ainsi qu’un coiffeur/maquilleur pour 10 500 yens (63 euros).
Explication du cabinet :
« Effectivement, ces extras figurent bien sur la facture. Dans le cas d’une dépense personnelle, soit c’est payé directement par la ministre, soit c’est remboursé a posteriori. C’est ce qui s’est passé, elle a remboursé les deux massages et le coiffeur. »
A la question de savoir si Rue89 peut consulter le bordereau de remboursement, le cabinet répond :
« Il faut nous croire sur parole, mais je vous assure, vous vous trompez de client, ce n’est pas du tout son genre : il y a une séparation claire entre les choses. »
L’histoire ne s’arrête pas là. Comme l’a révélé le Canard Enchaîné, l’hôtel d’Okinawa a dû batailler quelques semaines pour se faire payer - via l’office du tourisme japonais -, car personne ne voulait prendre en charge le reliquat de l’escapade : 2 921 euros. Ni les Japonais, ni l’ambassade de France à Tokyo, ni l’ambassade du Japon à Paris, ni même le ministère…
Après quelques allers-retours, la douloureuse a finalement été réglée à l’automne 2008. Question : pourquoi la délégation n’avait-elle pas de quoi payer l’addition ? Simplement parce qu’elle est arrivée au Japon les poches vides.
La veille, Valérie Pécresse était au Vietnam. Une escale de 24 heures, les 11 et 12 juin 2008, juste après une étape à Singapour, les 10 et 11 juin, où elle a inauguré un cargo du groupe Louis Dreyfus.
Arrivée mercredi soir à Hanoï, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche enchaîne jeudi matin trois rendez-vous protocolaires avec ses homologues, ainsi que l’indique son agenda officiel. Puis plus rien pour l’après-midi.
En fait, comme le raconte Franck Renaud dans son livre « Nos amis les Diplomates », elle profite de ce temps libre pour faire une virée en hélicoptère en baie d’Halong. Départ : 12h45, pour trois-quarts d’heure de vol. Retour : 17h45.
Officiellement, il s’agit d’effectuer une visite de terrain consacrée à la biodiversité, avec un spécialiste du sujet… en milieu forestier, pas en milieu marin. Or, les arbres sont rares sur les îlots de la baie d’Halong. La délégation, raconte Franck Renaud, compte une quinzaine de personnes.
Entre les deux vols en hélico, l’équipage a surtout profité de la douceur locale pour déguster un plat de fruits de mer sur une jonque.
« Je ne vous donnerai pas le coût de ce déplacement qui a été pris en charge par le ministère. Pour l’instant, la ligne « déplacement » est annuelle. Le jour où le détail sera demandé, nous le donnerons. »
Chiche, mais « demandé » par qui ? Pas par nous, visiblement.
« l’excellent reporter et coach de Nicolas Sarkozy, un certain Pujadas, qui ne bouge pas une oreille quand son interlocuté se répand en 20 mensonges gros comme la tour Eiffel »
Très fort !
A propos de Pujadas, noter comme celui-ci observe un silence on ne peut plus poli et complice lorsque dans son 20H le reportage qu’il lance se trouve contenir des images truquées de soi-disant « bains de foule » sarkozyens (manipulations et trucages qu’il ne peut ignorer) - qui semblent d’ailleurs se multiplier ces derniers temps :
Ces mises en scènes et autres trucages sont sans doute pour quelque chose dans « Les dépenses du service audiovisuel d’Elysee.fr (...) passées de 465 000 euros en 2008 à plus de 1,2 millions d’euros en 2009 pour les déplacements en France ou à l’étranger »...
Philippe Courroye est pris en flagrant délit de mensonge. Philippe Courroye prétend dans LE FIGARO : « Les propos prêtés par Mediapart à Claire Thibout concernant un financement politique généralisé ont été démentis par ses auditions devant les enquêteurs. »
Or, c’est faux.
Lisez ce qu’a déclaré Antoine Gillot, l’avocat de Claire Thibout :
Me Gillot affirme encore que sa cliente « ne s’est aucunement rétractée et a maintenu mot pour mot » ce qu’elle avait déclaré au journaliste de Mediapart. Notamment les « espèces demandées » par Patrice de Maistre « pour la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy » et le versement de ces fortes sommes en liquide à Eric Woerth. Claire Thibout confirme également les visites de Nicolas Sarkozy chez Liliane Bettencourt, comme d’autres hommes politiques de droite. Et qu’à l’occasion de ces visites de politiques, « il lui était demandé de préparer des enveloppes avec des espèces », explique l’avocat. Monsieur et Madame Bettencourt « se montraient très généreux avec les personnels politiques de droite », a-t-elle réaffirmé aux enquêteurs. Tout en concédant que Claire Thibout n’avait jamais assisté personnellement à des remises d’enveloppes. « Je crois que la vérité va sortir », pronostique l’avocat, évoquant les documents produits par le site marianne2.fr (près de 400.000 euros sortis en liquide dans les mois qui ont précédé l’élection présidentielle, ndlr).
La banque Dexia, où l’ex-comptable de Liliane Bettencourt a retiré à sa demande 100.000 euros en espèces quatre mois avant la présidentielle de 2007, a refusé au préalable un retrait de 500.000 euros à la milliardaire, révèle l’hebdomadaire Marianne à paraître samedi.
Selon Marianne, qui cite des documents internes de la banque découverts lundi par les enquêteurs de la brigade financière, « Liliane Bettencourt avait demandé à tirer non pas 100.000, mais 500.000 euros » à la banque Dexia, en décembre 2006.
« Devant l’énormité d’un tel retrait, et craignant sans doute d’avoir à se justifier devant Tracfin, l’organisme chargé de la lutte contre les mouvements illicites de capitaux, les responsables de la banque (...) ont refusé de lui accorder une telle somme », précise l’hebdomadaire, qui s’interroge sur la destination de cet argent.
Dans un entretien accordé début juillet à Mediapart, l’ex-comptable Claire Thibout a évoqué un financement politique illégal par le couple Bettencourt, assurant notamment que le ministre du Travail, Eric Woerth, trésorier de l’UMP, avait reçu 150.000 euros en espèces au printemps 2007 pour financer la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy.
Entendue par les policiers, Claire Thibout est revenue partiellement sur certaines de ses déclarations, mais a maintenu ses accusations sur le financement de la campagne présidentielle de 2007, qualifiées de calomnieuses par M. Woerth et l’Elysée.
Selon Marianne, les agendas de l’ancienne comptable et du gestionnaire de fortune de Mme Bettencourt, Patrice de Maistre, saisis par les policiers au cours de leurs perquisitions, font bel et bien état de rencontres entre le gérant de fortune de la milliardaire et M. Woerth en janvier 2007.
Dans l’agenda de Mme Thibout, un rendez-vous avec M. de Maistre serait mentionné, le jeudi 18 janvier 2007, où serait indiqué : « Pour donner enveloppe qui donnera à Patrice ».
Dans celui de M. de Maistre, un rendez-vous avec Eric Woerth serait indiqué, dans un « café », le vendredi 19 janvier.
Le style propre aux rapports de la Cour des Comptes doit être totalement étranger au rédacteur de l’article (et l’attaque ad hominem contre son président est typique des imprécateurs de tout poil). La Cour des comptes a fait l’objet d’attaques virulentes de Guéant et des UMPistes (et Mingaud aussi pris à partie) pour un rapport sur l’organisation et la gestion des forces de la sécurité publique.. Et en fait tout l’article repose sur le rapport de la Cour : ainsi, sur la baisse du budget sondages, le rapport ajoute « Il est vrai qu’une partie des commandes a été exécutée par l’intermédiaire du SIG » qui dépend du 1er ministre ; donc la Cour n’est pas dupe du tour de passe-passe. Le rapport note aussi que pour les déplacements de Sarko, le ministère de l’intérieur refuse de donner le coût des mobilisations de CRS, gendarmes mobiles, GIPN, etc. Quant à Air Sarko one, le rapport décortique le coût, notamment du fameux four à pizza.