Oui, c’est vous qu’elle regarde ! Vous, les followers de l’Otan ! Est-ce celà que l’Occident veut défendre et pérenniser ?
Les médias russes sont censurés par l'Occident. En France et dans tous les pays inféodés aux Etats-Unis et à l'Otan, les seules infos accessibles au grand public, matraquées par les grands médias, sont celles qui ont été reformatées par le pouvoir en place, par les milliardaires, par les grandes sociétés capitalistes et par la clique politicienne qui les sert docilement.
La censure est là pour protéger le régime ukrainien de Zelenski et pour permettre aux milices néo-nazies de multiplier les provocations militaires contre la Russie, pour les aider à faire régner et perdurer à Kiev l'ordre moral de l'Occident.
En Ukraine, avec l'Otan, avec Zelenski, avec le bataillon Azov et le Secteur Droit, avec le parti Svoboda comme hier avec Porochenko, les dirigeants félons de l'Occident et les médias aux ordres défendent "le monde libre" et "la démocratie" sous la houlette de Washington, parangon incontestable, chacun doit en convenir, des protecteurs de la paix mondiale....
Les prédateurs de l'oligarchie et les politiciens véreux qui trahissent la nation et leurs mandats pour mieux les servir, satisfaisant à tous leurs desiderata tandis que les revendications des travailleurs et les besoins de la population sont traités avec mépris et condescendance, voient dans la guerre une aubaine pour étouffer les revendications des travailleurs et les libertés citoyennes en même temps qu'un moyen inespéré d'engranger des profits faramineux.
Il y a mieux à faire que de se laisser embobiner par leur baratin, que de se laisser embringuer dans leur croisade impériale pour la préservation du monde unipolaire, soumis à washington, qui étrangle les peuples et saccage les nations, un monde où la loi canonique de la course aux profits et la conquête d'avantages géo-stratégiques comptent plus que la dignité humaine et le respect d'autrui, un monde en pleine deliquescence dans lequel la protection de barbares au service d'intérêts mafieux compte plus que la vie d'une jeune fille, un monde où la pérennisation du pouvoir de l'oligarchie compte plus que préservation de la paix et le bien être des populations, un monde qui enferme les peuples de toutes les façons possibles et imaginables pour mieux les précipiter dans l'anéantissement de la civilisation qui bride (outrageusement, n'est-ce pas ?) les appétits des amateurs de dividendes.

Un article de Supratim BARMAN du 29/03/2022
Oui, vous, ceux de l'Otanistan, otanisés volontaires ou pas. C'est vous qu'elle regarde, cette jeune fille saucissonnée contre un poteau et exposée aux sarcasmes des passants, et à pire encore, dans "l'Ukraine démocratique" de Zelenski que défendent l'Otan, les médias et les dirigeants occidentaux. Cette jeune fille a le tort d'être Rom et de ne pas appartenir à la race supérieure des vrais Ukrainiens, et c'est vous qu'elle implore.
Cette photographie et l'extrait du tweet qui l'accompagne, repris en titre, ont été publiés par Pepe Escobar. Twitter a pris soin d'effacer tout ça la semaine passée.
C'est celà que vous défendez ? c'est aux auteurs de ces pratiques barbares que vous apportez votre appui ? Vous m'épatez ! Moi, non. Je ne défends pas ça ! Je n'ai jamais séjourné en Ukraine, ni dans la Fédération de Russie. Mais... ce n'est vraiment pas utile que j'y aille car je ne pourrais pas supporter d'être le témoin impuissant de telles atrocités, où que ce ce soit sur la planète Terre.
Je suis pourtant un amateur d'échecs (Je me débrouille assez bien). Mon fils aimait ça ; il était si doué, très jeune déjà, que nous avons parcouru ensemble tout le territoire du Royaume Uni, d'un tournoi à l'autre, au cours de sa onzième année. Je connais donc à peu près tout du parcours initiatique des joueurs d'échecs de la Grande-Bretagne. Cela me ramène onze ans en arrière. Nous avons, lui et moi, rencontré un grand nombre d'Ukrainiens et de Russes passionnés par ce jeu et avides de compétitions.
Tous ceux que j'ai rencontrés étaient très bien élevés. C'étaient des gens pleins d'empathie. Ils étaient très respectueux des règles de la décence et de la dignité de chacun. Ils étaient aussi très intelligents et attentifs au monde qui les entourait.
Ces compétitions individuelles ne duraient jamais moins de trois heures et vous tenaient quelquefois scotché en position assise, le nez au-dessus de l'échiquier, face à votre adversaire, six heures durant. Tandis que mon fils jouait, j'avais tout loisir de flâner à l'extérieur ou dans les galeries et les salles où se déroulaient les championnats. C'est ainsi que j'ai été amené à rencontrer toutes sortes de gens très différents, et à m'en faire de bons amis tandis que nous discutions un peu de tout, des parties d'échecs, de la politique et des choses de la vie.
Beaucoup de joueurs d'échecs sont aussi de grands fumeurs. Cela contribuait aussi à nous rapprocher. C'est ainsi que j'ai rencontré Vladimir. Il avait participé à trois campagnes au Vietnam, sur une période de cinq années. C'est plus de quatre mille conseillers techniques qui avaient été envoyés là-bas à la fin des années soixante et au début des années soixante-dix. L'Union Soviétique n'a jamais reconnu avoir fourni ce type d'aide au Vietnam, ni avoir dépêché ces conseillers sur place.
La tâche de Vladimir était d'aider l'Armée Populaire du Vietnam (la NVA, l'armée du Nord-Vietnam comme l'appelaient les Américains) à acquérir la maîtrise des techniques sophistiquées des stystèmes de missiles anti-missiles de la défense aérienne (les SAMs) dont le déploiement était d'une nécessité absolue pour contrer les bombardements aériens massifs et incessants des Américains. Vladimir était Ukrainien. Il était citoyen de la République Socialiste de l'Ukraine qui était alors partie intégrante de l'URSS.
Il racontait comment les Vietnamiens, lui et ses compagnons d'aventure, avaient découvert et compris ce qui vous tuait quand les ondes de choc des explosions traversaient vos cavités nasales en provoquant des hémoragies qui vous faisaient pisser le sang par les yeux et le nez, vous conduisant ainsi à la mort.
Pour atténuer l'effet de ces ondes de choc qui comprimaient l'air pour le propulser aussitôt après, en cascades de vagues concentriques fulgurantes, sur toute la zone frappée par ces explosions massives, il fallait creuser des tranchées et s'y blottir jusqu'à ce que l'onde de choc de la déflagration soit passée au-desssus de votre tête. Volilà pourquoi il y avait tant de tunnels sur tous les théâtres de la guerre du Vietnam.
Quand les Américains ont déversé leurs tapis de bombes sur l'Irak en 1991, les Vietnamiens leur ont conseillé de creuser des tranchées d'une profondeur de 1,80m. Mais ça n'a servi à rien, parce qu'entre temps, depuis qu'ils avaient dû fuir Saïgon en 1975, les Etats-Unis avaient mis à profit les vingt années qui s'étaient écoulées depuis pour sophistiquer leurs engins de guerre. L'Irak a été détruit par des campagnes massives de bombardements opérées avec des missiles, guidés par satellites, conçus pour diffuser leurs ondes de choc trois mètres sous terre, et pour pulvériser les fondations des bâtiments, les infrastructures urbaines et les voies de communication, aussi bien les routes que les chemins de fer..
En fait, en 2003, les ondes de chocs de ces bombes volantes perfectionnées ont même détruit les sites archéologiques mis à jour sur les sites irakiens de Ninive, Our, Babylone (Hillal), Babel, cités dans la Bible, le livre saint que les Forces Armées Américaines emportaient avec elles en mission, en allant détruire ces lieux saints qu'elles étaient censé vénérer.
Ce que disait Vladimir, c'était que l'objectif apparent des Américains au Vietnam, c'était de déverser sans discontinuer sur tout le territoire de ce pays, autant de bombes que possible, de toutes sortes, sans cibler particulièrement quelque objectif militaire que ce soit. Il importait essentiellement de bombarder à loisir, juste pour le plaisir, un peuple inférieur qui ne méritait apparemment pas autre chose.
La mission de Vladimir consistait à installer correctement, et à modifier de façon appropriée, les missiles anti-missiles (les SAMs) à l'abri de tranchées profondes, et à mettre ainsi en place un système de défense anti-aérienne opérationnel, redéployable à volonté au travers de ces tunnels.
Cela a fonctionné et les bombardiers américains ont dû voler beaucoup plus haut pour se protéger des missiles SAMs lancés contre eux tandis qu'ils continuaient de massacrer les peuples du Laos, du Cambodge et du Vietnam.
C'est plus de trois millions de personnes que les Américains ont massacré de cette façon au Vietnam et ils sont toujours incapables d'expliquer aujourd'hui pourquoi ils ont fait ça.
C'est quoi, le rapport de l'Ukraine avec tout ça ? Quel rapport avec le regard de la jeune fille ligotée à un poteau sous le nez des passants, qui nous interpelle ?
En fait, tout ça (la barbarie fasciste au quotidien), faisait les gros titres de la presse britannique en 2012, l'année où l'Ukraine a hébergé les championnats de football de l'UEFA. Les footballeurs anglais voulaient vraiment y participer puisque leur équipe était dans le groupe D et que les matches de ce groupe devaient se dérouler en Ukraine. Mais, dans le même temps, la BBC encourageait les joueurs d'origine asiatique et caribéenne à ne pas s'y rendre, à ne pas y participer. La raison mise en avant était le problème des Skinheads déjà fort préoccupant à cette époque là.
La manchette ci-dessous est extraite du quotidien "The Guardian". Si on clique sur ce lien [1] on peut retrouver des articles toujours disponibles sur Internet.
[Andriy Khomytskyy, 29 ans, l'un des conseillers municipaux de la ville de Lvov (partie occidentale de l'Ukraine), explique qu'il n'y a pas de problème de racisme dans sa ville vu qu'il y a très peu d'étrangers. Ce que dit Khomystkyy, c'est que le moyen le plus efficace de limiter les incidents racistes, c'est de limiter l'immigration.]
CNN n'était pas en reste et titrait sans équivoque : [2]
(court extrait du lien)
"L'UEFA exige une condamnation claire du racisme."
"Les instances dirigeantes de l'UEFA ont demandé à la Pologne et à l'Ukraine qui accueillent les championnats de ne tolérer aucun comportement raciste à l'occasion du tournoi de l'euro 2012.
L'ombre des indignités racistes a plané sur le début du championnat qui voit les clubs de se mesurer aux équipes des autres pays tous les quatre ans, avec les récriminations de l'équipe du Danemark qui s'est indignée d'avoir à supporter des chants de singes durant la séance d'entraînement de la semaine dernière. Les Pays-Bas ont décidé de ne pas déposer de plainte officielle suite à cet incident survenu à Cracovie en Pologne.. Néanmoins, l'UEFA a adressé un courrier officiel aux maires de toutes les villes accueillant des rencontres en leur demandant d'apdopter une tolérance zéro à l'égard des actes et des propos racistes susceptibles d'advenir. Une copie de cette directive a été adressée à Joanna Mucha, le Ministre des Sports de la Pologne..../..."
Aujourd'hui, ces mêmes organes de presse présentent l'Ukraine sous un tout autre jour. Ce serait désormais un bastion des libertés, de la démocratie, des valeurs européennes, du respect de la décence et de la recherche de l'Harmonie. Cette même presse enjoint l'Otan d'envoyer en Ukraine des "conseillers techniques" -"non-combattants" pour y installer des systèmes de missiles anti-missiles afin d'aider les Ukrainiens à se défendre des frappes aériennes russes et des missiles de leurs tirs de barrage.
Au Royaume Uni, ceux qui se réclament de la gauche mettent l'intervention de l'armée russe en Ukraine sur le même plan que l'intervention de l'armée des Etats-Unis au Vietnam. Mais ce n'est pas du tout la même chose. Le Vietnam n'était pas un état fasciste truffé de groupes néo-nazis et gangrené par le racisme. Quand mon ami ukrainien Vladimir est allé au Vietnam dans les années soixante-dix, c'était pour les aider à se défendre contre une machine de guerre démente qui affichait clairement et avec délectation l'objectif de "les bombarder autant et aussi longtemps qu'il le faudrait pour les ramener à l'âge de la pierre".
La Russie est intervenue militairement en Ukraine pour empêcher un état fasciste, en gestation avancée à sa frontière, de menacer directement sa sécurité et son existence. Les Etats-Unis, eux, sont intervenus au Vietnam pour combattre "l'effet domino du communisme" qui n'a jamais constitué la moindre menace pour la sécurité et l'existence des Etats-Unis en tant qu'état-nation.
L'Irak ne constituait pas, lui non plus, la moindre menace pour les Etats-Unis. La pitoyable "Madeleine Pasbright du tout" avait livré sans vergogne le fond de sa pensée en déclarant que les cinq cent mille enfants irakiens morts des suites de cette intervention n'était qu'une peccadille et que ça ne remettait aucunement en cause le bienfondé de cette agression : "ça en valait la peine !" Là- aussi, comme pour le Vietnam, on ne sait toujours pas pourquoi. Pourquoi ?
Qu'est-ce qui justifiait la mise à mort atroce de ces enfants condamnés à la famine ?
Cela restera à jamais un mystère puisque la pitoyable "Madeleine Pasbright du tout" n'était pas elle-même en capacité de se justifier, ne pouvait pas expliquer ce qui l'avait poussée à une telle barbarie.
La Russie n'est pas en train de détruire l'Ukraine comme les Etats-Unis ont détruit l'Irak, rasant une ville après l'autre, sans rien épargner : ni les écoles, ni les hôpitaux, ni les installations pour la fourniture d'eau potable, ni les stations d'épuration ni les égoûts. Ils n'ont pas épargné non plus les centrales électriques, les routes et les chemins de fer. Ils ont détruit les universités, les logements collectifs et les maisons des populations, Leurs tapis de bombes ont tout anéanti. Ils ont anéanti la civilisation qui pré-existait au déclenchement de leur agression barbare.
Là encore, sans avoir de raison valable, avérée, crédible, sans avoir d'explication raisonnable à présenter. Juste parce que cela les amusait, sans doute ! Les Américains manquaient de distractions.
Sur le Laos et le Cambodge, les Américains ont fait pleuvoir tant de bombes qu'à cinquante années de distance, des agriculteurs et des enfants continuent de mourir en déclenchant accidentellement l'explosion de ces munitions qui restent autant de pièges meutriers obscènes.
En 1999, c'est pendant soixante-douze jours que l'Amérique a pris son pied en s'acharnant à bombarder la Serbie.
En Ukraine, la Russie s'applique à concentrer le feu de ses armes contre les infrastructures militaires. Elle combat l'armée ukrainienne en respectant les règles qui s'imposent à une armée en campagne, mais ses soldats éliminent sans remords les milices nazies et les mercenaires venus leur prêter main forte. Si cela n'avait pas été le cas, les pertes civiles auraient été bien plus considérables et les autorités ukrainiennes n'auraient pas manqué d'en faire continuellement étalage. Il y a des reporters de l'agence CNN à Lvov. Ils ne rapportent pas de scènes de destructions d'objectifs civils ciblés inconsidérément par l'armée russe, pour le plaisir de détruire.
Ce qui se passe en Ukraine n'est en rien comparable à ce qui est advenu au Vietnam, au Laos, au Cambodge, en Serbie, en Irak, au Yemen et en Libye par l'entremise des Américains appliqués à bombarder les populations civiles sans discrimination, et à perpétrer des scènes d'apocalypse d'envergure biblique.
En 2012, la presse britannique faisait ses gros titres en dénonçant le cancer du fascisme et du nazisme qui ravageait l'Ukraine.
Dix années plus tard, en 2022, elle se refuse à publier la photographie qui illustre cet article, celle d'une jeune fille de nationalité ukrainienne, il n'est pas inutile de le préciser.
Washington va s'efforcer de faire durer ce conflit aussi longtemps que possible. Ils vont tenter d'installer durablement un espace de déstabilisation et de chaos au coeur même du continent européen, offrant ainsi un terrain d'entraînement et un espace de développement aux groupes fascistes de la nation aryenne et aux jihadistes islamistes. Ils sont prêts à transformer l'Ukraine en zone d'affontements perpétuels, en terrain de guerre urbaine prolongée ad nauseam juste sous le nez des autres pays européens.
Intéressons-nous un instant aux grands intellectuels du Guardian, bardés de leurs diplômes prestigieux des grandes écoles et des grandes universités privées, forts de toutes leurs lectures et de leur maîtrise de la langue anglaise si précieuse pour vous embobiner avec leurs phrases étonnament bien articulées, et leurs citations obséquieuses et empoisonnées. Ils font chaque jour la démonstration qu'ils ne connaissent rien à l'histoire et se révèlent n'être pas autre chose que des agents corrompus de l'empire et de l'impérialisme.
Vous ne pouvez pas décemment placer un signe d'équivalence entre ce que mon ami ukrainien Vladimir est allé faire au Vietnam pour combattre l'agression américaine et le rôle dévolu aujourd'hui à l'Otan pour défendre l'Ukraine "contre l'impérialisme russe". Si vous persistez à faire cela, vous prenez la défense d'une entité fasciste que vous, l'Otan, vous avez créée et nourrie, et qui va désormais s'atteler au déchirement et au démembrement de l'Europe en factions nationalistes belliqueuses guerroyant les unes contre les autres.
Et les échecs, dans tout ça, quel rapport ?
Il me faut rappeler ici que les meilleurs joueurs d'échecs ont de tout temps été issus de l'Europe Centrale et des grandes écoles de formation de l'URSS.
C'est l'Ukraine, la Russie et les Etats-Unis qui vont trouver une solution adéquate aux problèmes complexes qu'il y a à régler. Les Européens, eux, seront bien incapables de se montrer autres que ce qu'ils sont : des amateurs qui ont retenu quelques unes des ouvertures possibles du jeu d'échecs et qui, du coup, se croient dotés d'une intelligence divine, se voient déjà disposer de la maîtrise du jeu avec leurs belles phrases bien articulées qui leur donnent une apparence si ...sophistiquée, alors même qu'ils se révèlent incapables de nouer proprement les lacets de leurs chaussures.
La gauche (britannique) semble avoir été subornée et et s'être piégée elle-même au jeu de ses finasseries peu glorieuses. Vous, je ne sais pas ce que vous en pensez. Pour moi, en tout cas, il n'y a pas de doute quant à la nature de l'opération militaire spéciale que la Russie a engagée en Ukraine pour dé-nazifier et démilitariser le pays. Elle me semble tout à fait légitime.
Si c'est moi qui ai tort, pourquoi la photographie qui illustre cet article est-elle là ? Que fait l'Otan pour cette jeune fille ? L'Otan a mieux à faire. L'Otan rue dans les brancards pour venir en aide au Bataillon Azov en passe d'être liquidé, pour secourir le Secteur Droit et tous les groupes fascistes européens qui se sont infiltrés illégalement en Ukraine. Peut-être l'explication est-elle plus terrible encore ? Etant elle-même une organisation fasciste, l'Otan ne jouit-elle pas du spectacle et n'encourage-t-elle pas cette barbarie ?
Traduction : Gérard Jeannesson
Source : Oriental Review
https://orientalreview.org/2022/03/29/natostan-shes-looking-at-you/
Liens auxquels renvoie l'auteur :
[1] : https://www.theguardian.com/world/2012/jun/01/euro-2012-ukraine-football-racism-sol-campbell
[2] : https://edition.cnn.com/2012/06/11/sport/football/euro-2012-poland-ukraine-racism/index.html
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