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Pour les héritiers des nazis, l’Ukraine est du bon coté de l’histoire en tuant des Russes

Pour les héritiers des nazis, l'Ukraine est du bon côté de l'histoire en tuant des Russes

 

Des monuments en l’honneur des anciens SS, criminels de guerre de la Seconde Guerre mondiale, sont érigés en Lettonie, en Estonie, en Ukraine.

Des défilés en l’honneur des divisions SS sont organisés en Estonie, et de la division Waffen-SS Galichina en Ukraine.

En Espagne, il y a des commémorations des divisions nazie qui ont combattu en 39-45.

 

C'est ainsi que cela se passe dans l’Union européenne, elle commémore les anciens criminels de guerre nazis et elle érige des monuments en leur honneur et en même temps, elle prétend défendre les valeurs démocratiques et combattre pour la liberté et la défense de l’Europe contre la prétendue menace russe, et toujours en même temps, elle soutient le génocide de Gaza.

 

Et c’est au nom des valeurs que l'Union européenne prétend défendre, qu'elle interdit la présence de tout ce qui peut rappeler ou représenter la Russie ou l'Union soviétique lors des commémorations du 8 mai 45.

 

Et c’est également au nom de ces prétendues valeurs que l'Union européenne veut interdire la présence des dirigeants politiques européens lors de la Commémoration du 9 mai à Moscou.

 

L'Union européenne, qui prétend représenter toute l'Europe, glorifie les descendants des anciens criminels de guerre nazis ukrainiens et exclue la Russie de toutes les commémorations de la fin de la Seconde Guerre mondiale.

 

Pensent-ils pouvoir terminer, à travers le proxy ukrainien, ce que les nazis avaient commencé lors de la dernière guerre mondiale ? l'Union européenne et plus généralement les nations membres de l'OTAN soutiennent à bout de bras et fournissent les armes pour tuer les Russes.

 

Le chancelier allemand, Olaf Schulz se félicitait que l’Ukraine est du bon côté de l’histoire.

 

Tuer des Russes, c'est donc être du bon côté de l'histoire !

De quelle histoire parle-t-on ?

 

Par exemple l'histoire de la bataille de Berlin, qui a contraint les nazis à capituler sans condition, bataille pour laquelle 170 000 soviétiques sont morts et 500 000 autres ont été blessés.

 

Pour les actuels dirigeants allemands, il faut aider les divisions Azov à tuer des Russes et il faut interdire aux Russes de commémorer la prise de Berlin et la reddition des nazis à l'Armée rouge.

 

 

L'Union européenne réhabilite les anciens nazis et glorifie les nouveaux qui sont du bon côté de l'histoire en tuant des Russes, et elle réécrit l'histoire pour se justifier : En 2019, le Parlement européen a adopté une résolution dans laquelle elle plaçait sur un pied d’égalité, le régime nazi et l’URSS de Staline, quant à leurs responsabilités dans le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. La Russie soviétique porterait donc une responsabilité dans l'holocauste et dans la Seconde Guerre mondiale ?

 

La réécriture de l'histoire sous nos yeux, range le livre « 1984 » dans le rayon des contes de fées, d’ailleurs, le nazisme est raconté par certains comme l'enfant légitime du communisme. C'est donc de la faute aux Russes que les Nazis ont exterminés 6 000 000 d'Européens, majoritairement de confession juive !

 

Cette version de l'histoire commence déjà à pointer son bout de nez, les éléments de langage préparant cette version apparaissent déjà sur Internet.

L'histoire ne sera plus la mémoire vivante de l'humanité, elle sera ce que décideront ceux qui détiennent le pouvoir à Bruxelles, elle sera institutionnalisée en tant qu' « Histoire » officielle et obligatoire pour tous :

 

En effet, en janvier 2024, le Parlement européen a adopté une résolution exigeant une nouvelle culture européenne partagée de la mémoire. Non seulement l’histoire sera ce que décide les bureaucrates européens, mais elle sera la même pour tous, l'histoire nationale de chaque nation sera oblitérée, passage obligé vers leur Europe supra-nationale. Les livres d’Histoire peuvent dorénavant être brûlés, cela ne serait pas la première fois.

 

Les jeunes générations éduquées sur Wikipédia seront définitivement persuadées que c’est le débarquement sur cette petite plage perdue de Normandie qui a écrasé le nazisme.

La prise de Berlin et du quartier général nazi le 2 mai 1945 par les troupes soviétiques, la libération des camps d’extermination, toujours par les Soviétiques seront totalement occultés et à terme, niés.

 

La falsification de l’histoire est déjà en marche : dans les années 60, j'avais appris en école élémentaire que c’étaient les sacrifices faits par les Soviétiques à Stalingrad qui avaient inversé le cours de la guerre et amené à la prise de Berlin par ces mêmes soviétiques, et comme moi, 60 à 70 % des Français pensaient que c'étaient les Russes qui avaient battu l’Allemagne nazie.

 

Aujourd’hui, la majorité des jeunes Français, pense que c’est le débarquement américain (même pas allié), sur les plages de Normandie qui a vaincu le nazisme.

 

Wikipédia et Hollywood ont modifié l’histoire et le Parlement européen officialise la falsification historique.

 

La révision de l'histoire par l'Union européenne réhabilite le nazisme comme étant une légitime opposition au communisme, le nazisme ne serait qu'une réaction face aux horreurs du communisme.

 

De fait, le Conseil de l'Europe et le Parlement européen, font ouvertement l’apologie du nazisme, bientôt seront-ils des combattants de la liberté et des valeurs occidentales, puisque c'est ainsi que sont déjà présentés les néo-nazis ukrainiens d'Azov ?

 

L’Ukraine, en total accord avec la vision du Parlement européen, justifie aujourd’hui la collaboration de l’organisation nationaliste ukrainien OUN avec l’Allemagne nazie comme un combat justifié contre l'Armée rouge.

 

Les anciens criminels de guerre nazis sont maintenant les héros de la lutte contre le bolchevisme.

 

On comprend mieux pourquoi l’Union européenne entend imposer une vision commune de l’histoire à l’ensemble des pays de l'Union européenne.

 

Les héritiers et les descendants des dignitaires nazi réécrivent et falsifient l’histoire de l’Europe, et bien qu'ils aient demandé pardon pour les 6 000 000 Juifs assassinés, ils n'ont jamais demandé pardon pour les 27 000 000 de Soviétiques assassinés par les criminels nazis, puisqu'il s'agissait d'une « réaction » aux horreurs du communisme, d'ailleurs, c'est bien pourquoi ils se félicitent que l'Ukraine soit du bon côté de l'Histoire en tuant des Russes.

 

Mais comment peuvent-ils concilier en même temps la réaction « légitime » contre les « horreurs du communisme » et le génocide de 6 000 000 d'Européens de confession juive ? Ils ne le peuvent pas, car l'holocauste comme les 27 000 000 de Russes massacrés sont les conséquences de la barbarie capitaliste au même titre que le génocide de Gaza.

 

 

J'avais lu il y a longtemps le discours d'Aimé Césaire sur le colonialisme écrit en 1955 et j'avais noté ce passage extraordinairement prémonitoire :

« Qu'on le veuille ou non : au bout du cul-de-sac Europe, je veux dire l'Europe d'Adenauer, de Schuman, Bidault et quelques autres, il y a Hitler.

Au bout du capitalisme, désireux de se survivre, il y a Hitler.

Au bout de l'humanisme formel et du renoncement philosophique, il y a Hitler  ».

 

Chapoutier 2 mai 2025

 

 

Le Parlement canadien a ovationné un criminel de guerre nazi ukrainien, Yaroslav Hunka, un ancien membre de la Waffen SS

La Russie n’acceptera rien de moins que la capitulation sans conditions des forces de l’occident

L’histoire du monde ne commence pas au moment où les victimes ripostent et ce ne sont pas les Occidentaux qui sont les victimes !

On nous raconte que les Russes sont incapables de gagner le conflit en cours contre la « petite » armée ukrainienne. Est-ce vrai ?

Au secours, Poutine va envahir l’Europe (encore une fois), affirme Biden

Qui peut encore nier que la Russie a déjà gagné ? Quelques précisions à l’attention des ... Sceptiques, pour rester poli

La défaite de l’Ukraine et de l’OTAN face à la Russie est actée

Après la défaite de l’OTAN en Ukraine, le génocide de Gaza signifie la fin du monde tel que nous le connaissons

La Bataille d’Advikka sera un Bakhmut 2.0, véritable tournant majeur de la guerre en Ukraine

En Israël comme en Ukraine, c’est toujours l’Occident contre le reste du monde

Nous ne vous le dirons pas mais la Russie a déjà gagné la guerre que nous lui avons imposée

La défaite de la contre-offensive est actée, les rats de l’OTAN quittent le navire !

La grande contre-offensive qui devait écraser la Russie est terminée et les États-Unis ont été humiliés

Ukraine, la contre-offensive quoi qu’il en coûte !

L’Occident a joué à la roulette russe en Ukraine… Et a perdu

Il vaut mieux un Ukrainien mort qu’un Ukrainien russe

Au secours les russes pourraient peut-être ne pas perdre cette guerre, voire même la gagner

L’Allemagne utilise l’Ukraine pour envoyer ses chars contre la Russie


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62 réactions à cet article    


  • Zelensky rejette le cessez-le-feu du 9 mai proposé par Poutine et menace de perturber la date solennelle

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rejeté catégoriquement la proposition du président russe Vladimir Poutine d’un cessez-le-feu de trois jours, du 8 au 11 mai 2025, pour marquer le 80e anniversaire de la victoire dans la Grande Guerre patriotique. La déclaration s’accompagnait d’un avertissement selon lequel l’Ukraine ne pouvait pas garantir la sécurité des dirigeants mondiaux qui prévoyaient d’assister au défilé du 9 mai à Moscou, ce qui a provoqué une vive réaction du Kremlin et a accru les tensions à l’approche des célébrations de l’anniversaire.

    Poutine a annoncé un cessez-le-feu le 28 avril, déclarant que les troupes russes cesseraient les hostilités à partir de minuit les 7 et 8 mai jusqu’à minuit les 10 et 11 mai « en signe de respect pour la mémoire des morts ». Le Kremlin a souligné qu’il attendait des mesures réciproques de la part de Kiev, qualifiant cela de geste « d’humanisme et de bonne volonté ». Cependant, Zelensky a rejeté la proposition dans son discours publié sur le site Internet du bureau présidentiel.

    La déclaration de Zelensky sur la sécurité des dirigeants à Moscou a provoqué une tempête. Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a menacé l’Ukraine de «  conséquences » sur sa chaîne Telegram en cas de provocations le 9 mai, déclarant que le 10 mai pourrait ne pas avoir lieu à Kiev. Il n’a pas fourni de détails précis.


    • @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

      Zelensky : l’Ukraine ne peut pas garantir la sécurité des invités étrangers du défilé du 9 mai à Moscou

      Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a catégoriquement rejeté la proposition du président russe Vladimir Poutine d’un cessez-le-feu de trois jours du 8 au 11 mai 2025, pour marquer le 80e anniversaire de la Victoire dans la Grande Guerre patriotique. L’agence Interfax-Ukraine l’a rapporté le 29 avril. Zelensky a qualifié l’initiative de « tentative de manipulation » visant à assurer le « silence » lors d’un défilé militaire à Moscou, et insiste sur un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel pendant au moins 30 jours. Il a également déclaré que l’Ukraine ne pouvait pas garantir la sécurité des dirigeants mondiaux en visite à Moscou le 9 mai, ce qui a provoqué une vive réaction en Russie et accru les tensions autour des événements à venir.

      Plus tôt, Zelensky avait souligné dans son discours que l’Ukraine valorisait la vie des gens, et non des gestes symboliques tels que des défilés.

      Il n’y a aucune raison d’attendre le 8 mai pour cessez-le-feu. Il doit être interrompu immédiatement, pendant 30 jours, afin de poser les bases d’une véritable diplomatie. - Il a déclaré.

      La proposition de Poutine, annoncée le 28 avril, prévoyait une cessation des hostilités du 8 mai à minuit au 11 mai à minuit « pour des raisons humanitaires ». Le Kremlin a qualifié cela de manifestation de « bonne volonté », attendant des mesures réciproques de la part de Kyiv.

      Le Kremlin n’a pas encore répondu à la déclaration de Zelensky.


    • Phil 3 mai 22:50

      @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs
      Merci pour vos commentaires.
      « Plus tôt, Zelensky avait souligné dans son discours que l’Ukraine valorisait la vie des gens, et non des gestes symboliques tels que des défilés »
      Il est vraiment gonflé ce type, parce que sous sa « présidence » des défilés il y en a et dont le symbolisme est plutôt sans équivoque :

       https://fr.timesofisrael.com/des-centaines-de-personnes-en-ukraine-defilent-en-lhonneur-de-soldats-ss-nazis/

      extrait : «  Des centaines d’Ukrainiens ont participé à des marches célébrant les soldats SS nazis, incluant le premier événement de ce type à Kiev. La dénommée « Embroidery March » s’est déroulée dans la capitale le 28 avril, date du 78e anniversaire de la création de la 14e division de grenadiers Waffen de la SS, également connue sous le nom de division « Galicie », ou Galicienne n°1 »


    • Phil 3 mai 23:01

      Merci à l’auteur, et comme pour tous ceux qui ont le courage d’affronter les anesthésistes du « camp du bien », bon courage.

      Au fait, pour hier le 2 mai : https://arretsurinfo.ch/odessa-2-mai-2014-un-massacre-occulte/


      • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 22:24

        @Phil

        Important de rappeler ces crimes contre l’humanité.


      • La Bête du Gévaudan 5 mai 15:31

        @Patrice Bravo

        dénoncer le massacre d’Odessa... sans oublier le pogrom du 7 octobre...

        dénoncer les génocides nazis sans oublier les génocides communistes...

        dénoncer la GESTAPO, le HAMAS et le NKVD...

        les gauchistes qui s’imaginent imposer aux peuples européens le marxisme et l’islamisme sous prétexte de lutte anti-bruxelloise se fourrent le doigt dans l’oeil... les Gaulois réfractaires ne veulent pas de ces abominations islamistes et marxistes...

        pire, en entretenant ce chantage (« c’est soit le NKVD soit la GESTAPO »), la gauche fragilise la lutte antifasciste qui ne peut triompher que sur une ligne libérale et nationale.

        La politique du pire soutenue par la gauche est une route vers l’abîme.


      • Phil 5 mai 19:41

        @La Bête du Gévaudan
        Ca vous a fait du bien ?  smiley


      • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 mai 05:05

        de la part de Maria Zakharova, ce petit souvenir, une leçon d’histoire !!!

        « Le président des États-Unis, Franklin D. Roosevelt :

         »Sur le front européen, l’événement le plus important de l’année écoulée a été, sans aucun doute, la contre-offensive écrasante de la grande armée russe contre les puissantes forces allemandes. Les troupes russes ont détruit - et continuent de détruire - plus d’hommes, d’avions, de chars et d’artillerie que tous les autres pays des Nations unies réunis« .

        (Conversation au coin du feu, 28 avril 1942)

         »En tant que commandant en chef des forces armées des États-Unis d’Amérique, je vous félicite pour la brillante victoire de vos troupes à Stalingrad, remportée sous votre commandement suprême. Cent soixante-deux jours de lutte épique pour la ville - une bataille qui a glorifié à jamais votre nom - et l’issue décisive, que tous les Américains célèbrent aujourd’hui, resteront dans les mémoires comme l’un des plus beaux chapitres de cette guerre des nations unies contre le nazisme et ses imitateurs.

        Les commandants et les combattants de vos troupes de première ligne, ainsi que les hommes et les femmes qui les ont soutenus dans les usines et dans les champs, ont uni leurs forces non seulement pour apporter la gloire aux armes de leur pays, mais aussi pour inspirer à toutes les Nations Unies une nouvelle détermination à appliquer toute leur énergie pour parvenir à la défaite finale et à la capitulation inconditionnelle de notre ennemi commun« .

        (Lettre à J.V. Staline, 4 février 1943)

        « De tels exploits ne peuvent être accomplis que par une armée dotée d’un commandement compétent, d’une organisation solide, d’un entraînement approprié et, surtout, de la détermination de vaincre l’ennemi quels que soient ses propres sacrifices... L’Armée rouge et le peuple russe ont assurément mis les forces armées d’Hitler sur la voie de la défaite finale et ont gagné pour longtemps l’admiration du peuple des États-Unis. »

        (Lettre à J.V. Staline, 22 février 1943) »

         (merci Nicole pour la traduction)


        • anaphore anaphore 4 mai 07:31

          Réviser l’Histoire, c’est un peu comme ce soldat russe sur la photo, c’est un peu casse gueule ....


          • grangeoisi grangeoisi 4 mai 08:11

            @anaphore
            Bonjour ! Te dis pas le photographe !


          • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 mai 10:55

            @grangeoisi
            c’est vrai que ça fait penser au photographe qui a immortalisé le « 1er pas sur la Lune » ... ... 


          • grangeoisi grangeoisi 4 mai 07:35

            Bonjour Chapoutier, mon bassineur préféré ! Allez dépêche- toi de me virer !


            • chapoutier 4 mai 07:48

              @grangeoisi
              jamais content !


            • Astrolabe Astrolabe 4 mai 09:23

              Ah ben tiens, l’auteur ne me censure plus comme grangeoisi (et d’autres ?) !

              Aucune explication bien entendu sur la cause de cette censure ni ce retour rare à la liberté d’expression. Aussi trouble que les méthodes putiniennes avec les opposants.

              Bref, passons et revenons au révisionnisme de Putin concernant la seconde guerre mondiale :

                         

              Vladimir Putin accuse régulièrement l’Occident de révisionnisme historique concernant la Seconde Guerre mondiale. Il considère que remettre en question le rôle de l’URSS dans cette guerre participe à saper les fondements de l’ordre international né en 1945 et fondé sur les Nations Unies.

              Putin a publié une tribune dans la revue américaine The National Interest où il accuse les Européens, et notamment les Polonais, de vouloir faire porter à l’URSS la responsabilité de la Seconde Guerre mondiale au même titre qu’à l’Allemagne nazie.

              Il a également reproché à la Pologne d’être responsable du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, alors qu’elle en fut la première victime, et a qualifié la Pologne de complice avec Hitler dans les mois précédant l’invasion.

              Poutine défend l’idée que l’URSS n’avait d’autre choix que d’envahir la Pologne en septembre 1939 car les Britanniques et les Français avaient cédé aux Nazis lors des accords de Munich de 1938.

              Il considère que les résultats de la Seconde Guerre mondiale et les victimes sacrifiées sur l’autel de la victoire contre le nazisme sont sacrés.

              Le président russe maintient que l’URSS a tenté par tous les moyens de ne pas provoquer le potentiel agresseur allemand, mais malgré cela, l’Allemagne nazie a attaqué l’URSS le 22 juin 1941.

              Poutine utilise ces arguments historiques pour justifier la position de la Russie dans le monde contemporain, en particulier en ce qui concerne sa guerre d’invasion en Ukraine, en affirmant que l’Ukraine pourrait être dépouillée d’autres parties de son territoire pour protéger les communautés russophones.


              • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 mai 10:57

                @Astrolabe
                L’armée polonaise ... disons la vaillante et courageuse armée polonaise ... a eu autant de morts que l’armée française ... ça pose quand même question, ce score !


              • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:21

                @Astrolabe

                Pourquoi te censurer, tu dis des âneries, hihan hi-han, mais c’est amusant tralala lala , nous adorons te tendre la carotte pour te faire marcher ou te le faire marcher comme tu veux, trala lala


              • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:28

                @Astrolabe

                « Bref, passons et revenons au révisionnisme de Putin concernant la seconde guerre mondiale » 


                Bah, le président russe a raison ! Toi, t’es comme BHL, Tenzer, Macron, ect... qui ne font que raconter des âneries pour réécrire les faits historiques et nous faire croire que l’Allemagne a été un allié des alliés pendant la WWII. D’ailleurs, l’Allemagne est invitée à défiler sur les Champs Elysées alors que ce pays n’est pas du tout un ami de la France.

                 


              • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:32

                @Astrolabe

                Bah, c’est vrai, t’as vu où que les Français ont résisté ??? 

                « car les Britanniques et les Français avaient cédé aux Nazis lors des accords de Munich de 1938. »


              • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:36

                @Astrolabe

                « Il considère que les résultats de la Seconde Guerre mondiale et les victimes sacrifiées sur l’autel de la victoire contre le nazisme sont sacrés »

                Bah, il a raison, au moins lui, il défend la mémoire de ses soldats et des morts de son pays, c’est pas comme la France avec Macron qui se met à genoux devant l’Algérie. D’ailleurs, l’Algérie soutient la Russie. 


              • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:43

                @Astrolabe

                T’es complétement à côté de tes pompes !!! Purée le niveau ! Et ça se dit Breton ; ts ts ts ts ts... 

                Il a totalement raison : « Vladimir Putin accuse régulièrement l’Occident de révisionnisme historique » 


              • Astrolabe Astrolabe 4 mai 09:24

                Deux interprétations de la Seconde Guerre mondiale ont toujours coexisté en Union soviétique puis en Russie, puisque l’URSS s’est trouvée des deux côtés durant la guerre : initialement dans le camp des agresseurs puis dans la grande alliance avec les Etats-Unis après qu’Hitler eut trahi Staline. Pendant longtemps, la glorification de la guerre défensive (1941-1945) a prévalu sous la forme de la « grande guerre patriotique », et permettait de présenter l’URSS comme l’épicentre de la résistance aux forces fascistes. Dans la glorification de cette période, le pacte Molotov-Ribbentrop devait être passé sous silence non pas tant pour ses conséquences (permettre le début de la Seconde Guerre mondiale), mais parce qu’il représentait une erreur de la part de Staline : le pacte laissa les troupes allemandes s’approcher des frontières de l’URSS bien avant l’invasion de 1941, permit à l’Allemagne de devenir la puissance européenne qui faillit s’emparer de Moscou et donna au dictateur soviétique une illusion de sécurité qui lui fit nier les renseignements selon lequel l’Allemagne se préparait à l’attaquer, le prenant complètement par surprise.

                En revanche, réhabiliter le pacte Molotov-Ribbentrop revient à mettre en avant la période d’agression de 1939 à 1941, durant laquelle l’URSS entreprit l’invasion de la Finlande (une « guerre d’hiver » qui se révéla très coûteuse pour l’agresseur), mais aussi des pays baltes, où des référendums bidons furent organisés pour justifier et soutenir l’agression. Le climat politique russe actuel, qui glorifie les agressions contre la Géorgie et contre l’Ukraine, incite évidemment à valoriser une période de l’histoire qui présente des similitudes troublantes avec la Russie contemporaine. Entre 1939 et 1941, la propagande soviétique présenta l’Allemagne nazie comme un État ami, les dirigeants parlant du « camarade Hitler » et appelant au « triomphe du fascisme international », et des swastikas apparaissant sur les bâtiments publics.

                Cette confusion idéologique est également présente aujourd’hui en Russie : les Juifs sont présentés comme responsables de leur extermination à la télévision publique, l’extrême-droite russe défile le 9 mai 1945 (qui marque la fin de la Seconde Guerre mondiale en Russie) et des campagnes homophobes sont présentées comme une défense de la civilisation occidentale.

                Cette banalisation implicite du nazisme, qui s’opère simultanément à une glorification du stalinisme, se retrouve dans les propos des thuriféraires français du régime russe : l’écrivain d’extrême-droite Nicolas Bonnal écrit par exemple sur Sputnik News que « le général de Gaulle ne cesse de vouloir se rapprocher de la Russie, fût-elle dirigée par le maréchal Staline. Ce dernier apparaît sous sa plume comme un gentil ogre avec qui il faut apprendre à s’entendre », au mépris de toute évidence historique, de Gaulle ayant toujours su qui étaient ses alliés et qui étaient ses ennemis (comme il le démontra durant la crise de Cuba), et s’il sortit de la structure militaire intégrée de l’Otan pour cause de divergence sur la stratégie de dissuasion nucléaire, il ne remit jamais en cause la pertinence de l’Alliance Atlantique.

                Plus grave, dans le même article, on peut lire : « Roosevelt sait qu’il a gagné le monde grâce à cette inutile guerre européenne qu’il a inspirée sans la livrer. » La Seconde Guerre mondiale n’aurait donc rien à voir avec les agressions commises par le régime hitlérien et la nature raciste et expansionniste du nazisme, mais serait en fait une conséquence d’un complot américain contre l’Europe. Outre la stupidité historique manifeste du propos (les cimetières militaires américains en France rappelant la participation américaine à un conflit qui fut mené simultanément en Asie et en Europe par les Etats-Unis), ce révisionnisme laisse entendre que le nazisme n’aurait été qu’un régime politique comme les autres, et l’une des victimes malencontreuses de la volonté de domination américaine.

                Artifices rhétoriques
                Dans le même temps, le régime russe continue de s’appuyer sur le souvenir de la Grande Guerre Patriotique dans sa tentative actuelle d’inscrire positivement le stalinisme dans l’histoire russe, ainsi que sur les habitudes rhétoriques héritées de l’Union Soviétique, en particulier l’accusation de « nazi » ou de « fasciste » comme artifice rhétorique servant à discréditer les opposants au régime. Ainsi, durant la révolution ukrainienne de 2014, la propagande russe a qualifié l’intégralité des manifestants de « fascistes », ou de « néo-nazis », mettant en avant la présence (avérée) parmi les opposants au régime de membres du parti d’extrême-droite Svoboda.

                Il s’agit d’une vieille tactique consistant à tenter d’associer l’intégralité d’un mouvement à ses membres les plus extrêmes, en agissant comme si les motivations de ses derniers étaient partagées par tous les manifestants. Évidemment, personne ne doit être dupe de cette manipulation rhétorique (qui reviendrait à dire que Mai 68 était un mouvement intégralement trotskyste car Alain Krivine faisait partie des manifestants), mais elle est très présente dans le discours issu de Moscou et de ses relais occidentaux, que l’on entend régulièrement évoquer « les fascistes au pouvoir à Kiev ». Et ce, alors que le candidat de Svoboda a seulement obtenu 1,16% des voix lors de l’élection présidentielle ukrainienne de 2014 ayant suivi la chute de Viktor Ianoukovitch, ce qui donne une idée de l’attractivité de l’extrême-droite auprès de la population ukrainienne… En revanche, c’est bien l’intégralité de l’extrême-droite européenne (y compris des fascistes et des néo-nazis) que Moscou a convoquée pour servir « d’observateurs » à son référendum bidon organisé en Crimée en 2014. On voit ainsi bien la manipulation rhétorique grâce à laquelle Moscou peut sans honte qualifier ses opposants de « fascistes » et de « nazis » tout en soutenant les extrêmes-droites européennes.

                La réhabilitation officielle du pacte Molotov-Ribbentrop par le régime russe actuel crée ainsi une mémoire du conflit alternative à celle répandue en Europe occidentale, en valorisant la guerre d’agression et la confusion idéologique entre extrême-gauche et extrême-droite. Cette orientation idéologique est finalement tout sauf surprenante, car elle correspond à l’alignement tactique qu’a entrepris la Russie avec les extrême-droites européennes.



                • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:56

                  @Astrolabe

                  Bah, c’est un fait : «  a prévalu sous la forme de la « grande guerre patriotique », et permettait de présenter l’URSS comme l’épicentre de la résistance aux forces fascistes. » 

                  C’est d’ailleurs pour ça que nous n’avons jamais eu d’infos sur la réalité de la Russie et de l’URSS car il fallait effacé leur courage. 



                • confiture 4 mai 10:37

                  encore une photo gpt, il faut le signaler...


                  • Astrolabe Astrolabe 4 mai 10:51

                    @confiture
                            
                    Déjà qu’à la base le cliché avait été modifié car le soldat qui assure son camarade portant le drapeau avait deux montres au poignet !
                    Ca faisait mauvais genre smiley


                  • chapoutier 4 mai 11:09

                    @Astrolabe
                    au moins tu vas à l’essence de l’histoire !


                  • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 12:16

                    @Astrolabe

                    C’était peut être la montre de son camarde tué au combat. Tout le monde n’a pas les mêmes idées que toi.


                  • V_Parlier V_Parlier 5 mai 13:08

                    @chapoutier
                    Et en plus ça prouve dond que l’original à deux montres était vrai.


                  • chantecler chantecler 5 mai 13:16

                    @V_Parlier
                    De l’art de faire un fromage sur un détail !
                    Le soldat aurait montré 5 ou 8 montres je ne dis pas , mais là comme dit Chapout. c’était peut être la montre d’un camarade .
                    Pas forcément un voleur !
                    Mais si ça t’arrange !


                  • V_Parlier V_Parlier 5 mai 15:05

                    @chantecler
                    Ce n’est pas du tout là où je voulais en venir ! Les moqueries ont commencé avec « c’est une image chat-GPT ». Or, s’il avait fallu enlever une montre, c’est que la photo était bien réelle. (Et la montre, en effet, je m’en fous aussi).


                  • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:06

                    Tout à fait : « 

                    Et c’est également au nom de ces prétendues valeurs que l’Union européenne veut interdire la présence des dirigeants politiques européens lors de la Commémoration du 9 mai à Moscou. » 


                    Ces gens qui sont dans les officines de l’UE n’ont pas à nous dicter ou à dicter à d’autres peuples ce qu’ils veulent faire. 


                    • La Bête du Gévaudan 5 mai 15:20

                      @Patrice Bravo

                      qui a fait cette UE ? Largement la gauche...

                      la gauche dénonce le nazisme (à qui elle a fait la courte-échelle) mais soutient le communisme et l’islamisme...

                      c’est totalement stérile...

                      le marxisme est aussi stérile, macabre et artificiel que l’hitlérisme...

                      Quel crédibilité espère avoir la gauche dans la dénonciation de la GESTAPO, quand dans le même temps elle soutient le HAMAS et le NKVD ?

                      le combat est celui de la liberté et des nations...


                    • V_Parlier V_Parlier 5 mai 21:30

                      @La Bête du Gévaudan

                      Mais la gauche occidentale soutient aussi les descendants de « la gestapo » à l’Est (et pas qu’en Ukraine), pour ne pas faire de jaloux !


                    • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 11:16

                      « Des défilés en l’honneur des divisions SS sont organisés en Estonie, et de la division Waffen-SS Galichina en Ukraine. » 


                      Cela est un point très intéressant. C’est soutenu depuis le début pas l’UE et la France ferme les yeux sur cela. Et, l’UE, dont la France, accepte et soutient le racisme contre les russophones dans les pays baltes. Tout est fait pour faire renaître cette idéologie qui a permis de détruire les civilisations européennes avec la WWII. Pourtant, c’est totalement interdit d’avoir des symboles nazis en UE, en particulier en France et en Allemagne, mais Berlin et Paris ferment les yeux sur ce qui se passe dans les pays Baltes (qui étaient de très jolis pays avant leur entrée dans l’UE et dans l’OTAN) (l’URSS n’a pas détruit les cultures de ces pays. C’est ce qu’on a pu voir avec la culture et la langue allemande en RDA contrairment à la RFA). C’est un sujet très intéressant qui montre que les mouvements dits « nazis », sont utilisés pour une fonction spéciale servant des intérêts mondiaux en manipulant les idéaux nationalistes -comme en Ukraine, en les envoyant se faire tuer ce qui permet de détruire le pays, aussi.


                      • La Bête du Gévaudan 5 mai 15:15

                        @Patrice Bravo

                        débat stérile... les gauchistes promeuvent les symboles islamistes et marxistes, mais voudraient interdire les symboles nazis ? Mais c’est exactement la même chose !

                        Les gauchistes s’indignent des marches aux flambeaux en Lettonie mais soutiennent le Hamas et le voile islamiste.

                        Les pays concernés par les « commémorations pro-nazies » sont des pays qui ont goûté aux « joies » du NKVD... Pour désamorcer cela, il faut désamorcer toute l’histoire, sinon on n’en sort pas.

                        si l’on veut sortir de cette logique mortifère, il faut en finir avec la sophistique tiersmondo-marxiste, qui est l’une des expressions de ce nihilisme moderne et l’une des complices des idéologies génocidaires.

                        J’observe que les gauchistes « antifascistes » votent pour Mitterrand, le dirigisme et Bruxelles depuis 50 ans contre le gaullisme, la liberté et les nations... Les gauchistes déplorent des conséquences dont ils chérissent les causes.


                      • Phil 4 mai 11:55

                        Puisque l’on parle de l’histoire :

                        https://histoireetsociete.com/2025/04/21/qui-zelenski-a-trahi-ce-9-mai-sur-quelle-tombe-va-t-il-se-recueillir-celle-de-son-grand-pere-ou-celle-de-bandera/

                        « ...... il est effectivement temps de vous présenter le grand père de Zelenski : connaissez-vous le nom de ce héros de la Grande guerre Patriotique ? Son nom de famille est Zélinsky. Il a forcé la traversée de la rivière Boug-Ouest sans une seule perte, a battu les fascistes et a pris leurs positions.

                        Auparavant, près du village d’Alexandrovka, la compagnie de soldats soviétiques sous son commandement a détruit la position d’une batterie de cinq mortiers et résisté à quatre attaques allemandes.

                        Pour ses actes héroïques, ce soldat fut décoré de la médaille de l’Ordre de l’Étoile Rouge (NdT : la plus haute décoration soviétique) et du Drapeau Rouge.

                        Son nom complet est Simon Ivanovitch Zélinsky. Aurait-il pu imaginer que, 78 ans plus tard après que le peuple soviétique eut à subir la perte de millions de morts pour écraser le fascisme, son propre petit-fils applaudirait le vétéran de 98 ans de la division hitlérienne Galitchina, Yaroslav Hunk ?

                        Où donc Vladimir Zélinsky se rendra-t-il ce 9 mai ? sur la tombe de son grand-père ou au monument érigé à la gloire de Bandera ? Lui qui a été capable de jouer Hava naguila avec son pénis quand il était un pitre. »

                        Le petit fils :« Volodymyr Oleksandrovytch Zelensky naît le 25 janvier 1978 à Kryvyi Rih selon l’écriture ukrainienne ), une ville industrielle totalement russophone située près de Dnipropetrovsk, dans le sud-est du pays . Cette ville est aussi celle dont l’oligarque le plus pourri qui soit, Kolomoïski, devenu le gouverneur potentat, ce juif entouré d’une garde prétorienne de nazis recrutés dans le stade de l’équipe de foot qu’il dirigeait comme le lieu de blanchiment de tous les trafics, l’ordure qui profitant des matchs de foot est allé assassiner le maire de Kharkov, juif pro-russe, puis a perpétré l’horreur de la maison des syndicats. A la tête de sa troupe il s’est approprié des banques, compagnies de navigation, chaînes de télévision, et c’est lui qui a lancé la candidature de Zelenski. Son complice en France est Bernard Henri Lévy. Comme Glucksmann est le complice d’un autre oligarque géorgien devenu également gouverneur d’Odessa avec les mêmes voyous. Zelenski s’est fait élire sur un programme de paix avec la Russie, une autre traîtrise… »


                        • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 12:44

                          @Phil

                          Ouais, le Zelensky n’est pas vraiment catholique. Il suffit de voir ses danses dans le passé et sa volonté satanique de continuer la guerre en envoyant les chrétiens au massacre. Le pire est qu’il est soutenu par la caste en UE et en France. 


                        • chantecler chantecler 5 mai 13:18

                          @Patrice Bravo
                          Ben , forcément puisque la propagande dans notre pays nous dirige vers la guerre !
                          Moi, je dis non : les Russes ne sont pas mes ennemis , mais qui décide de quoi dans ce pays ?


                        • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 mai 11:56

                          Salut à toi, Jean ... tes détracteurs l’intriguent pour 2 raisons :

                          -Grangeoisi et Astrolabe racontent de telles conneries que je me demande si ce n’est pas toi qui les a créés !!!

                          -en en parallèle il manque DASH, tu sais celui qui veut me faire tuer car il m’a catalogué antisémite, alors que s’il avait demandé à sa mère, elle lui aurait dit que je suis circoncis...


                          • Gérard Luçon Gérard Luçon 4 mai 11:57

                            @Gérard Luçon
                            pardon : « m’intriguent » 


                          • Patrice Bravo Patrice Bravo 4 mai 12:56

                            @Gérard Luçon

                            « Grangeoisi et Astrolabe racontent de telles conneries ».  Astrolabe a certainement loupé des périodes historiques en classe ou et sur des lectures ou de rencontres de témoins. Astrolabe dit vraiment des âneries, hihan, hi-han. Mais, vu le niveau des politiques en France, il pourrait bien finir Premier ministre. Sais pas où va la France, mais ça va pas être joli. 


                          • Astrolabe Astrolabe 5 mai 18:58

                            @Patrice Bravo
                                       

                            « Passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet » smiley


                          • sylvain sylvain 4 mai 13:14

                            ouai, et la russie cree le meme genre de discours de son cote. Les gentils russes qui tuent les mechants ukro nazis, la cour de recre equipee en missiles balistiques en somme


                            • SilentArrow 4 mai 14:16

                              @chapoutier

                              Je venais de lire cet article sous la forme d’une série de commentaires sous un article de Patrice Bravo.

                              J’ai pas tout relu. C’est bien le même texte ?


                              • chapoutier 4 mai 14:17

                                @SilentArrow
                                oui !


                              • xana 4 mai 14:32

                                Il est toutefois parfaitement clair que l’Europe occidentale de nos jours est nettement plus russophobe que pendant la guerre, et nettement plus encline à admettre les thèses nazies qu’alors.

                                Oui, l’ukraine actuelle n’est qu’un nid de néo-nazis, que l’on accepte en Occident parce que les Ukrainiens tuent ces Russes dont nous avons si peur.


                                • sylvain sylvain 4 mai 15:50

                                  @xana
                                  « qu’un nid de neos nazis ». Quel incroyable niveau de connerie pour reduire un peuple de millions d’individus a « un nid de neo nazis ». Tout juste bons a etre eliminer alors non ?? des nazis genetiques en quelque sorte, dont les enfants seront nazis par simple enregistrement administratif


                                • xana 5 mai 13:50

                                  @sylvain
                                  Ca s’appelle faire l’âne pour avoir du foin. L’ukraine est un pays solidement tenu par les néonazis, mais évidemment pas HABITE par des néo-nazis uniquement.
                                  Quant à votre idée d’éliminer tous les ukrainiens, je vous la laisse, à vous et aussi à ces fameux néo-nazis qui envoient la population ukrainienne sous les obus (avec des bataillons punitifs derrière eux pour les faire avancer). Tout ca pour tuer quelques russes et se faire bien voir des dirigeants occidentaux...


                                • La Bête du Gévaudan 5 mai 15:06

                                  @xana

                                  mais qui a rendu cette Europe occidentale perméable aux relents nazis ? La gauche !

                                  Qui a voté Mitterrand (le maréchaliste euro-otaniste) contre le vilain aristocrate capitaliste De Gaulle ? La gauche !

                                  Cela fait des décennies que la gauche (alliée à l’extrême-gauche) met en place ce régime européiste anti-national, bureaucratique et socialisant...

                                  Et ça continue à chaque élection, les gauchistes appellent barrage à Trump, barrage à Orban, barrage à Poutine, barrage à Le Pen, etc... plus d’islamisme et plus européisme.

                                  Ce n’est donc pas la peine de nous ressortir les inepties staliniennes pour essayer de racheter une vertu ternie. Staline était une ordure génocidaire et le marxisme un immondice aussi crétin que macabre. Les communistes sont les idiots-utiles du nazisme, du fascisme, de l’européisme et de l’islamisme.

                                  A un moment donné, il va falloir être capable d’autre chose que répéter la propagande de Moscou ou de Washington ou de Bruxelles. On a l’impression d’être dans un match de foot OM-PSG : t’es plutôt nazi ou communiste ? ... ni l’un ni l’autre !


                                • xana 4 mai 14:41

                                  Dans nos pays d’Europe occidentale, la propagande russophobe est si forte que beaucoup de gens croient sérieusement que les Russes veulent les envahir.

                                  C’est ce que répètent à l’envi toute la presse et les médias... 

                                  Pourtant... La Russie n’a absolument rien à gagner dans nos pays ruinés, sauf de nouveaux problèmes. A vrai dire, si la Russie nous considérait comme une menace, pour elle le plus simple serait de nous envoyer quelques ogives. Et tout particulièrement pour le Royaume Uni, le pays le plus nuisible sur la Terre entière à l’égard de la Russie.


                                  • grangeoisi grangeoisi 5 mai 07:05

                                    @xana
                                    La propagande russophobe...tiens comme c’est bizarre smiley !
                                    En plus si c’est dit par Xana c’est une référence !
                                    Enfin ce matin la Roumanie s’est réveillée en pleine démocratie ! Ouf plus besoin de détourner le pognon de l’UE ça va baigner dans la liberté, même les étrangers à bord de T 90 seront les bienvenus !


                                  • xana 5 mai 13:43

                                    @grangeoisi
                                    Oui, ce matin les Roumains se sont apercu qu’ils avaient encore le droit d’élire qui ils voulaient ! Et comme toujours les premiers sont les Roumains de la diaspora, sans doute plus clairvoyants que les vieux restés au pays qui continuent de voter pour le PSD en échange d’un verre de vin (Témoignage personnel, j’ai assisté à ce genre de meeting préelectoral, c’est à gerber !)
                                    .
                                    Evidemment les nervis de l’UE sont en réunion jusqu’à ce qu’ils aient trouvé un nouveau prétexte pour annuler l’élection. Seul problème, s’ils l’annulent, ce sera l’émeute dans tout le pays...

                                    Cher grangeoisi, vous n’avez pas encore remarqué que nous vivons dans des pays complètement infectés par la propagande russophobe ? Il est vrai que Russia Today est totalement censuré chez vous... Si ce n’était pas le cas vous vous en seriez aperçu. Moi je le sais parce que je ne me contente pas de la presse autorisée par Macron, en parlant quelques langues il est facile de s’informer (si on le désire, évidemment).


                                  • Eric F Eric F 6 mai 14:43

                                    @xana
                                    Le vainqueur du premier tour ayant obtenu 40% des suffrages, le scénario suivant sera l’appel des autres courants à ’’faire barrage’’, déjà nos média (qui avaient annoncé initialement un score sensiblement inférieur) ont parlé d’absence de réserve électorale


                                  • Jules Seyes Jules Seyes 5 mai 10:25

                                    Merci de l’article, excellent.


                                    • La Bête du Gévaudan 5 mai 14:56

                                      Quel salmigondis ! Vous êtes exactement comme les euro-nazis que vous dénoncez. Jusqu’aux inepties de ce gugusse bolcho-raciste d’Aimé Césaire qui, manifestement, a des compétences très lacunaires en économie et en histoire. Il aurait mieux fait de se cantonner dans la romance. Et sans rien dire de ce « mensonge mille fois répété » mais qui n’en devient pas une réalité du prétendu génocide de Gaza (ce sont plutôt les einsatzgruppen islamistes qui ont échoué à faire un génocide contre les Juifs).

                                      Comme vous le remarquerez vous-mêmes, les célébrations de troupes pro-nazies ont lieu uniquement dans les pays qui ont goûté aux « joies » du NKVD et du marxisme (de l’Espagne à la Lettonie). Il faudrait donc vous poser vous-mêmes quelques questions.

                                      Oui, Staline et les communistes ont joué un rôle actif dans le déclenchement de la guerre et l’expansion nazie en aidant l’armée nazie à écraser la Pologne et massacrer son peuple. Puis en armant l’armée raciste d’Hitler pour attaquer la France et l’Angleterre, et en ordonnant à ses militants occidentaux de collaborer avec les occupants nazis. Le fait que, par la suite, les Soviétiques aient joué un rôle décisif dans l’écrasement du nazisme ne change rien à ces faits. En sus de l’aspect en lui-même immonde et macabre du marxisme, dont vous faites bon compte. Ce n’est pas avec cette logomachie stalinienne stérile que nous renouerons avec la Russie, mais en dégageant la nomenklatura européiste (pour laquelle la gauche appelle à voter à chaque élection).



                                        • titi titi 5 mai 18:03

                                          @L’auteur

                                          Le fait que l’armée sovitéique soit entrée à Berlin en 1945, ne donne pas blanc-seing à la Russie d’aujourd’hui pour faire n’importe quoi.

                                          Tout simplement.


                                          • TSS (...tologue) 5 mai 18:59

                                            Il en est certains qui confondent opinion et addiction ! quel que

                                            soit le sujet(toujours la même rengaine) ,ils devraient enlever

                                            leurs oeillères... !!


                                            • xana 5 mai 20:32

                                              Comment ? L’armée soviétique serait entrée à Berlin en 1945 ?

                                              Mmais c’est impossible ! Chacun sait que ce sont les Américains qui ont gagné en 1945 ! Avec l’aide des Allemands, bien sûr, mais ils ont défilé sur la place Rouge de Moscou en traînant les corps défigurés de Staline et de Joukov !

                                              C’est écrit dans tous les livres d’histoire imprimés en Occident (à partir de 2025...)


                                              • Cassandre G Cassandre G 6 mai 13:53

                                                Je vous ai lu avec plaisir, Chapoutier.
                                                Et je me suis tue un moment. Car il y a dans vos lignes ce que j’appelle un silence en ruines — non celui qui précède la parole, mais celui qui la suit. Ce qui demeure quand il n’est plus possible de feindre l’ignorance.

                                                Ce que vous nommez d’un trait incisif, je l’observe à travers d’autres éclats. C’est le même fil, mais noué autrement : celui d’un récit européen qui gomme ses ombres pour repeindre ses lueurs à l’envers. Une mémoire qui se taille une innocence neuve en travestissant ses plaies.

                                                Il m’arrive de nommer cela le Mémoirel. Non pour théoriser, mais pour désigner un air du temps : cette recalibration continue de notre rapport au passé — comme si, à force de prétendre se souvenir, on apprenait à mieux mentir.

                                                Oui, l’Europe d’aujourd’hui réhabilite sans rougir ce qu’elle avait crucifié hier, pour peu que cela serve son théâtre géopolitique. Elle efface les ombres soviétiques de Berlin, piétine le 9 mai et sa charge de sang, brandit des droits de l’homme éthérés, amputés de leur chair historique.

                                                Et pendant ce temps, les générations à venir héritent d’une mémoire aseptisée, en sachet. Une mémoire sans relief, donc sans vie.

                                                Merci d’avoir planté vos mots là où le présent badigeonne le passé pour s’auto-absoudre.

                                                Cassandre G


                                                • Eric F Eric F 6 mai 14:32

                                                  Héritiers du nazisme dans le contexte Ukraine vs Russie, en fait tout dépend de la perception.

                                                  En Europe occidentale les véritables héritiers du nazisme sont des courants ultra-nationalites opposés à l’hégémonisme américain, ces courants sont souvent pro-russes (résurgence du tsarisme et des valeurs traditionnelles).

                                                  En Europe orientale, les mouvements ultra-nationalistes sont historiquement anti-soviétiques -et par là anti-russes-, et parmi ces courants certains avaient collaboré avec le nazisme. Ces courants sont pro-atlantistes et demandent la protection de l’OTAN contre leur ancien suzerain.

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