Phage ou phile, c’est du pareil au même !
Merci à Steven Morrissey, ex-chanteur et auteur charismatique du groupe de rock britannique The Smith pour avoir osé l'analogie aussi choquante que vraie entre la zoophagie et la zoophilie. Si Morrissey a atteint ce stade de lucidité, c'est que l'éveil de sa conscience ne date pas d'hier. Il est végétalien depuis l'âge de 11 ans, militant de la première heure pour le droit des animaux, membre de PETA et pro-activiste déclaré ayant donné de la voix pour soutenir l'ARM lors d'actions de saccages de laboratoires pratiquant l'expérimentation animale ou de magasins de fourrure. L'Animal Rights Militia milite pour l'abolition de toutes formes d'exploitation animale.
La lobotomie pour tous interdisant tout dérangement des neurones endormis, tout réveil osé du résidu de conscience enfoui sous des tonnes de certitudes et d'habitudes, ce sujet ne saurait être abordé sans la lubrification mentale préalable conférée par les dires d'une star faisant preuve de courage intellectuel. Une fois n'est pas coutume.
Voici l'une de ses dernières déclarations estimée douteuse pour ceux dont le quotidien est de faire bonne chère au prix de la chair : "Je ne vois aucune différence entre manger des animaux et la pédophilie. Ces deux actes renvoient au viol, à la violence, au meurtre", et d'ajouter : "Si on me présente quelqu'un qui mange des êtres vivants, je m'en éloigne illico. Imaginez, par exemple, que vous êtes dans un bar et qu'une personne vous aborde : Bonjour, j'adore les effusions de sang, les égorgements et l'anéantissement de la vie... Eh bien, je doute que vous lui donneriez votre numéro. ». Qui peut bien argumenter contre ce point de vue analogique en faisant l'apologie, même hédoniste, de la jouissance charnelle ? Michel Onfray et son acolyte Périco Légasse à l'occasion de l'Université populaire du goût ?
Satisfaire son plaisir gustatif ou sexuel en s'enfilant des animaux, je ne vois guère la différence. Pas plus qu'il n'y en aurait entre pédophagie à la Jean-Bedel Bokassa ( *) et pédophilie à la Marc Dutroux, pour ne citer que des cas "emblématiques" ? Pour l'immédiat, on sait qu'à l'archevêché on ne dédaigne ni l'agneau de dieu au four, ni les petits enfants à point.
La cause sera t'elle sérieusement entendue un jour ou la filière bouchère continuera t'elle à nous bourrer le mou, via les toubibs, les nutritionnistes, les marchands et les aubergistes, en nous assurant qu'aujourd'hui comme dans la préhistoire il n'y a pas de salut sans protéines animales ?
La plupart de mes amis ne mangent pas de viande (et n'enculent pas d'enfants) depuis des décennies. In fine, ils sont bien vivants ou... ne savent pas qu'ils sont déjà morts carencés.
Meat is murder, un hit de Morrissey et des Smiths :
(*) Jean-Bedel Bokassa, ancien Empereur de Centrafrique, était un dictateur africain facétieux. Appartenant à une tribu pratiquant la manducation sous sa forme traditionnelle, il s'était vanté d'avoir fait manger de la chair humaine à un ministre français de la Coopération dans les années 1970, lequel ministre, interrogé par des journalistes après cette révélation, avait répondu : "Je me souviens que c'était très bon !". Lors d'un dîner de VGE chez Bokassa et que l'on sert un plat exotique, Giscard demande à Bokassa : "Est-ce qu'on peut manger cela avec les doigts ?", Bokassa lui répondit : "Non, les doigts on va les manger à part !" Le cannibalisme de Bokassa fit évidemment l'affaire des services secrets français quand il convenait d'en rajouter pour justifier son renversement.
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98 réactions à cet article
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Bonjour, Michel.
Vous parlez d’un « stade de lucidité » en évoquant la mise sur le même plan par Morrissey de la zoophagie et de la zoophilie, un amalgame aussi choquant que vrai, selon vous. Croyez-vous une seconde pouvoir rallier à votre cause les consommateurs de viande, même modérés comme moi-même, avec une argumentation aussi manifestement grotesque et stupide ?
Quand comprendrez-vous que la cause, au demeurant respectable, du végétarisme passe par de la pédagogie modérée et patiente, mais en aucun cas par des anathèmes récurrents et des démonstrations débiles comme celle-ci ? En usant de tels arguments, vous pouvez certes ravir vos disciples les plus intégristes, mais vous ne gagnerez personne à votre cause.
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La méthode douce ne fait pas recette, sinon, ça se saurait. Depuis le temps... Et si vous estimez outranciers l’analogie lancée par Morrissey, c’est que vous n’êtes ni sortie de la lobotomie dogmatique des lecteurs du Figaro, ni de la boucherie zoophile. Bon carré d’agneau à la sauce du maître-queue Marc Dutroux !
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Vraiment n’importe quoi ! Je préfère en rire.
Vous avez produit des articles plus sérieux, et part conséquent plus à même de sensibiliser le lectorat. Pourquoi dériver sur de telles âneries qui n’ont aucune chance de convaincre qui que ce soit tant on nage là dans les eaux du Grand-Guignol ?
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Peut-être devriez-vous mieux vous renseigner sur ce qui est ou pas efficace en matière de pédagogie de la consommation. Il ne s’agit pas ici de « raison » mais plutôt de « pulsion ».
Et si la raison était le seul moyen de faire changer les comportements, nous en serions encore aux messages de prudence de la sécurité routière et aux jolis paysages sur les paquets de cigarettes.Au lieu de ça, vous conviendrez avec moi que constatant leurs relatives efficacités, les agences de com sont passées à la vitesse supérieure et les campagnes de pub sont de plus en plus « trash ».Mais le parallèle entre pédophagie et pédophilie touche à deux tabous qu’il est bien évidemment difficile de d’apprécier sans un minimum de recul.... -
Pendant des décennies, le non-fumeur devait s’excuser... Il aura effectivement fallu recourir à l’utilisation des images les plus outrancières pour en finir avec le droit inique des fumeurs, et ce, en dépit des lobbies étatiques. La situation de la viande et des carnistes est exactement la même et nous en finirons avec l’exploitation éhontée des animaux dits comestibles, avec la chasse-loisir, avec les zoophages et les zoophiles.
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Michel, j’ai déjà répondu à ce monsieur, qui soit disant prône la méthode douce pour convaincre, mais, alors qu’il est un fournisseur régulier d’articles sur Agoravox, n’y a jamais abordé la question ne serait que de la façon la plus douce durant toute l’année 2013 (j’ai parcouru les nombreux articles
qu’il a écrit l’année passée, sans succès)Je pense que tu peux donc mettre cette réaction dans le sac habituel des dénis déculpabilisants qui essaye de masquer la vérité de leur non-engagement.
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« Pendant des décennies, le non-fumeur devait s’excuser... »
mauvais exemple, il faut ajouter le diesel passif, fumee d’usine passive, etc
le viandisme passif ? -
Il aura effectivement fallu recourir à l’utilisation des images les plus outrancières pour en finir avec le droit inique des fumeurs, et ce, en dépit des lobbies étatiques.
C’est faux. Les images chocs sur les paquets sont récentes alors que l’usage du tabac est combattu par les médecins et le grand public depuis des décennies.C’est en tout cas pas le respect de la vérité historique qui l’étouffe... -
Bonjour, Marc.
Encore une fois, à l’inverse de vous, je ne suis pas un militant de la cause animale, même s’il m’est arrivé dans de nombreux commentaires de dénoncer les élevages concentrationnaires, la chasse non destinée à l’alimentation et les conditions d’abattage indignes et stressants.
Je suis même favorable, pour aller dans le sens de votre cause végétarienne, à la diminution progressive de la viande dans l’alimentation.
OK pour tout cela, mais de grâce évitez-nous, Michel Tarrier et vous, des leçons de morale péremptoires basées sur le rejet de ce qu’a été l’humanité depuis des millénaires.
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Il faut des messages radicaux comme ceux de Tarrier, d’autant qu’ils ne sont ni grotesques ni stupides : seulement iconoclastes ( Le tabou est dans la consommation de viandes supposée nécessaire à la survie humaine et les violences que cela entraîne sont niées.)
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Oui Fergus pour convaincre il faut faire dans le politiquement correct, employez les bons mots pour pas froisser le bon ptit peuple ..... c’est vrai que de lui placarder à la face un tel slogan oulalalala que c’est choquant et outrancier ....
Mais pendant que vous pronez les beaux discours ça découpe, ça égorge, ça assassine dans les abattoirs mais bon c’est vrai on ne le voit pas ..................................... et tout ce qu’on ne voit ( ou qu’on ne veut pas voir ) n’existe pas au final ....... pathétique société !
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Bonjour, Vegspirit.
Vous caricaturez ce que je dis : oui, il faut combattre avec virulence, et le cas échéant avec des images choc, les conditions d’élevage concentrationnaire et les conditions d’abattage. Mais en quoi l’amalgame entre la consommation normale de viande et la zoophilie peut-elle faire progresser utilement cette noble cause ?
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Lu dans le Paysan Breton de la semaine
Dans l’Union européenne, la consommation totale et par tête a diminué sur la dernière décenniedepuis 98 baisse de 7 % de viandes rouges.signalons que près de 20 % de viandes sont importées en France.De nombreuses charcuteries industrielles sont en mauvaise posture et vont déposer leur bilan. On veut plus de leur merde. -
L’ intégriste dans toute sa splendeur.
Heureusement qu’il a pas de pouvoir le terroriste, sinon il ouvrirait des camps d’ extermination pour endiguer les mangeurs d’ animaux.Pendant quarante années j’ ai mangé des animaux deux fois par jour et j’ aime sa, aujourd’hui je n’ en mange que le week end contrairement à mes minettes qui elles en mangent tous les jours.Heureusement que l’ humour existe pour ne pas pleurer devant ce Taré d’ extrémiste.François Chambon-
Tout d’abord merci et félicitations pour d’avoir réduit votre consommation d’animaux !
si seulement tout le monde pouvait suivre votre exemple !Par contre vous parlez ici d’intégrisme ? ... il me semble que vous vous trompez de cible.c’est dommage. -
Tu as oublié de reprendre Michel, fait attention quand même ...
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Nous sommes dans le déni et la novlangue habituelle car les camps d’extermination existent et c’est justement contre l’existence de ces camps que l’’auteur écrit !
C’est étrange cette propension d’accuser ceux qui militent pour la protection animale des méfaits que l’on commet soi même.
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Bonjour, Anakin.
Il faut combattre les univers concentrationnaires où les animaux sont élevés dans des conditions barbares. Nous sommes d’accord.
Mais pourquoi des militants comme Michel Tarrier se croient-ils obligés de mettre dans le même sac des consommateurs de viande ordinaires, voire modérés ? Et pourquoi se laissent-ils aller, comme dans cet article, à des amalgames aussi ridicules ? C’est totalement contreproductif !
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Parce que quelle que soit la quantité mangée, c’est la fait d’en manger qui crée le marché et ces camps.
Vous omettez de parler de la phase abattage qui reste la même quelque soit le mode d’élevage (la notion de camp inclut aussi l’abattoir).Tant que l’homme considérera que l’on peut faire aux animaux ce qu’il ne tolérerait pas être fait aux humains, nous resterons des barbares
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« Parce que quelle que soit la quantité mangée, c’est la fait d’en manger qui crée le marché et ces camps. »
typique du facho
ce sont les industriels les responsable car si le plein air non barbare était plus cher, il serait de se goinfrer dessus -
Le facho est-ce celui qui tue pour satisfaire ses idées ou ses gouts et habitudes ou bien est-ce celui qui condamne cela ?
Je vous laisse à votre propre reflet.
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le facho est celui qui veut que tout le monde lui ressemble en déformant la vérité. puis en ouvrant des camps de rééducation
comme toi un végétaryen
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ton maitre fachiste veut un permis de procréer après enquêtes socio-économiques. il a fait deux enfants, tu doit faire comme lui. etc
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@Foufouille
Donc vous acceptez les assassins d’enfants et les violeurs car sinon l’on pourrait vous accuser de vouloir que tout le monde vous ressemble et d’ouvrir des camps de rééducation.
Chacun sa morale, vous avez vous même certainement des critères personnels qui vous permettent de juger les actes des autres à l’aune de votre morale.
Mais bon appremment nous n’avons pas la même conception du fascisme
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« ton maitre fachiste » je n’ai pas de maître, pas plus de dieu qui me commande ce que je dois penser.
Et cessez de croire que parce qu’on est d’accord avec quelqu’un sur un sujet, on est d’accord sur tout.
Votre réaction est vraiment primaire !
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« je n’ai pas de maître, pas plus de dieu qui me commande ce que je dois penser. »
mais si, tu réagis comme ton maître et le soutient. je ne soutiendrais pas un éleveur industriel ou sadique jute car je suis omnivore
pour le reste de ton délire, il faut te faire soigner. contacte la miviludes, ils t’aideront
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le fachiste est peu nombreux mais souhaite imposer « sa morale »
dans une société ou la pédophilie serait légale, c’est que ce serait naturel (ce qui est pas le cas et impossible faute de pouvoir se reproduire : pareil pour le meurtre )
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Anakin !! vous plaisantez ? C’est bien ce parque l’homme fait le pire à ses congénères qu’il fait le pire aux animaux ; c’est la même chose !
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Et bien justement le problème est que le terroriste qui s’ignore a ouvert des milliers de camps d’extermination pour pouvoir acheter son pavé bourré d’antibiotique sans avoir à faire le sale boulot lui-même.
« Pendant quarante années j’ai mangé des animaux deux fois par jour et j’aime ça ». Le problème c’est que le pédophile aussi va argumenter qu’il aime enculer des enfants... Il vous répondra que vous n’êtes pas obligé d’en faire autant mais qu’il faut laisser les autres faire leur choix. Après tout, votre phrase préférée dans ces cas-là est toujours la même « toi tu n’en manges pas si tu veux mais laisse les autres faire ce qu’ils veulent ». Et le pédophile alors, il va argumenter qu’il fait ce qu’il veut parce qu’il aime aussi non ? Doit-on tout laisser faire simplement parce que l’être humain aime ça ? -
encore typique du végétofachiste qui comprend rien
hop ! 2 cachets de cochon -
Foufouille, vos arguments sont... très éloquents... Le résultat de cerveaux bourrés d’antibiotique, d’hormone et de pesticide, ajouté à la télévision et de Mac Dob et ça créé le dernier représentant de l’espèce hominidé présent sur Terre : l’Homo Imbécilus. Le seul avantage pour nous les végés, que vous continuez à bouffer de la viande, et que vous raccourcissez votre séjour sur notre belle, mais néanmoins parasitée planète, la Terre.
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tu monologues. les arguments sont inutiles
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Constant danslayreur 10 janvier 2014 10:32Satisfaire son plaisir gustatif ou sexuel en s’enfilant des animaux, je ne vois guère la différence. Pas plus qu’il n’y en aurait entre pédophagie à la Jean-Bedel Bokassa ( *) et pédophilie à la Marc Dutroux, pour ne citer que des cas « emblématiques » ? Pour l’immédiat, on sait qu’à l’archevêché on ne dédaigne ni l’agneau de dieu au four, ni les petits enfants à point.
La coupe est pleine AV, elle déborde même
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Hello,
Euh... aux dernières nouvelles, les plantes sont aussi des êtres vivants... donc si « meat is murder », so are plants
L’argument d’attenter à la vie en mangeant de la viande est le plus pourri qui soit. Et pourtant, il y a plein de bons arguments pour le végétarisme.
Avec des alliés pareils, on n’a pas besoin d’ennemi :)-
POURRI ? mais c’est le monde qui est pourri, pourri par l’industrialisation de votre repas.L’article n’évoque pas seulement le fait de tuer un animal mais aussi le fait de torturer et d’abuser.Vous ne voyez pas la différence entre les plantes et les vertébrés que vous mangez ? -
@michele L
Fondamentalement, non, je n’en vois pas.
Je remarque par ailleurs que (inconsciemment ?) tu es passé tu as restreint le « meat is murder » au vertébrés. Les coquillages et escargots sont donc légitimement mangeables ? -
« Avec des alliés pareils, on n’a pas besoin d’ennemi :) »
c’est comme chez les écolos, les malades mentaux sont trop visible et soutenus par les autres (panurgisme) -
ah oui pardon, j’avais oublié que vous mangiez tout ça aussi !
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@michele
La plante que tu manges, tu ne la tues pas ? -
elle la mange crue, comme une huitre, en bonne sadique
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L’huitre, d’abord on la pique pour vérifier qu’elle souffre bien. Puis après on l’arrose d’acide citrique. On lui tranche un membre pour la séparer de sa coquille, mais elle est encore vivante à ce moment.
On l’engouffre dans notre machine à broyer, mais on ne la broie pas, non monsieur, on la gobe. Et comme c’est un animal marin, elle ne se noient pas dans notre estomac, où elle reste vivante tout en étant digérée, décomposée vivante, pendant quelques heures.
...
Et en plus, ça a le gout de morve-à-l’eau-de-mer.
Faut vraiment aimer la souffrance :) -
m’en fout, j’en mange pas
rien que l’aspect gluant ......... en plus ça crève a l’interieur, beurk -
sous prétexte que nous ne pouvons vivre sans manger de plantes et de fruits, il faudrait alors accepter de manger des animaux ?
Argument assez spécieux non ?
Alors justifiez votre argument jusqu’au bout : Comme l’on tue des animaux pour les manger pourquoi interdire de tuer des humains pour s’en rassasier ?
Le pire avec les spécistes c’est qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils le sont !!!
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sous prétexte que nous ne pouvons vivre sans manger de plantes et de fruits, il faudrait alors accepter de manger des animaux ?
Argument assez spécieux non ?
Alors justifiez votre argument jusqu’au bout : Comme l’on tue des animaux pour les manger pourquoi interdire de tuer des humains pour s’en rassasier ?
Le pire avec les spécistes c’est qu’ils ne se rendent pas compte qu’ils le sont !!!
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à Sleeping-zombie :
La réaction de l’huitre est purement nerveuse : elle ne souffre pas ! les coquillages ont été classés dans le règne animal par les savants alors qu’ils n’ont rien à voir avec un vertébré. Par ailleurs certaines plantes ont aussi des réactions nerveuses.
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bah , bien que ça ne vaille pas vraiment le coup, je te reponds rapidos :
« et le cri de la carotte » c’est ça qu’il fallait me demander LOL -
« La réaction de l’huitre est purement nerveuse : elle ne souffre pas ! »
mdr !
c’est pareil pour toi ?
tout ce qui est vivant a envie de vivre -
c’est pour ça qu’il faut tuer les requins et les loups : ils font souffrir les autres animaux et sans aucun scrupule.
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@croa
Il se trouve que les invertébrés sont aussi des animaux.
« une réaction purement nerveuse »... la douleur est purement nerveuse, le stress, la peur et même la pensée sont purement nerveuse.Ensuite, si tu avais un peu de connaissance en biologie, même non académiques, tu saurais que même les plantes ont des réactions aux agressions extérieures. Donc au moins un système de reconnaissance de la notion d’agression.
Alors pourquoi différencier les plantes des animaux ? parce que ça a pas de bouche pour crier, ni d’yeux pour pleurer, alors ça souffre pas ?
Considérer que la vie ou l’intégrité physique d’un animal est plus « précieux » que la vie ou l’intégrité physique d’une plante, c’est tout simplement de l’anthropomorphisme. De même que faire une distinction entre les animaux vertébrés et les autres.
Ma position est simple : quitte à faire de l’anthropomorphisme, autant aller jusqu’au bout : y a les humain et le reste. Le reste se mange. Faire les choses à moitié du genre « je peux pas manger de chat parce que c’est mignon, mais je peux manger des crevettes », c’est soit de l’hypocrisie, soit de la connerie.
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" Faire les choses à moitié du genre « je peux pas manger de chat parce que c’est mignon, mais je peux manger des crevettes », c’est soit de l’hypocrisie, soit de la connerie."
le reste aussi. la carotte soufre plus que le lapin en étant manger crue
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Je dois dire que j’ai trouvé la phrase de Steven Morrissey assez choquante sur le coup, enfin je me suis dit « il y va fort ! »
Presque aussitôt j’ai souri, heureuse que quelqu’un ose énnoncer une vérité et heureuse que cette personne soit connue, en saluant son courage car il n’est pas facile de s’attaquer aux tabous.
« Tabou » de comparer animaux et enfants car la plupart des humains se considèrent très « au-dessus » des autres êtres vivants qui peuplent cette planète et pourtant, nous sommes si semblables !
« Tabou » de comparer blancs et noirs autrefois…
« Tabou » les droits des femmes..
Les animaux comme les enfants, ils sont faibles et sont victimes de toutes sortes de prédateurs et de toutes les manières les plus abjectes.
La méthode douce que vous prônez Fergus, je l’ai aussi longtemps défendue…
Dans nos sociétés protégées, nous avons la possibilité de choisir une alimentation sans souffrance, nous devons le faire, nous devons montrer l’exemple.
Mais il apparait que l’exemple ne suffit pas.
Socrate avertissait déjà ses contemporains, et tant d’autres après lui, des érudits et des sages, dont il ne reste que de belles phrases car rien n’a changé aujourd’hui !
Aujourd’hui la violence n’a non seulement pas cessé mais elle est devenue industrielle, les guerres de plus en plus meurtrières sont à la une des médias tous les jours, il parait évident que bousculer les tabous devient d’autant plus nécessaire de nos jours afin d’éveiller les consciences endormies, quand elles n’ont pas encore quitté des humains lobotomisés.
Je partage votre avis Lacsapnitram, les pulsions de certains ne sont pas raisonnables (et dans les deux sens du terme) mais je suis sure que certains humains, qui sont capables de prendre du recul, pourront reconsidérer leur point de vue, en prenant conscience des conséquences abominables de leurs choix quotidiens.
Si la pédagogie doit être privilégiée pour faire changer les mentalités et donner la connaissance aux generations futures, il se trouve qu’elle n’est pas encore en place dans les écoles, au lieu de cela, l’éducation nationale laisse les bouchers y faire la promotion de la viande, et les télés font passer la désinformation pour promouvoir un carnisme outrancier dont les lobbys font chou gras.
Nous sommes toujours cernés de collabos et de lâches ou d’ignorants.
J’estime qu’on se doit de choquer ces éducateurs, ces parents, ces professeurs, ces directeurs qui n’ont pas été éduqués à considérer les animaux comme des êtres sensibles, conscients et si semblables.
Il faut à tout prix ouvrir les yeux de ceux qui prennent les décisions pour nos enfants.
Ca s’appelle un coup de pied au derrière !
De tout temps les artistes ont fait évoluer les mentalités.
Alors je remercie Mr Morrissey.
et Mr Tarrier pour son article et son courage !
-
en fros tarr-yen ecle des carottes et autres légumes ?
ça doit être possible pour une pieuvre
:->-
Bravo Monsieur Tarrier et courage !
Laissez hurler la meute de mes cousins homo sapiens dévoyés par le carnivorisme :
« Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté... »-
Ce qui est bien avec ce genre d’article, c’est que les végétariens et autres végans du même tonneau montrent bien au monde à quel point ils sont tarés.
Oser, quand même, faire l’analogie entre manger et violer, devrait ravir les milliers de femmes qui sont victimes de prédateurs sexuels et qui sont ravalées au rang de pièces de viandes.Je serai l’auteur, je m’achèterai vite un slip en fonte car son palier doit se remplir d’ anciennes victimes venues pour lui couper et lui faire bouffer sa quenelle !-
en même temps les vegan ou VG ne doivent pas bien être emmerdés d’êtres traités de tarés par des gens comme vous .... bien au contraire !
Un jour vous mettrez peut être votre cerveau sur ON .... sait on jamais .... -
peut être, un jour tu sauras lire un cours de médecine
ou wiki -
Non Mmarvinbear, il ne s’agit pas là simplement de « manger ». Mais d’élever des animaux dans des élevages concentrationnaires, les transporter à l’autre bout du monde des jours durant, sans boire ni manger, et les tuer pour nourrir 7 milliards de nuisibles (ou plutôt 20 % de ces 7 milliards, ceux des pays riches, puisque les pauvres devront se contenter, sur leurs terres, de cultiver des céréales pour que tu puisses enfiler ton steak aux antibiotiques).
Alors violer ou torturer, est-on obligé de choisir ? Non parce que là j’ai pas trop envie de choisir en fait... Le spéciste est malsain avec ces choix, comme si accepter de torturer des animaux libérait les femmes victimes de viol. Pas très sain tout ça... -
"puisque les pauvres devront se contenter, sur leurs terres, de cultiver des céréales pour que tu puisses enfiler ton steak aux antibiotiques)."
mdr !
beau ramassis de connerie
les africains ne mangent pas de viande, ni les asiatiques ! -
Tu commentes un commentaire que tu n’as pas compris. Je n’ai jamais dit que les Africains mangeaient de la viande, bien qu’ils en mangent quand ils le peuvent, mais que leurs terres sont volés pour produire des céréales, (qui les nourriraient) utilisés pour nourrir les animaux d’élevage des pays riches. Renseigne-toi un minimum, tout le monde est au courant de cette aberration. Et je ne sais pas d’où tu tiens que les Asiatiques ne mangeaient pas de viande mais c’est totalement faux, ils en mangent et même de plus en plus car ils adoptent le même régime occidental. Sur ce, hasta la vista car le dialogue ne peut pas exister avec des gens de mauvaise foi qui n’ont aucun argument à part leur envie de bouffer de la merde, avec le sourire en plus. Vous êtes les mêmes lâches qui avaient laissé faireles nazis quelques décennies en arrière, avec les mêmes arguments pourris : « ils sont juifs »
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« plutôt 20 % de ces 7 milliards, ceux des pays riches, »
c’est ta connerie. et le système n’est pas aussi simpliste que les méchants occidentaux
bon monologue -
"Si on me présente quelqu’un qui mange des êtres vivants, je m’en éloigne illico. Imaginez, par exemple, que vous êtes dans un bar et qu’une personne vous aborde : Bonjour, j’adore les effusions de sang, les égorgements et l’anéantissement de la vie... Eh bien, je doute que vous lui donneriez votre numéro. ».
Il ne doit donc pas aimer les animaux alors. Je l’imagine mal câliner un chat en sachant que cet animal adore dépecer et dévorer vifs des rongeurs et des petits oiseaux. Que dire de ce chien qui a chopé un lapin, lui a brisé la nuque et lui a bouffé les entrailles ?Et ces pauvres petits oiseaux, donc ? N’en a t-il jamais vu aspirer goulument un ver tiré du sol ? Cela fait-il des merles des nazis en puissance ?Je ne mentionnerai pas bien entendu les lions, les tigres et autres jaguars.Au fait, quelle est sa position au sujet des dauphins ? Ces animaux aux lignes si pures et qui avalent de la sardine au kilomètre ?Est-ce qu’il y aura au moins UN végan pour essayer de faire un peu de négationnisme animal en essayant de me montrer que le léopard est heureux en suçant un igname ?-
dieu propose de tuer tous les « carnivores » (comprendre non végétariens en logique aryenne )
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Et que dire de la vache, cet animal génocidaire qui ne peut pas digérer elle même l’herbe qu’elle avale et laisse se développer dans un de ses estomacs les bactéries qui vont se multiplier grâce à cette herbe et qui n’ont comme seul futur que d’être mangées ensuite par leur hôte !
Mort aux vaches tueuse, et donc, si j’ai bien compris l’article, pédophiles ! (pour moi, ce sera un steak) -
l’ironie des réponses reflète - t elle un profond désarroi devant une vérité que seul le déni nous permet d’accepter ?
Ridiculiser ceux qui défendent la vie est étrange.
Mais je me dis en fait que nous jugeons les esclavagistes à l’aune de notre conception actuelle des choses et je ne doute pas que les anti esclavagistes de l’époque devaient être insultés et raillés.
Même Victor Hugo et Voltaire défendaient l’esclavage, preuve que nous avons un grand chemin depuis.
Je n’ai pas de doute que ces deux là aujourd’hui renieraient leurs propos mais continueraient à être spécistes !!! -
@ Anakin.
Vous ne reculez décidément devant aucun excès pour soutenir votre cause : après le viol, voici l’’amalgame avec l’esclavage. Mieux vaut lire cela qu’être aveugle !
Vous oubliez en outre que la vie que vous prétendez défendre est très majoritairement constituée de comportements prédateurs. Toute la chaîne alimentaire est même majoritairement constituée de cela.
Une question : votre respect de la vie animale irait-il jusqu’à laisser la douve vous bouffer le foie ? Non, n’Est-ce pas, et pourtant, c’est sa façon de vivre à cette bestiole.
Vous me rétorquerez qu’à la différence de la douve, nous pouvons éradiquer toute nourriture animale. Certes, mais on ne modifie pas des habitudes alimentaires remontant à des centaines de générations en quelques articles incendiaires et excessifs.
Argumentez, démontrez posément, sans avoir recours à des amalgames inacceptables, et peut-être votre cause avancera-t-elle au lieu de braquer des braves gens qui peuvent, à raison, se sentir insultés parfois.
-
« Mort aux vaches tueuse, et donc, si j’ai bien compris l’article, pédophiles ! »
non car en logique aryenne, seul les « mammi-freres » et végétaryens doivent épargnés
( antispécisme a la sauce variable ) -
comparer la douve et la vache ! mais où allez-vous ?
que votre discours est vain.Puisque l’humain a la possibilité de juger de la souffrance d’autrui et qu’il peut l’eviter, ne pensez-vous qu’il est de son devoir de le faire ?A bas la préhistoire ! -
@Fergus
En droit il y a la légitime défense et le meurtre prémédité. Et l’excuse de l’un ne saurait excuser l’autre.
Vous dites ne pas être aveugle et pourtant, les animaux nous les détenons contre leur volonté, nous les faisons travailler pour nous sans leur accord , au besoin en les frappant ; nous les torturons , les maltraitons, les tuons à volonté et souvent sous couvert de « bonnes causes ». si ce n’est pas de l’esclavage,je ne connais plus le sens des mots.
Pourquoi légitimement vous seriez scandalisés que l’on teste un poison sur un noir et ne l’êtes vous pas lorsqu’on le fait sur une souris ou un lapin ? Parce que ce ne sont que des animaux ?
Les esclavagistes disaient « ce ne sont que des noirs ».Voilà pourquoi il y a autant de similitudes entre le racisme et le spécisme. Parceque c’est exactement le même mode de pensée.
-
« Puisque l’humain a la possibilité de juger de la souffrance d’autrui »
comme les autres animaux non facho-végétariens -
Bon ben écoute Anakin quand tu auras appris à débattre avec ton chien et ton poisson rouge tu nous appelleras.
Parce que figure-toi que les noirs ont peu parler avec eux.
Donc comparer un humain à un animal c’est au final le contraire de l’humanisme.
Comparer racisme et spécisme c’est de l’analogie à deux balles, qui permet de justifier tout et n’importe quoi. -
je vous laisse réfléchir à ce que vous venez d’écrire car cela se passe de commentaires.
vous ne faites que confirmer ce que vous essayer de contredire.
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je parle aux animaux, ils font semblant de me comprendre (même les oies), je fait pareil
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Je n’arrive pas très bien à comprendre les arguments de ceux qui acceptent l’exploitation animale. Est-ce le fait que les animaux n’ont pas la faculté de parole (parole humaine car n’importe quel ignorant sait que les animaux ont leur propre langage, que nous ne comprenons pas non plus) ? Car si c’est le cas, premièrement c’est d’une lâcheté terrible. Tu parles pas, tu ne peux pas me dire NON dans mon langage donc j’en profite ! Et dans ce cas-là, si c’est la parole qui change la donne, vous accepteriez d’exploiter un muet, un handicapé mental ou un autiste ? Laissez-moi deviner, je parie que non, alors quels sont vos arguments, les vrais ? Et si demain une espèce venue d’une autre planète, plus « évoluée » que nous et qui parle un autre langage, venait sur Tette, elle aurait donc le droit de nous exploiter, nous torturer pour leur science et nous bouffer ? Nous ne saurions pas leur dire non dans leur langage, mais bizarrement je parie que vous ne seriez pas d’accord. Une phrase très con mais très juste dit « Ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse ».
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Si vous voulez essayer de comprendre un peu mieux, Cris, je vais me passer d’ironie pour ce message ci. Ma logique dans ce message était la même que celle de Fergus, à savoir de dire, toute extrémisation du discours le rend stérile. Dans l’exemple de la vache, qui c’est une réalité biologique produit en masse les bactéries dont elle se nourrit, l’herbe servant de nourriture aux bactéries, je pose la question suivante, la même que la votre : Où placez vous la la limite entre animal et non animal ? Dans les classifications standard, l’éponge de mer, qui est un amas de cellules indifférenciées, est considérée comme un animal. (La bactérie, pas toujours ; si oui, alors Michel Tarrier considère une vache, aussi bien qu’un prédateur quelconque, comme un pédophile. Sa capacité à me convaincre ne va pas s’améliorer avec ça).
S’agit il, et c’est ce vers quoi tf1groupie vous orientait, d’une certaine capacité de conscience ? Auquel cas sous quelle définition, et pourquoi ne pas considérer les végétaux dont on apprend tous les jours un peu plus sur leurs capacités d’analyse et de transmission de l’information ?
S’agit il de la capacité à souffrir ? Dans ce cas, je reprend un autre argument repris à chaque fois et qui a été appelé ici « la carotte qui hurle ». Dans les techniques pour améliorer le rendement d’un arbre fruitier, on utilise la technique de la taille, qui consiste à couper un certain nombre de branches pour mettre l’arbre en situation de stress et, en réaction au danger ressenti, lui donner envie de se reproduire (« avant de mourir »), c’est à dire de produire plein de fruits.
Bref, on donne à l’arbre l’impression qu’il va mourir prochainement pour le faire produire. Est-ce une forme de souffrance pour vous, ou bien celle ci doit elle se traduire en terme de réaction nerveuse immédiate (ce dont les arbres ne bénéficient pas, l’information circule plus lentement chez les végétaux), de « sensation de douleur » ? Dès lors, si un animal élevé ne souffre pas dans sa vie, peut il être mangé ?Bref, à vous peut être de m’éclairer sur vos conceptions de l’animalité, ou de me confirmer que vous militez pour une limite floue et non vraiment définie, qui risque de vous faire passer à l’avenir pour des brutes barbares et sanguinaires aux yeux de gens qui iront plus loin que vous dans cette délimitation.
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je vois hélas que le niveau n’a pas remonté sur Agoravox. bon courage à ceux qui ont le courage de continuer à discuter avec des trolls.
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Salut Foufouille .
Je crois bien en effet que c’est notre Romin Desbois parti il y a un peu plus d’un an ...
Ne l’effrayons pas ...Il nous faisait tant rire ... -
salut Aita,
il dit qu’il est pas homo ni Shomo (supérieur avec un doute) -
« Et au passage, je préfère passer pour un lâche que pour un raciste ou un homophobe (ce qui est pour moi la même chose). »
on dirait du homo supérior .........
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Attention Foufouille ,faut se rappeler qu’il voulait faire des procès à tous ...
J’y ai eu droit ,peut etre toi aussi ... -
Y disait travailler à la seuneuceufeu ...
Pas bourgeois . -
bourgeois vu ses interventions
moi je pas pouvoir me faire rouler -
Dans la nature, c’est « mangez-vous les uns les autres » ...
Il est normal de manger un autre être vivant, qu’il soit du règne végétal ou animal.
Nous sommes omnivores et ne survivrons pas en suçant des pierres.Cela dit, nous consommons sûrement trop de viande « malheureuse », issue d’élevages aux méthodes scandaleuses.
Et ne parlons pas du gaspillage, loin d’être concentré dans notre société occidentale ; un exemple :
http://www.taata.tv/ceremonie-des-cochons-a-wallis-70-betes-sacrifiees/
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Excellent ce Morrissey, j’adore .... ça va gueuler dans les abattoirs .... euh les chaumières qu’on dit !! lol !!
Je partage !!-
tien, un autre arrivage de végéto-fachiste
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C’est la secte à Tarrier ...
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Je n’ai pas lu toutes les réactions, mais pour ceux qui se trouvent malins de se prétendre scandalisés par le principe de la comparaison proposée apr Morissey et Michel Tarrier, ils se tournent en ridicule car dans les deux cas, on exerce bel et bien une extrême violence pour disposer de la chair de l’autre, dans les deux cas pour assouvir un plaisir inutile à sa propre survie, et encore, nombreux sont ceux qui s’en sortent vivants d’un viol, mais l’animal qui a souffert toute sa vie pour notre légèreté n’a aucune chance d’être grâcié. En dehors du fait que l’analogie se justifie initialement par la qualification de la nature de l’acte, par la mesure de sa barbarie et de son abjection, on peut donc effectivement pousser le parallèlisme bien au-delà de la seule appréciation de forme mais aussi réellement sur le fond : il s’agit parfaitement d’abuser du plus faible, de l’impuissant à s’opposer à la cruauté du destin qu’on lui réserve, pour s’en délecter. C’est juste immonde, et ce autant dans les deux cas. C’est bien pour attirer notre attention sur la quantification égale de monstruosité des deux actions que Morissey a trouvé le courage de faire cette mise en lumière, et c’est tout le contraire d’un amalgame : c’est une réflexion à tous les sens du terme ; voyez ce que vous êtes dans cette image qui vous donne un meilleur éclairage de vous-même.
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Merde je fume !
C’est curieux avant d’être végétarienne j’étais une enragée de la défense des animaux ; j’en ai dit et écrit des pensées lumineuses ; et puis je n’ai plus pu cuisiner de viende, et pûis je n’ai plus pu en manger ailleurs... et j’ai compris que le mental ni la connaissance ne peut nous pousser au végétarisme ; il arrive le moment où l’on est au bout, au basculement de la conscience ; l’impossible n’est plus dicible ; et à voir tous ces gens qui aiment les bébêtes, mais les tiennent en cage, les castrent, les suralimentent, ignorent tout d’elles, ne leur donnent rien de ce qui leur faut, et qui mangent, plus, gaspillent, de la viande, j’ai compris qu’il n’y avait rien à dire.
En revanche, je maintiens que politiquement, il faut se bouger le cul pour interdire les camps de concentration de torture animale ; on interdit bien Dieudonné qui incite à la haine, il paraît ; on peut bien interdire tous ces lieux où la barbarie s’exerce chaque minute ! Voilà ce qu’il faut faire.
Je connais une femme qui passe sa vie à militer dans les assoc’ anti corrida, et qui donne des coups de pied au ventre de ses poneys s’ils arrivent trop vite sur le foin, maigre, auquel ils ont droit deux fois par jour, enfermés dans un paddock boueux toute l’année ! et qui bouffe de la viande.. parce que c’est nécessaire !!
Tout à l’avenant, alors basta, devant tant de désastre je ne peux plus avoir de colère ; c’est tous les jours que l’on voit les humains ignorants arrogants se comporter comme des imbéciles avec leurs animaux ; tant que cela ne rentrera pas dans les programmes scolaires, ils ne sauront jamais rien sur rien ; et n’aiment pas qu’on les informe !!-
si il y avait pas tant de « défenseurs des animaux » tarré ( genre, on dirait une secte de la miviludes ), les poules en cages seraient interdites depuis longtemps
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Ahhh lala ils sont forts quand même ces végétaliens. Chaque fois qu’ils l’ouvrent ils me confortent dans l’idée de ne jamais m’arrêter de manger de viande/poisson au risque de devenir comme eux...
J’ai mis +1 à l’article parce que franchment ca m’a bien fait rigoler. Et certaines des réactions commentés de même. Ceci dit, comme tous les fanatiques étant donné qu’il est impossible d’avoir une discussion argumentée et logique avec eux, je me contenterai de lire les autres réponses et continuer à rigoler.
PS : à mon avis le gugusse qui a sorti la phrase du titre ne doit absolument rien connaitre du monde animal pour penser comme il le fait. Je n’irai pas jusqu’à souhaiter qu’un de ses enfants se fasse violer pour qu’il comprenne la différence entre un viol et un steack mais bon... Il va sérieusement falloir soit qu’il se fasse soigner, soit qu’il revoit son échelle des valeurs.-
Ah là là ce qu’ils sont lâches quand même ces viandards. Chaque fois qu’ils l’ouvrent ils me confortent dans l’idée de ne jamais m’arrêter d’être végétarienne, au risque de devenir comme eux... Plutôt mourir qu’être lâche et sans empathie.
Moi ça ne me fait pas trop rigoler étant donné qu’il y a tous les jours des millions d’animaux qui souffrent, pour pouvoir nourrir une population de dégénérés nuisibles. Ceci dit, il est quand même incroyable de devoir argumenter pour dire à quelqu’un « Ho, l’être en face de toi ne te ressemble peut-être pas physiquement mais si je vous pince tous les 2, vous ressentirez tous les 2 la même douleur. Et la même peur aussi ». Incroyable de devoir l’expliquer.PS : c’est sûr que le dénaturé dans ton genre ne doit rien connaître de ce qui se passe dans les élevages concentrationnaires d’animaux, sur le long transport qui dure parfois des jours sans boire, et sur les conditions ignobles d’abattage, puisque tu achètes dans steak bourré d’antibiotique sous cellophane et te l’ingurgite en laissant lâchement quelqu’un d’autre faire le sale boulot à ta place. Je n’irais pas jusqu’à souhaiter que dans une prochaine vie (je suis athée mais on va l’imaginer quand même), tu sois réincarné en cochon que l’on castrera à vif et puis te coupera la queue et les dents, pour ne pas que tu te battes avec tes congénères dans cet espace réduit, entassés les uns sur les autres. Ou alors un mignon petit veau qu’on séparera de la mère avant le sevrage et qu’on te fasse grandir dans le noir et avec une alimentation pauvre, pour que tu sois anémié. Ben oui, c’est ce qu’ont trouvé ces magnifiques êtres que sont les humains pour que la viande du veau soit blanche, comme l’aime le consommateur que tu es. Ou une truie, enfermée dans un espace tellement réduit qu’elle n’a même pas la possibilité de se retourner.Ah là là, il n’y a pas à dire, nous les végétariens on est vraiment des gros vilains de vouloir interdire toute cette torture, vous qui ne demandez rien de plus que de vous enfiler votre pavé d’antibio. ou votre stétose hépatique (= foie gras, qui ne vous en déplaise est une maladie) bien tranquillement devant une débilité à la télé qui vous fera perdre le peu de neurones qu’il vous reste. -
Si on respecte tout ce qui est vivant le monde végétal en fait parti aussi autant le monde animal donc on se laisse crever de faim par respect de la vie, mais si on se laisse crever de faim on met sa vie en danger comme celle du choux ou du porc que l’on consomme donc que faut t’il faire ? Aussi difficile que de dire de qui de l’oeuf ou de la poule est apparu en premier ....
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Je me doute que vous ne croyez pas un mot de votre sophisme si vous avez plus de 7 ans mais par acquis de conscience, je vais quand même m’efforcer de répondre. Ce qui définit la subjectivité d’un être vivant ( sa disposition à être qualifié de sujet plutôt que d’objet ) est une variable dépendant de la complexité et de l’intensité de sa palette d’affects. Ainsi, et c’est la théorie que je soutiens ( loin du simplisme répandu dans l’animalisme en général ) , on peut objectivivement postuler qu’il existe un gradient de subjectivité dans le règne animal ( scientifiquement les métazoaires ) qui va de l’inertie affective quasi-totale des éponges à la vie affective riche, structurée et très déterminante des primates, des cértacés, des proboscidiens ou des psittacidés ( perroquets ) etc......
On sait depuis peu ( les aboutissements des recherches sur la question ont moins d’une décennie ) que même les plantes sont pourvus de signaux internes de communication qui en font des organismes sensoriels, réactionnels et certainement aussi mémoriels.
Néanmoins, il est très peu probable, à l’instar des éponges, qu’on puisse leur attribuer une quantité de subjectivité suffisante pour les considèrer comme des personnes. Rien à voir avec des mammifères comme les bovidés qui ont une perception immanente du danger et de la mort, n’y tiennent pas plus que nous du tout et subissent la peur jusqu’à la terreur, la douleur, le chagrin etc......
Entre les deux, il y a une valeur à fixer de la subjectivité d’un être vivant qui permette de trancher sur l’égard à apporter à sa volonté de vivre et définit ainsi s’il y a crime ou pas à lui ôter la vie. C’est aussi simple que ça, c’est relativement évident, et toutes réctions méprisantes, railleuses, fuyantes ( il n’y a aucun argument chez nos contradicteurs, mais c’est parce qu’il ne peut pas y en avoir ) n’y changent rien.
D’ailleurs, tout comme on peut mesurer la subjectivité d’un être vivant à l’aune de ses composantes affectives, on peut en faire autant avec l’intellect de nos opposants à la lecture de la vacuité de leurs réponses, et là j’ai vraiment le sentiment de perdre mon temps, sauf si Michel peut me lire ( mais n’est-il pas trop dogmatisant lui-même pour s’intéresser à mon propos, voire le faire fructifier, car ce ne sont pas les séries TV du soir qui m’empêchent de le faire moi-même ) -
Phile ou phobe, je suis à toi Herbert.
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Amalgame avec le viol, certe cela peut choquer, mais inséminer artificeillement un animal plusieurs fois par an peut s’en apparater.
Amalgame avec l’esclavagisme ? donc être enfermé toute sa vie au service de l’homme ce n’est pas une sorte d’esclavagisme ? ah ben non, ce ne sont que des animaux.. mais désolé, pour moi un lion dans un cirque, un dauphin dans un delphinarium sont des esclaves .... et les abattoirs ? et bien je vais y aller fort aussi dans les amalgames ! un abattoir me fait énormément penser à un camp de concentration. Tuer de plus en plus et de plus en plus vite, de façon méthodique, inhumaine, cruelle .... et sachez que certains de mes amis juifs ne sont pas choqués par cette comparaison.
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La modération et la patience ont largement montré leur limite, mais hélas il en faut face à des dirigeant qui sont à la solde des lobbys industriels. Et même si des avancés ont eu lieux, la patience que l’on doit mettre dans l’éducation ne doit pas être le seul fer delace de la protection animale, car n’oublions pas que UNIQUEMENT pour la viande, 3 millions d’animaux sont tués chaque jours. Cela représente 35 animaux par seconde et c’est sans compter les poissons et crustacés !!!!!!
Imaginez 3 millions de personnes qui seraient tués chaque jour pour le plaisir d’autres personnes ? rien de choquant ?
Les pires génocides humains sont gentils à côté de cela .... mais là ce ne sont que des animaux !
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