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Accueil du site > Tribune Libre > Quelle guerre de civilisation ?

Quelle guerre de civilisation ?

Une guerre de civilisation de basse intensité : fractures orchestrées et quête de dignité

Le « choc des civilisations », souvent réduit à un conflit culturel entre l’Occident et le monde musulman, masque une guerre de basse intensité faite de tensions raciales, sociales, et idéologiques. Loin d’être un legs colonial, cette guerre est alimentée par des stratégies politiques, des préjugés persistants, et une occultation des réalités par les élites. Basé sur des observations sociologiques en Afrique, dans les DOM-TOM, et en France, cet article analyse ces dynamiques, plaidant pour la transparence et la dignité des victimes.

Valeurs patriarcales contre égalité : une fracture instrumentalisée

Une opposition structure les tensions : d’un côté, des systèmes patriarcaux où la domination masculine et les hiérarchies traditionnelles (père sur enfants, aînés sur jeunes) sont ancrées, souvent sous l’égide de la charia ou de coutumes ; de l’autre, les idéaux des Lumières prônant l’égalité des sexes, les droits individuels, et la laïcité. Observées en Afrique, ces normes patriarcales se traduisent par le contrôle de la sexualité des femmes, les mariages forcés, ou le rejet des droits humains, perçus comme menaçant l’autorité masculine.

En Afrique, ces structures coexistent avec un racisme anti-Blanc récurrent, à des degrés variés, dans de nombreux pays. Cette haine, loin d’être un héritage colonial que personne n’a directement connu, est orchestrée par des pouvoirs locaux pour détourner l’attention de leurs oppositions internes. En Afrique du Sud, les attaques contre les fermiers blancs (environ 50 meurtres par an, selon AfriForum) illustrent cette hostilité, amplifiée par des discours politiques. Au Sénégal, les systèmes de castes stigmatisent les griots, tandis qu’en Afrique centrale, les violences contre les albinos (plus de 600 attaques depuis 2006, selon l’ONU) et les persécutions des homosexuels révèlent des inégalités culturelles. Ces pratiques ne justifient pas la haine anti-Blanc, mais servent de diversion politique.

En France, des mouvements comme les Frères musulmans exploitent ces valeurs conservatrices pour mobiliser des populations, alimentant les tensions avec l’Occident. Certaines populations issues de l’immigration, marquées par des préjugés patriarcaux et racistes, contribuent à une insécurité perçue comme ciblant les Français blancs, comme à Crépol (novembre 2023), où des gendarmes ont rapporté des propos tels que « à mort les Blancs ».

Capitalisme et division : une misère universelle

Le capitalisme divise pour régner. La misère – chômage, précarité, coût de la vie – touche tous, Blancs comme immigrés, et ne saurait expliquer les haines raciales. Pourtant, les élites attisent ces fractures en minimisant les crimes liés à l’immigration. Dans des départements comme le Val-d’Oise, les témoignages décrivent une insécurité ciblant souvent les Français blancs, perpétrée majoritairement par des individus d’origine étrangère, selon une perception répandue. Cette réalité est occultée par l’interdiction des statistiques ethniques (loi de 1978), qui dissimule l’ampleur de l’immigration (7 millions d’étrangers en 2023, selon l’INSEE) et la surreprésentation de certaines populations dans la criminalité (60 % des détenus nés à l’étranger, rapport de 2019).

Cette lutte n’est pas une exploitation des crimes de l’immigration, mais une quête de transparence et de dignité pour les victimes, souvent réduites au silence par peur de représailles (seulement 24 % des violences physiques signalées, selon l’INSEE). Les autorités, accusées d’indulgence envers des délinquants désignés comme « racaille », contrastent avec leur fermeté envers les classes ouvrières, comme les Gilets jaunes (3 000 condamnations, 400 incarcérations), majoritairement ruraux et périurbains.

Le racisme anti-Blanc : une haine orchestrée

Le racisme anti-Blanc, minimisé par les institutions, est une réalité en France, en Afrique, et dans les DOM-TOM. À Crépol, des gendarmes assermentés ont confirmé des propos comme « on est là pour planter des Blancs », mais le parquet a écarté le mobile raciste, renforçant l’idée d’une justice à deux vitesses. Dans les DOM-TOM, cette haine vise les Blancs en général, notamment les Métropolitains aux Antilles et les « Zoreilles » à La Réunion, plus que les Békés, craints pour leur pouvoir économique. Les métis, héritiers d’un privilège socio-économique, échappent souvent à ces tensions. Loin d’être un legs colonial, cette hostilité est entretenue par des pouvoirs locaux pour détourner l’attention des luttes internes.

En France, cette indulgence contraste avec la répression des ouvriers. La gestion des émeutes urbaines (10 % de peines fermes pour vols violents en 2022) semble moins sévère que celle des Gilets jaunes, alimentant un sentiment d’injustice parmi les classes populaires blanches, qui se perçoivent comme abandonnées.

La Nakba et les blessures historiques

Le conflit israélo-palestinien illustre les cycles de haine. La Nakba de 1948, avec l’expropriation de 700 000 Palestiniens, et les massacres comme Deir Yassin ou Sabra et Chatila, ont engendré un ressentiment durable. Les actes terroristes du Hamas, frappant des innocents, perpétuent cette violence. Bien que distinctes, ces tensions rappellent comment les blessures historiques, mal adressées, alimentent les conflits.

Une guerre des récits au service du pouvoir

Les élites orchestrent une guerre des récits pour diviser. En France, l’interdiction des statistiques ethniques empêche une analyse transparente de l’insécurité. Dès 1981, Georges Marchais plaidait pour l’arrêt total de l’immigration, légale et clandestine, dénonçant son impact sur les travailleurs. En occultant les crimes liés à l’immigration, les autorités divisent les classes populaires entre « autochtones » et « immigrés ». La France Insoumise (LFI), dirigée par Jean-Luc Mélenchon, un ex-trotskyste perçu comme opportuniste, substitue les luttes sociétales (inclusion, diversité) aux luttes de classe, trahissant ses racines idéologiques. Les bourgeoisies nationales désignent des boucs émissaires – ouvriers blancs laïcs voire chômeurs et retraités, islamistes – pour détourner l’attention des inégalités.

Vers la transparence et la justice

Cette guerre de basse intensité, alimentée par des haines orchestrées et des vérités occultées, risque de s’enliser. Reconnaître des réalités est impératif : le racisme anti-Blanc, en France, en Afrique, et dans les DOM-TOM, est entretenu par des pouvoirs locaux pour des fins politiques ; l’insécurité, ressentie par des millions de Français, exige la dignité pour les victimes ; l’interdiction des statistiques ethniques entrave la transparence. Comme le soulignait Charles Fourier, « les progrès sociaux s’opèrent en raison des progrès des femmes vers la liberté ». Cette liberté, entravée par des préjugés patriarcaux, est compromise par des divisions orchestrées. Seuls des combats universels – justice sociale, transparence, reconnaissance des victimes – permettront de dépasser les haines et de bâtir un avenir commun.

 


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18 réactions à cet article    


  • sylvain sylvain 13 mai 20:10

    La lutte des classes ou la guerre des races. On est plus sur la guerre des races en ce moment


    • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 14 mai 16:57

      @sylvain
      Les classes sont multiples, comme races, à diviser :
      Faire en sorte que tous croient savoir, s’opposent, plutôt qu’Union.



      • Durand Durand 14 mai 08:44

        @Étirév

        Ça pourrait vous intéresser :

        Comment la conquête coloniale de Madagascar a mis fin à un matriarcat parfaitement fonctionnel…

        https://igg-geo.org/2020/07/04/deconstruire-lantagonisme-entre-feminisme-et-societe-a-madagascar-1-3-le-matriarcat-a-madagascar-mythe-ou-realite-retour-sur-la-societe-precoloniale/

        ..



      • Octave Lebel Octave Lebel 14 mai 11:47

        Énième tentative (quelle persévérance) de nous vendre, le talisman de toutes les extrêmes-droites, le trésor autour duquel, quand rien ne va plus, la grande famille se rassure et se resserre. Le cadeau, qui si on arrive à le faire accepter à nos adversaires, alors ils se détruiront eux-mêmes. La pièce qui, si nous la retirons, c’est alors notre propre pyramide qui s’effondre. Ici donc, la énième tentative de déguisement du cadeau devenu si difficile à placer. Servi avec une sauce marxiste parce que, vu les temps qui courent et la crédibilité qui fout le camp, il faut bien tout essayer maintenant que nos concitoyens de la classe moyenne et populaire ne se laissent plus si facilement bourrer le crâne avec pourtant de beaux sondages qu’ils sont censés croire et toute la check-list des fakes-news avec lesquelles les petites mains de la famille patrouillent dans les réseaux sociaux. Qu’allons-nous faire ? En attendant, sans fin, la même chose .Cela évite d’avoir à trop réfléchir en attrapant le cafard.

        J’allais oublier de nommer la chose. L’immigration bien sûr à toutes les sauces et recettes parce qu’il faut bien cela pour tenter de bloquer le rassemblement de la classe moyenne et classe populaire qui s’apprête à remettre à sa place l’oligarchie qui est acculée depuis un moment déjà à devoir parier sur l’extrême-droite pour lui sauver la mise comme elle l’a fait ailleurs.Dans d’autres lieux et d’autres temps aussi pour ceux qui ont un peu de mémoire.

         

         


        • Octave Lebel Octave Lebel 14 mai 11:53

          Un rappel toujours utile.

          Soyons cohérent et, dans un premier temps ,  rendons donc justice à l’extrême-droite en étant respectueux de sa nature profonde et du rôle historique qu’elle a toujours tenu en rappelant le pacte plus ou moins discret qui unit les oligarchies aux abois avec ces aventuriers de la politique quand leurs concitoyens se réveillent dans un premier temps smiley 

           « Travailler méthodiquement à substituer la lutte contre l’étranger et la lutte contre la fraude sociale qui est une goutte d’eau en comparaison de la fraude fiscale des nantis, à la lutte contre l’exploitation et les injustices en poussant les exploités à se disputer entre eux pour pouvoir les exploiter dans les meilleures conditions. Travailler à inverser les règles républicaines en substituant la division au rassemblement des citoyens par des droits et devoirs communs. En instrumentalisant la langue, la couleur de peau, la religion, notre histoire et celle du monde, pour en faire des prétextes à la division, avec la haine pour donner du goût à la mixture. Imparable si on y met le doigt. Une extrême-droite qui en temps de crise contamine la droite qui ne demande pas mieux. Un déjà vieux parti, déjà abîmé dans les malversations de l’argent public, les combines électorales et le mensonge politique. Soutenue médiatiquement par les oligarques qui sont toujours historiquement les mécènes indispensables et déterminants de ces affaires. Qui entretiennent chez nous et ailleurs aussi, avec leurs algorithmes dans les réseaux sociaux, leurs chaînes d’info et instituts de sondages, sa surexposition sur la scène médiatique avec l’aide de pauvres journalistes devenus des mercenaires. Les mêmes qui délocalisent leurs productions et services, tout en bénéficiant de subventions sans contrepartie, pour des salaires moindres, des conditions de travail moins coûteuses et ici, moins d’emploi, moins de pouvoir d’achat et moins de cotisations pour le budget de l’état, moins de rentrées d’impôts aussi et donc moins de moyens pour les besoins du plus grand nombre et nos services publics. Saluons ce culot. Voilà des gens qui n’ont pas peur des contradictions tellement ils nous méprisent nous leurs électeurs en se réjouissant de notre bêtise. Serons-nous, par notre faute, leurs couillons préférés ? »

           

           

           

           


          • Octave Lebel Octave Lebel 14 mai 11:57

            Pour ceux qui aiment le recul historique (le meilleur antidote contre les démagogues et idéologues)

            En 2025, des nouvelles du fascisme (10/03/24-40 mn).

            Johann Chapoutot, Historien, professeur à l’Université Paris-Sorbonne.En désignant les responsables de l’arrivée du parti nazi au pouvoir, on acquiert une compréhension des convergences d’intérêts entre le fascisme et le système économique d’exploitation capitaliste. C’est en faisant ce constat qu’on parvient à décrire avec précision le glissement réactionnaire actuel.

            https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/france-culture-va-plus-loin-l-invite-e-des-matins/en-2025-des-nouvelles-du-fascisme-7254292

             

            « Définir le fascisme. L’historien spécialiste du nazisme Johann Chapoutot précise l’origine du fascisme : "Il faut revenir au bain commun qui est celui de l’extrême droite, c’est-à-dire cette culture politique, quasiment cette anthropologie, puisque c’est une conception de l’homme, c’est même une cosmologie, une conception de l’univers, qui se cristallise dans les années 1790 au moment de la contre-révolution. Le choc de la Révolution française est tel, pour certaines élites religieuses, sociales, économiques, qu’il y a des contre-récits qui se développent d’ordre complotiste, puisqu’on parle de complot des jésuites ou de complot des francs-maçons avant de passer au complot juif, évidemment. Dans ce bain de l’extrême droite, vous avez un socle qui est la contre-révolution, le refus absolu des acquis de la Révolution française. Goebbels le dit très clairement  : ’’Nous avons effacé 1789 de l’histoire.’’ C’était un des buts du nazisme. C’est obsessionnel." Cette idéologie se construit en réaction aux aspirations égalitaristes de 1789, de la Commune ou de la Révolution russe de 1917. Johann Chapoutot insiste sur l’appartenance du Rassemblement national à cette idéologie réactionnaire de refondation de la nation sur des bases figées. Il s’appuie en cela sur la constance de son opposition à l’État de droit et refuse tout rattachement de la pensée économique du RN à un quelconque socialisme. Il est vrai qu’après une courte période durant laquelle le parti, fondé par d’anciens SS, a proposé un discours gauchisant, celui-ci est vite revenu aux fondamentaux sociaux-darwinistes qui justifient l’inégalité par la nature. La seule alternative proposée au prolétariat consiste en un pacte racial et patriarcal avec le patronat, qui permettrait aux hommes blancs de bénéficier d’un matelas de sécurité vis-à-vis des personnes racisées, des LGBTQIA+ et des femmes : ce que le RN appelle la « préférence nationale ». »  

            • Octave Lebel Octave Lebel 14 mai 12:00

              Enfin, une réflexion de fond, engagée, brûlante d’actualité.

              → L’identité au service du racisme (une soirée en forme de tables rondes autour du livre de l’Institut la Boétie sur l’extrême droite se tenait dans deux amphis des Arts et Métiers).(21/09/2024).

              https://melenchon.fr/2024/09/21/lidentite-au-service-du-racisme

               Extraits : Un texte qui mérite d’être lu en entier.

              « J’ai dit pour ma part ici même combien le racisme doit être compris comme une idéologie globalisante. C’est-à-dire incluant dans son champ d’application et de réponses toutes les questions posées à une société. Les mots « racisme » et « extrême droite » désignent alors une même entité idéologique : l’essentialisation de l’inégalité. Ces rapports très étroits sont prouvés dans toutes les études récentes et enquêtes de terrain sur ce thème : la dimension raciste est centrale dans la décision de vote pour l’extrême droite. Comment cela se construit-il ?

              « Avant tout autre chose, dit Palheta, la bataille de l’extrême droite est identitaire ». Le terme d’identité – commun à presque toutes les variantes connues de cette famille politique – a été introduit dans les années 1970. Ce fut le travail des idéologues de la « Nouvelle Droite » d’alors. Ils concentraient leurs analyses sur la façon dont la gauche avait selon eux gagné la partie intellectuelle en dominant le champ des mots en usage sur la scène publique et donc matricé les débats eux-mêmes. L’introduction de ce mot « identité » devait remplacer celui de « race », devenu beaucoup trop compromettant pour les héritiers du fascisme voulant sortir de la marginalité politique. Le triomphe de leurs efforts vint avec la création d’un ministère de « l’Identité nationale » décidé par Nicolas Sarkozy et mis en œuvre par un transfuge de la gauche hollandiste, Éric Besson. « Ils ont alors culturalisé le racisme, explique Palheta, il ne s’agissait plus d’affirmer la hiérarchie des races mais de proclamer l’incompatibilité des cultures ». En 1996, ce discours est pris en charge mondialement par le manifeste de Samuel Huntington. C’est le fameux « Choc des civilisations ». Il s’agissait de construire une nouvelle conflictualité mondiale remplissant la fonction de l’anticommunisme avant l’effondrement de l’URSS. Elle désignait alors, à la fois un ensemble d’États dans le monde et un ennemi politique de l’intérieur dans chaque pays. Dans ce nouveau tableau d’ensemble, le conflit israélo-palestinien fournissait un modèle central pour illustrer et diffuser la thèse du « choc des civilisations ». Selon cette thèse, les peuples s’identifient eux-mêmes par leurs cultures, et celles-ci sont toujours ancrées dans une religion. Ainsi est délimité un antagonisme insurmontable entre « eux et nous ». Dans ce tableau, le nouveau vecteur, c’est la stigmatisation des musulmans, par l’islamophobie.

              Alors peut être proclamée l’urgence de préserver une identité (française ou européenne par exemple) mise en danger par le choc des civilisations. Cela n’oppose pas des conceptions politiques, mais des antagonismes culturels. Ils fonctionnent comme une essentialisation ethnique de « l’identité » des parties mises en conflit sur le mode du choc des « races » dans les idéologies traditionnelles de l’extrême droite. Alors le caractère globalisant de ce racisme peut fonctionner dans toute son étendue. Si large que soit l’éventail des catégories que le nouveau fascisme racialiste vise, l’islamophobie les englobe toutes dans son champ d’application. C’est le cas bien connu du voile opposé au féminisme, ou de la République opposée au modèle théocratique de l’Islam, comme si celui-ci menait naturellement tous les musulmans au modèle politique islamiste. »

              « Parvenu à ce point de la démonstration, il faut noter un point essentiel. Le nouveau schéma d’extrême droite, comme l’ancien, n’est pas non plus de génération spontanée. Il résulte d’une proposition explicative venue « d’en haut », relayée par des moyens de propagation et des stratégies d’entrée dans les domiciles privés autant que dans les consciences. C’est le rôle des médias, et spécialement des médias audiovisuels. Ils sont en effet souvent les seuls points de contact social des individus quand ils sont condamnés à la mobilité routière comme seuls moyens d’accès aux réseaux éparpillés qui rendent la vie possible. Tels sont les habitants des « déserts » nécessaires à la loi du marché capitaliste quand elle guide la « gestion managériale des territoires » : désert médical, désert scolaire, désert administratif et même désert alimentaire. »

               

               


              • SilentArrow 15 mai 13:33

                @Octave Lebel

                Et bla bla bla, ad nauseam.


              • ZenZoe ZenZoe 14 mai 15:52

                Guerre de civilisation ? Plutôt guerre de territoire et guerre de pouvoir, c’est vieux comme le monde. Un clou chasse l’autre.

                Quand une civilisation a désappris à se défendre, quand elle n’a plus rien de beau ou de magique à proposer, elle se fait balayer par d’autres qui prennent la place. On en est là.


                • Sylfaën.H. Sylfaën.H. 14 mai 17:04

                  @ZenZoe
                  Quand une civilisation a désappris à se VOIR, se COMPRENDRE, ...
                  rien de beau ou de magique à proposer ... on en est là


                • jakem jakem 14 mai 16:57

                  Cette guerre est aussi menée par des indigènes français contre la France.

                  Par exemple : l’attaché parlementaire Thierry Bandudi, du prestigieux député combattant humaniste pour le peuple ( combien de propositions de lois raisonnablement applicables ? ) Carlos Martens Bilongo ( inutile de préciser de quel groupe il est ) a volé une gerbe déposée par des enfants pour la reposer lui-même en filmant la scène ....

                  https://www.valeursactuelles.com/societe/lattache-parlementaire-du-depute-lfi-carlos-bilongo-vole-une-gerbe-deposee-par-des-enfants?fbclid=IwY2xjawKRjPJleHRuA2FlbQIxMABicmlkETBJNnNUcE1XTW5OMDMwekpsAR6OpiZcoiaK SrO_ZM3WRQLAegHgpzEpQ8yNg4ISZrLh0ik9iotx0SvvTsej4Q_aem_EzpLevJZzJ5joKZ tclIptQ


                  • jakem jakem 14 mai 16:59

                    @jakem
                    C’est l’indécence de la racaille qui veut prendre le Pouvoir ...

                    Avez-vous lu son excuse ?


                  • loulou 16 mai 16:53

                    Un petit commentaire avant que ce texte disparaisse de l’écran.

                    Que ça fait du bien, de lire un auteur de gauche qui parle de la


                    • loulou 16 mai 17:25

                      Bon, je recommence puisque le commentaire que je viens d"écrire viens de disparaitre sous mes yeux.Mystère du fonctionnement !

                      J’écrivais donc : Que ça fait du bien de lire un auteur de gauche qui parle de la réalité.

                      Et bien , oui, les immigrés peuvent être racistes et ne sont pas forcément des gens parfaitement tolérants et plein de bonnes intentions.

                      Ils ne sont pas, non plus , forcément, les pauvres victimes de ceux qui parait-il les accueilleraient tellement mal qu’on ne comprendrait plus leur désir de venir.

                      Personnellement, je ne suis pas hélas, comme l’auteur le souhaite, persuadé, que les différences puissent être aplanies entre les communautés.

                      L’auteur souligne avec justesse le travail fait par ceux qui nous dirigent pour diviser autant que ce peut, ceux qui arrivent de ceux qui accueille. Ça me semble une volonté évidente de leur part.Une part de leur projet.

                      Je suis, tristement obligé par expérience de penser , que même si ce travail de sape des dirigeants n’existait pas, les différences de mentalité, sont trop importantes pour que l’union, se fasse jamais.


                      • xenozoid xenozoid 16 mai 17:34

                        @loulou

                        Bonjour, je suis un zelateur de Riposte Laique:Alors si vous n’avez pas ecouté le discours du Latran de Nicolas Sarkozy,si vous ne savez pas que l’etat Français paye le voyage d’imams vers les mosquées Française,si vous ne savez pas que ces mêmes imams sont pour partie formés dans l’institut catholique de Paris (En vertu d’un accord entre ces deux religions), si vous ne voulez pas voir les manoeuvres du gouvernement pour detruire la loi de 1905 sur la laicité , etc...vous pouvez continuer a vivre dans le monde de Bisounours auquel vous croyez appartenir et a continuer d’attaquer Riposte Laique.Si en plus vous habiter un quartier sans probl^eme, que vous ne voyez jamais ou très peu de femmes voilées, ne frequentez que des etrangers qualifiés et intéressants ont peut comprendre votre point de vue sur l’immigration.Vous pouvez continuer a penser que l’immigration est une magnifique chance pour la France.Que les emeutes recurentes n’existent pas, que le fractionnement du pays en communautés differentes est un phantasme etc...En temps qu’ouvrier militant de gauche et syndicaliste j’ai , il y a un moment cru a ce que vous croyez.Et puis j’ai douloureusement ouvert les yeux. sur cette gigantesque tromperie.Vous defendez un parti « L’UDB » proche du PS qui n’a comme seul programme plus grand chose pour defendre les classes populaires mais continue de souteni peu ou prou le besoin d’immigration.Ou voulez vous que tout cela nous mène ?La gauche se doit de regarder enfin la realité en face.Vive Riposte Laique !


                      • loulou 17 mai 01:13

                        Mon cher Xeno..., soit j’écris très mal et est incompréhensible, ce qui est possible. soit , il vous faut apprendre, à comprendre ce que vous lisez.Ou voyez vous que je défend L’UDB ? Ou avez vous lu, que j’attaque Riposte Laique ?

                        De quel droit pensez vous que , justement, je ne connais pas , tout ce que vous citez

                        .Votre colère m’amuse, parce que justement je suis un copié collé de ce que vous êtes et pensez.

                        Mais, vous avez raison, la gauche , se devrait de regarder la réalité en face.

                        Mais, j’y reviens. Apprenez à lire !

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