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Accueil du site > Tribune Libre > Santé en danger : quid de la liberté de soigner, du serment (...)

Santé en danger : quid de la liberté de soigner, du serment d’Hippocrate, du libre choix des patients sous le totalitarisme bureaucratique

Il est temps de réavertir élus, futurs candidats, et surtout tous les citoyens du danger qui menace gravement notre système de santé dans lequel le rôle des professionnels est majeur. Rien ne peut se faire sans eux. Les multiples tentatives administratives « d’organisation » en couches successives tant des hôpitaux que des maisons de santé, parcours de soins etc. sont à mille lieux de la Vraie vie et de la vraie médecine qui repose avant tout sur le dialogue singulier médecin-patient.
Toutes les démarches pour imposer une médecine collectiviste digne des dictatures socialistes des anciens pays de l’Est échoueront mais laisseront sur leur chemin chaotique trop de victimes innocentes. Il est temps que les français soient aux côtés de leurs médecins et soignants pour imposer un virage à 180° du système de santé : rendre le pouvoir de décision aux médecins et soignants à l'écoute des patients, leur rendre les moyens financiers en diminuant drastiquement les ressources financières attribuées aux bureaucrates, l'administration réduite ne devant que gérer et non imposer. A chacun son métier, celui de médecin ou soignant n'est pas celui des technocrates.

 

Santé en danger : Où en en sont la liberté de soigner, le serment d’Hippocrate et le libre choix des patients sous le totalitarisme bureaucratique actuel qui nous étrangle ?

 

Depuis de très nombreuses années, nous nous battons, avec de nombreux citoyens et familles de patients, de nombreux confrères (plus ou moins ouvertement), pour la liberté de soigner et d’être soigné. Celle-ci régresse très rapidement depuis l'instauration du pouvoir bureaucratique en lieu et place du pouvoir médical, essentiellement depuis les années 95 avec les ordonnances Juppé et la création des agences régionales d’hospitalisation qui seront transformées en agences régionales de santé en 2009 avec la loi Bachelot.

 En 2014, alors que se préparait la terrible loi de santé de M Touraine contre laquelle ont manifesté 50000 soignants le 15 mars 2015, sans soutien réel de la population manipulée par le mythe du tiers payant et de la pseudo gratuité (loi votée en décembre 2016 par moins de vingt députés), nous organisions un colloque sur la liberté de soigner.

 

Nous avons élaboré à cette occasion[1] un manifeste avec le docteur Jérôme Marty pour tenter de sauver ce qu’il reste de la médecine libérale et Roland Gori professeur émérite psychanalyste et auteur de nombreux ouvrages sur la mise en place du totalitarisme en santé (entre autres)[2]. Plus de 1800 médecins et soignants l’ont signé et diffusé autour d’eux pour tenter d’alerter sur le Titanic de la médecine qui va droit sur l’iceberg.
 

 Le temps a passé, et le bateau santé-Titanic s’enfonce inéluctablement, semble-t-il et quasiment dans l’indifférence générale jusqu’au jour où… chacun est concerné pour soi-même ou un proche. Et là patatras …le constat est tragique. Citons l’UFML : "Aujourd’hui ce sont les valeurs fondamentales qui font l’excellence de notre système de santé qui sont menacées, comme en témoigne la chute de la première à la 24ème place de la France au classement OMS des systèmes de santé en 15 ans.

 

C’est en unissant nos forces que nous pourrons mettre un terme aux dérives politiques. C’est en conjuguant les énergies des soignants des différentes professions et de différents secteurs d’exercice, ainsi que celle des patients, que nous pourrons proposer un système de santé alternatif pour demain, système que nous construirons guidés par la volonté de délivrer des soins de qualité, indépendamment de critères financiers, dans l’intérêt du patient, le respect des soignants et la reconnaissance de leur travail ».[3]

Cette déclaration qu’on peut lire aujourd’hui sur le site de l’UFML montre que rien n’a changé depuis la rédaction du manifeste si ce n’est dans l’aggravation continue du phénomène de destruction de notre système de santé tant public que privé.

 

Les tentatives de « diviser pour régner » que notre gouvernement n’a pas inventé, mais sait utiliser, marchent de moins en moins chez les soignants qui voient jour après jour leurs conditions de travail se détériorer dans toutes les corporations, de l’opticien au dentiste, à l’orthophoniste en passant par le généraliste, le pharmacien et le radiologue. Les citoyens qui avaient rêvé au tout gratuit voient leurs cotisations mutualistes s’envoler et leurs remboursements diminuer. Le trop facile « on vous l’avait bien dit » ne sert à rien, mais quand on entend sur les ondes un Patrick Pelloux (fidèle serviteur de M Touraine et ayant appelé à voter EM), oser enfin dire que les ARS et la ministre ne sont pas à l’écoute des urgentistes qui voient les malades mourir et les médecins démissionner, on peut penser qu’il se passe quelque chose au royaume de France… P Pelloux aura encore quelques temps la voix des médias avant d’être diabolisé … ou d’avoir un joli poste susceptible de le calmer… 

 

C’est pourquoi il nous a semblé logique de relancer cette pétition afin que les 1871 médecins et soignants qui l’ont signé ne l’aient pas fait pour rien. Nous espérons que si de nombreux soignants la signent maintenant et surtout informent leurs patients en affichant l’appel dans leurs cabinets, peut être la prise de conscience de nos concitoyens permettra celle de leurs élus et que cette petite graine germera pour faire avancer la nécessaire reconquête de la liberté de soigner. 
 

Trop de personnes encore (y compris dans le milieu médical) non confrontées de près à la maladie ignorent la chute dramatique des conditions de soin des patients et la perte de chances liées à l'abandon des traitements éprouvés et mis au point dans la deuxième partie du XX ième siècle, par exemple dans le domaine du cancer. Je rencontrai il y a quelques jours un spécialiste sérieux dans son domaine, qui néanmoins ignorait le monopole du traitement du cancer, et l’autorité des RCP réunions de concertation multidisciplinaires qui s’imposent au cancérologue qui ne veut pas d’ennui et au patient enrôlé dans le TGV du "protocole" sans consentement "éclairé" réel. Cela signifie qu’il faut continuer à informer encore et encore.[4] [5] 

 

 Voici donc l’appel à passer à tous, vos médecins, soignants de toutes spécialités, en espérant que de très nombreuses signatures nous permettent de le présenter aux élus et futurs candidats, afin que le système bureaucratique soit compris, dénoncé et supprimé. Nous sommes quasiment au fond de la piscine. Tapons un grand coup de pied pour remonter au niveau d'excellence de notre système de santé de la fin du XX ième siècle.

 

 

« APPEL DE LA PITIE DU 4 /4/ 14 à une Mission parlementaire pour la liberté de soigner.

Nous , médecins libéraux et hospitaliers tous grades et modes d’exercice confondus , cliniciens , généralistes, oncologues, psychiatres, chirurgiens, radiothérapeutes, biologistes, et toutes spécialités , pharmaciens, sage-femmes et soignants INDIGNES
Appelons à une mission parlementaire sur la mise en cause de la Liberté de soigner, seule garant du respect du serment d’Hippocrate, du code de Nuremberg, de la loi d’ Helsinki, et des droits constitutionnels fondamentaux de l’Etre Humain.

Ces garants des droits de l'homme nous paraissent gravement mis en cause par la mise sous tutelle bureaucratique des médecins et soignants dont les prescriptions et actes sont soumises à mille normes administratives et injonctions scientifiques élaborées sous le joug exclusif de la "médecine des preuves" dans laquelle la rédaction des protocoles est largement soumise à des conflits d'intérêt majeurs avec les lobbies pharmaceutiques,

Dont les déterminants sont uniquement les essais thérapeutiques le plus souvent randomisés et en général promus par l’industrie (propriétaire des résultats ) et ringardisant tous les données acquises de la science antérieures et / ou non basées sur des essais ouverts

La médecine dite des preuves privilégie outrageusement les méthodes chimiques de traitement et marginalise toutes les autres approches basées sur le patient singulier et non sur le collectif, transformant par exemple selon l’expression d’un médecin spécialiste d’un centre palliatif reconnu « notre médecine de la douleur en médecine de dealer ».

Depuis 1991 la bureaucratie détruit progressivement la médecine à travers des circulaires, décrets et lois successives et son achèvement avec la loi HPST de 2009 et des plans nationaux comme les plans cancer. Elle a mis en place des pouvoirs administratifs démesurés et antidémocratiques sans contrepouvoirs, trop souvent au service des lobbies politico médiatico- médico pharmaceutiques.

Les agences régionales de santé (ARS) dont les directeurs ont tout pouvoir autocratique de fermer des établissements et/ou des activités sans recours réel, et de licencier des médecins insoumis aux diktats représentent l’inquisition moderne à un prix de revient élevé de leur fonctionnement (2,5 milliards d’euros annuels).

La sécurité sociale, sous le joug du ministère de la sante est sommée d’appliquer les règles de remboursement des soins établis par sa tutelle ministérielle, de rembourser des médicaments inutiles et/ou dangereux ou expérimentaux (médicaments hors liste), et d’organiser le harcèlement des médecins libéraux par les contrôles, les limitations de leur droit de prescription et leurs soumissions obligées aux objectifs du ROSP[6]. Au lieu de boucher le « trou » le ministère le creuse en obligeant la sécurité sociale à financer des activités (telles que la recherche et la prévention) qui ne relèvent pas de sa mission première (rembourser les soins des malades).

Les déserts médicaux sont plus la conséquence de la désespérance des médecins et soignants comme en témoigne le nombre croissant de suicides de médecins que de leur nombre. Ce dernier est encore relativement suffisant mais les médecins français sont poussés par les persécutions bureaucratiques à préférer des postes non soignants[7] à l’exercice au chevet des malades et les médecins étrangers commencent à fuir la France comme le font de plus en plus les médecins français dans ces conditions peu rémunératrices d’exercice liberticide.
Le code de déontologie impose au médecin de travailler en toute indépendance professionnelle. Ce devoir est devenu impossible à respecter vu les injonctions de prescription des traitements, de vaccins souvent discutables, de dépistages inutiles et les multiples comités en milieu hospitalier avec des « protocoles » de prise en charge (contre les infections, contre la douleur, les check listes d’anesthésie etc.) et les injonctions de la sécurité sociale pour les libéraux. La soumission aux objectifs du ROSP constitue d’ailleurs un exemple de tentative de corruption institutionnalisée puisque le médecin qui les atteindrait par son influence sur ses malades recevrait pour cela jusqu’à 9000 euros…

Rappelons que la loi dit que le patient reste libre du choix de son médecin et décide avec lui son traitement (code de santé publique).

Cela est déjà devenu impossible en cancérologie : les circuits fléchés par l’Institut national du cancer (INCa) conduisent à des réseaux fermés obligatoires, (eux-mêmes -sous contrôle des ARS et de la Haute autorité de santé) qui imposent des traitements standardisés , le plus souvent possible des essais thérapeutiques présentés comme des« protocoles » de soins alors qu’il s’agit souvent d’essai de phase 3 ou 4. Le libre consentement ne l’est plus puisque des parents qui refusent un essai se voient menacer du juge pour leur retirer la tutelle de leur enfant.
En médecine de ville la mise en place obligatoire des mutuelles qui obtiendront rapidement le droit à des remboursements différenciés selon des listes de praticiens agrées par l’organisme fait voler en éclat le concept même de libre choix du patient.

Il est temps d’avertir nos élus du danger qui menace notre système de santé dans lequel le rôle des professionnels reste majeur. Rien ne peut se faire sans eux. Les multiples tentatives administratives « d’organisation » en couches successives tant des hôpitaux que des maisons de santé, parcours de soins etc. sont à mille lieux de la Vraie vie et de la vraie médecine qui repose avant tout sur le dialogue singulier médecin-patient.
Toutes les démarches pour imposer une médecine collectiviste digne des dictatures socialistes des anciens pays de l’Est échoueront mais laisseront sur leur chemin chaotique trop de victimes innocentes.

Dans ce contexte se développe une politique de la peur qui tente de museler toute opposition à cette démarche technocratique dominante dont les effets destructeurs sont sous-estimés par les acteurs de santé et les équipes de soin. Nous nous devons de dénoncer cette situation et entrer en position de résistance face à une telle surdité des appareils et des élus.

Mmes Mrs les Députes les Sénateurs, écoutez les professionnels de terrain dévoués et honnêtes et loin des conflits d’intérêt et du pouvoir et sauvez notre liberté de soigner et de penser. Retrouvons ensemble la dignité de penser et sauvons notre démocratie tellement mise à mal avant qu’il ne soit trop tard ».


 SIGNONS LA PETITION SUR MESOPINIONS.COM en copiant le lien ci-dessous

 

 https://www.mesopinions.com/petition/social/manifeste-medecins-soignants-indignes-liberte-soigner/11848

 

 

[1] http://www.jeanyvesbilien.com/mes-films/colloque-liberte-de-soigner/&nbsp ; Colloque : Liberté de soigner

Aspects médicaux, philosophiques et juridiques, 4 Avril 2014 à l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière – Paris 

[2] Roland Gori pour les plus récents : un monde sans esprit, la fabrique des imposteurs , la dignité de penser, l’individu ingouvernable éditions aux liens qui libèrent . il est aussi l’initiateur de « l’appel des appels » en 2009.

 Et en 2005 la santé totalitaire essai sur la médicalisation de l’existence par R Gori et Marie-José Del Volgo, éditions Denoël

[3] « Forte de cette démarche originale, novatrice, dans la richesse de ces regards croisés et de ces expériences entremêlées, l’UFML vit, grandit, travaille pour proposer cette alternative à l’effondrement programmé et constaté du système de santé. Plutôt qu’un système aux mains des politique, des technocrates, des grands groupes mutualistes ainsi que de leurs réseaux, l’UFML veut faire émerger une démocratie sanitaire réelle, une gouvernance respectueuse de tous les acteurs concernés au service de la santé de tous. L’UFML-Syndicat est son organe dédié à la défense des conditions d’exercice des médecins ». 

[4] Signalons que la RCP n’était pas prévue initialement comme un enregistrement bureaucratique, mais une décision commune entre cancérologue, chirurgiens et radiologues (plus anatomopathologiste si possible). En aucun cas, une RCP entre médecins n’est légale sans présence et avis du chirurgien (au moins un de la spécialité concernée, thoracique pour cancer pulmonaire etc. Trop de patients perdent des chances de guérison car ils ont été déclarés « inopérables » par des médecins sans avis chirurgical.[4] Il y a beaucoup de vies à sauver en réclamant de rencontrer directement le chirurgien. Beaucoup plus que par le 80 KM /H que la dictature actuelle qui ne sévit pas qu’en santé ! 

[5] Voir cancer les bonnes questions à poser à votre médecin, n et g delepine éditions Michalon

[6] ROSP = La Rémunération sur Objectifs de Santé Publique (ROSP) améliore t’elle la prise en charge des patients ?Si l’on reprend l’historique de la ROSP réalisé par notre confrère, le Dr Brice Duraffourg, et publié sur le site de l’UFML lors des dernières négociations conventionnelles , Le paiement à la performance (ROSP) : le miroir aux alouettes., on constate au début une opposition des syndicats et de l’Ordre de Médecins à ce système de paiement à la performance menaçant l’indépendance nécessaire à l’ accomplissement de la mission du médecin et mentionnée dans le Serment d’Hippocrate. Opposition syndicale qui fit long feu. https://www.ufml-syndicat.org/rosp-croit-pere-noel/

[7] Comme salariés des laboratoires pharmaceutiques, fonctionnaire en santé publique, experts d’assurance ou salariés des multiples agencessanitaires

 

JPEG JPEG Manifestation UFML 


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41 réactions à cet article    


  • alberto alberto 18 mars 2018 14:25

    Oui, il y a qqs temps, j’avais mis ça sur FaceBook :

    Coup(s) de Gueule !
    Ce matin, j’entends à la radio, confirmée ensuite par les chaines TV cette information selon laquelle il n’y aurait en France que 1200 gynécos pour le suivi potentiel de 20 millions de femmes !!! Alors, après les scandales récurrents liés au domaine de la santé (médocs-vaccins-fric, opérations inutiles, soins dentaires surfacturés, bonus éhontés sur les trucs médicaux ou paras (cf : lunettes) fabriqués à bas coût en asie et revendu 30 fois le prix et (mal) remboursés par la Sécu...) Ajouter à cela le bordel dans l’organisation des hôpitaux et maisons de santé tel que les infirmières sont de plus en plus nombreuses à se suicider, voir des médecins, sans parler des "burn-out’...Alors, vous ne trouvez pas qu’il y qqchose qui ne tourne pas rond dans la tête de ceux qui ont en charge le « management » de ce bordel ? Personne pour crier : "Stop, on déconne, on arrête tout !" ? Ajouter à cela le maintient du fameux (fumeux ?) « numérus clausus » dont la seule utilité et d’entretenir la pénurie de praticiens qui entraine une désertification des zones avec des délais de rendez-vous qui s’allongent suffisamment pour que le patient demandeur ait le temps de trépasser avant de se rendre chez son docteur... !!!Vous n’en avez pas marre des inconséquences de mecs payés avec des salaires de hauts fonctionnaires sensés travailler pour le bien public et foutre un bordel pareil dans un secteur aussi sensible que celui de la santé ?


    • colibri 18 mars 2018 16:28

      @alberto


      Ce « bordel » est le résultat de décennies de marchandisation de la santé , qui devient un bien de consommation .
      De plus la France est pauvre . Ou voulez vous trouver l’argent ? 

      C’était mieux avant ?
      Avant , il y avait moins de normes (moins de frais ) et pas plus de problème 
      des sœurs infirmières qui ne comptaient pas leur heures ,
       des petites structures à gestion familiale 
      les gens payaient directement 
       moins de consultation pour un bobo , et rarement aux urgences ,  
      La plupart des femmes n’avaient jamais vu un gynéco et ne s’en portaient pas plus mal ;on s’occupaient de ses vieux parents , pas besoin que l’état finance des EHPAD.
      Maintenant les médecins sont moins considérés , gagnent proportionnellement 5 fois moins qu’il y a 40 ans , pourquoi voulez vous qu’ils sacrifient leur vie de famille pour des « clients » qui « ont droit » , les considèrent comme corvéables à merci et ne sont même pas reconnaissants ? pareil pour les infirmières et autres soignants ...
      De plus ils travaillent la peur au ventre d’être attaqué , les patients sont donc bien moins soigné , le professionnel de santé effectue des actes codifiés ou il aura le moins de risque d’être mis en cause :le protocole même si celui ci ne sert à rien.

      Les gens vont chez le médecins pour un bobo , c’est bien rare si d’onéreux examens ne montrent pas une petite faiblesse , ils repartent alors avec une ordonnance qu’ils vont renouveler tous les 3 mois ....pour rien .

      Alors comment fait on pour retourner avant ?







    • Et hop ! Et hop ! 18 mars 2018 21:52

      @alberto : 


      Normal, les médecins et les infirmières coûtent beaucoup trop chers, c’est eux qui mettent en déficit la sécurité sociale, par contre l’effectif des directeurs, sous-directeurs, conseillers, inspecteurs, contrôleurs, observateur, vérificateurs, et autres personnel administratif doit être renforcé pour mieux gérer la baisse du déficit et diminuer les actes médicaux. Il y a plus d’élèves dans les écoles de directeurs et d’agents administratifs de la santé, que d’étudiants en médecine.

    • zygzornifle zygzornifle 18 mars 2018 14:34

      Avec un hypocrite et sa bande au gouvernement les jours sont comptés pour le serment d’Hippocrate.....


      • foufouille foufouille 18 mars 2018 14:55

        « la médecine libérale et Roland Gori professeur émérite psychanalyste » ben c’est ça ton libéralisme.

        il ne faut pas s’inquiéter, les machins magiques qui soignent tout sans preuve seront certainement bientôt en vente libre.


        • colibri 18 mars 2018 15:20
          @foufouille
          les indications en phyto par ex sont posées par l’utilisation dans le passé mais aussi par des analyses labos :le griffonia par ex contient une molécule précurseur de la sérotonine , 

          Et puis il y aura toujours moins d’effets secondaires nocifs que pour les médicaments de synthèse ou il y a des « preuves »

        • foufouille foufouille 18 mars 2018 16:12

          @colibri

          même avec des plantes, tu as des effets secondaires. celles avec des preuves et pas ton perlimpinpin.


        •  C BARRATIER C BARRATIER 18 mars 2018 18:57

          Le serment d’Hyppocrate est loin, Admis en urgence à la clinique du val d’Ouest (69), la première chose qui m’a été demandée a été mon carnet de chèques...que je n’avais pas pris, je n’avais pensé qu’à ma carte vitale....L’ambulance m’a ramené à la maison immédiatement à ma demande, on m’offrait finalement une place pour la nuit. Refusée car j’étais outré.
          Les dépassements d’honoraires sont légion et se développent, voilà pourquoi je vais systématiquement à l’hôpital public bien que mon médecin traitant m’adresse systématiquement à des dépasseurs d’honoraires (il y a de l’attente mais je vais à l’hopital public en consultation auprès d’un médecin fonctionnaire. D’une manière générale l’hôpital public de Villefranche sur Saône me donne totale satisfaction sauf dans un cas, pour un lymphome de mon épouse il n’ya avait qu’un dépasseur d’honoraire qui avait par ailleurs tres mauvaise réputation quant à ses diabnostics. J’ai conduit mon épouse à l’hôpital Lyon SUD ..remarquablement bien.
          Heureusement il reste la liberté du patient ! car celle du médecin c’est la liberté du loup dans la bergerie. je ne suis aps du genre à ma laisser tondre en bêlant...on ne me tond jamais.

          Les médecins sont inaptes à diriger les hôpitaux, vouloir cette direction touche à la prise personnelle d’intérêt. Ils sont aptes à soigner, et encore pas tous. Les directeurs d’hôpitaus sont des gens formés à la direction, il ne se prétendent pas médecins. Ils dirigent tous les types de personnels, et il y en a !

          Hôpital:calomnies des cliniques privées pour le déposséder

          http://chessy2008.free.fr/news/news.php?id=43

          • doctorix, complotiste doctorix 18 mars 2018 19:34

            @C BARRATIER
            Heureusement il reste la liberté du patient !

            Ca, c’était avant.
            En ce qui concerne le cancer, vous n’avez le choix qu’entre accepter les protocoles expérimentaux ultra-coûteux (plus de mille euros par jour) qui ne sont que des essais de phase 3 ou 4, faisant des patients des cobayes, ou refuser tout traitement.
            Pour le reste de la liberté du patient, Mme Buzyn s’en occupe.
            Quant aux ROSP institués par son prédécesseur, ce n’est ni plus ni moins que de la corruption. Cette corruption inonde d’argent les médecins dociles et peu scrupuleux, pénalisant du même coup les médecins honnêtes qui la refusent.

          • Et hop ! Et hop ! 18 mars 2018 22:00

            @C BARRATIER : «  Les médecins sont inaptes à diriger les hôpitaux »


            C’est justement depuis que les médecins ne sont plus chefs des services hospitaliers, avec une administration qui était à leur service comme l’intendance dans l’armée, que les hôpitaux publics français qui étaient les meilleurs du monde se sont effondrés en faisant exploser les coûts et leur inefficacité. Ca date d’il y a une vingtaine d’année, une école de directeurs administratifs a été créées pour former des espèces d’énarques hospitaliers qui ont pris la place des médecins chefs de services pour mettre en place les méthode du management et du contrôle de gestion, avec tableaux de bords,statistiques, rapports, objectifs, et tout un personnel administratif attaché.


          • chantecler chantecler 19 mars 2018 09:20

            « @Et hop !
            Vous avez raison .
             »Hôpital public« 
             »Public« est un gros mot pour nos néolibéraux.
             »Hôpital« qui vient d’hospitalier c’est pareil : faut que la santé ça rapporte et tant pis si les gens modestes n’y auront plus accès .
            Vive les cliniques et les consortium les regroupant .
            Faut tout privatiser : les structures , la SS, les mutuelles ...
            Par ailleurs encore une institution où le personnel de terrain, soignant,se doit d’être maltraité au profit des »gestionnaires" qui se fichent par ailleurs de passer au privé .


          • Trelawney 19 mars 2018 10:41

            @C BARRATIER
            Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me le demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.


            Il n’est pas dit qu’il le ferra gratos

          • roby roby 18 mars 2018 19:04

            Au moment où la Commission à l’Environnement, la Santé publique et la Sécurité alimentaire du Parlement européen s’apprête à soumettre au vote une résolution sur « les réticences à la vaccination et la baisse du taux de vaccination en Europe », un pavé tombe dans la mare des certitudes vaccinolâtres.

             

            Ce pavé, c’est le rapport officiel d’une Commission d’enquête parlementaire italienne rendu public le 7 février 2018.

            L’objet du rapport : comprendre les raisons de milliers de décès et de maladies graves chez les personnels militaires italiens affectés à des missions à l’étranger.


            • doctorix, complotiste doctorix 18 mars 2018 19:19

              @roby
              Autant le citer : Initiative Citoyenne fait ça très bien :

              Jusqu’ici, on a réussi à camoufler les dizaines de milliers de victimes d’effets indésirables des vaccins, qui font que leur rapport bénéfice risque est largement inférieur à un (avec possiblement un numérateur proche ou égal à zéro et un dénominateur maximal).
              Le temps vient où ils vont enfin être révélés au public.
              Une grande honte ne va pas tarder à s’abattre sur la profession médicale et sur les autorités de santé.
              La révélation du scandale vaccinal sera un véritable cataclysme mondial.

            • njama njama 19 mars 2018 10:46

              @doctorix
              bonjour 
              Ah ! le rapport parlementaire italien ... espérons qu’il fera un buzz, sinon rien de nouveau sous le soleil, car en matière de vaccination les militaires ont toujours servi de cobayes depuis au moins le début du XX° siècle, échantillons de population dociles par obéissance, des lois opportunes ajoutant à la coercition vaccinale de masse 

              « … les toubibs, à Belrupt, vaccinent le 3e bataillon contre la fièvre typhoïde. Dans deux jours ce sera notre tour.
              Les hommes ne parlent que de cette perspective. Diable ! il paraît que ça rend très malade, ce vaccin anti… prononceront-ils jamais pareil mot ? ce vaccin antityphoïdique
              « - Attends pour voir, mon mignon… Quante t’auras leur seringue dans la chair…
              - Oh ! fait Troublat impressionné. Leur seringue, sans blague…
              - Oui, leur seringue. I’s t’l’enfoncent au milieu du dos ; i’st’ jettent des saloperies dans l’sang. Et tu enfles ; et tu t’engourdis ; et y’a des bon’hommes qu’en clabotent.
              - Vingt-dieux ! dit le rouquin. Mourir comme ça…  »

              Nous sommes en février 1915 aux Eparges (106e RI)...

              extrait du livre de Maurice Genevoix qui montre les réticences des poilus à l’égard de cette vaccination. Il en était de même du commandement et de certains médecins qui avaient multiplié les contre indications...


            • njama njama 19 mars 2018 10:46

              Peu avant la Première Guerre mondiale, une loi du 28 mars 1914 impose la vaccination T.A.B. (vaccination contre la typhoïde et les paratyphoïdes A et B) ; ce vaccin avait été mis au point en 1896 par Almroth Wright en Angleterre et en 1909 par André Chantemesse et Hyacinthe Vincent en France. Alexandre Besredka proposera une vaccinothérapie.

              https://fr.wikipedia.org/wiki/Fi%C3%A8vre_typho%C3%AFde#Vaccination

              Une vaccination de masse dans des conditions expérimentales

              Le tournant vaccinal se traduit institutionnellement par la création, en 1910, par le ministère de la Guerre, du Laboratoire de vaccination antityphoïdique du Val de Grâce, à la tête duquel est placé le médecin militaire Hyacinthe Vincent missionné pour conduire des essais d’inoculation sur les troupes d’Afrique du Nord, à partir de candidats vaccins non encore stabilisés. À la suite de ces expérimentations à grande échelle menées de 1911 à 1913, la loi Labbé du 28 mars 1914 rend obligatoire dans toute l’armée française la vaccination antityphoïdique.

              Source : À corps défendant : vacciner les troupes contre la typhoïde pendant la grande guerre
              par Anne Rasmussen

              ANNE RASMUSSEN est historienne, maître de conférences à l’université Louis Pasteur de Strasbourg, membre de l’Institut de recherches interdisciplinaires sur les sciences et la technologie (EA 3424). Ses recherches portent sur l’histoire sociale et culturelle de la médecine et de la santé, en particulier sur les relations entre sciences médicales, culture et guerre.

              https://www.cairn.info/revue-corps-dilecta-2008-2-page-41.htm


            • njama njama 19 mars 2018 10:49

               « Horrors of vaccinations exposed and illustrated » Ch. M Higgins, Brooklyn, N.Y. 1920

              en PDF ici : https://vactruth.com/download/vaccination_exposed.pdf

              Livre qui nous indique que la vaccination faisait plus de morts que la maladie elle-même !!! et que la coercition vaccinale au mépris des droits fondamentaux de l’être humain était déjà à l’œuvre au temps de ces expérimentations empiriques de la fin du XIX° siècle.

              Extraits Page 12 et 13 (page 40 et 41 dans le PDF)

              « Le New York Times du 2 mai 1918 titrait : « Refus de vaccination : 15 ans de prison ! »

               « Camp Dodge, Iowa, 1er mai – Elmer N.Olson, of Goodrich, Minn., un soldat à l’entraînement à cet endroit, a refusé de se soumettre à la vaccination. Il fut traîné en cour martiale et condamné à une peine de 15 ans d’emprisonnement au camp disciplinaire de Fort Leavenworth.

               Le cas de ce soldat-là n’est pas une exception au regard des nombreux cas similaires qui ont été relatés dans la presse depuis ces deux dernières années, démontrant ainsi que c’était une pratique habituelle dans l’armée que de traîner les soldats en cour martiale s’ils refusaient  d’être vaccinés sans leur consentement libre et éclairé. Pour avoir refusé de se faire vacciner, ces soldats ont également perdu le droit aux honneurs militaires et ont été condamnés à un emprisonnement de longue durée qui n’est normalement le lot que des dangereux criminels soumis à la loi pénale. Cette punition d’une telle ampleur a donc été infligée pour le seul « tort » d’avoir refusé la vaccination ! Il s’agit fort probablement d’un moyen d’impressionner les autres soldats et donc de « faire un exemple » et de créer un précédent afin qu’un maximum d’autres soldats acceptent le vaccination sans discuter. Rien d’étonnant donc à ce que les autres cas de refus furent à chaque fois assortis d’une telle condamnation.

               L’auteur de ce livre s’est informé auprès de l’avocat général qui, dans une lettre datée du 14 janvier 1919, ne fait état que d’un seul cas jugé en cours martiale entre 1917 et 1918 (étrangement, alors que la presse a parlé de bien d’autres cas…) pour refus de vaccination ce qui était une violation de l’article 96 de la loi de la Guerre et qu’en conséquence, le cas en question a été condamné à 25 ans de travaux forcés. »


            • njama njama 19 mars 2018 10:54

              @doctorix

              Espérons que ces quelques témoignages historiques ébranleront un peu les bigotes certitudes de Madame Buzyn sur le dogme pasteurien et l’innocuité (supposée) des vaccins, ainsi que celles des messieurs Lévy (son mari directeur de l’INSERM), et Fischer qui a des liens d’intérêts avec SANOFI

              Les vaccins tuent parfois, aussi ...


            • njama njama 19 mars 2018 11:20

              @roby

              Ce sera peut-être comme avec le nuage de Tchernobyl, les italiens ne sont pas du même côté des Alpes ... smiley
              Je crois que ce Rapport officiel d’une Commission d’enquête parlementaire italienne rendu public le 7 février 2018, objet du rapport : comprendre les raisons de milliers de décès et de maladies graves chez les personnels militaires italiens affectés à des missions à l’étranger est dans la suite des TRAVAUX DES DOCTEURS GATTI ET MONTANARI qui mettent en cause l’inocuité des nano-particules  dont certaines sont contenues dans les vaccins.

              Description de leurs travaux et de leur thèse :
              LE SOI-DISANT « SYNDROME DES BALKANS » : UNE APPROCHE BIOLOGIQUE.
              Dr Antonietta M. Gatti - Dr Stefano Montanari

              C’ est un fait connu, rapporté largement par des médias, qu’un nombre non - négligeable de vétérans de la Guerre du Golfe (1990 - 91) montre des symptômes mutuellement non apparentés. Certains d’ entre eux peuvent être : de violents maux de tête, par exemple, ou des troubles du sommeil ou des troubles du comportement, de l’ étourderie, une perte de concentration. D’ autres symptômes rapportés comme la fatigue chronique, les douleurs musculaires ou articulaires, et la perte de capacité respiratoire sont relativement plus difficiles à classer, mais aussi les cancers, divers et, dans certains cas, des maladies extrêmement inhabituelles du système reproducteur, avec une augmentation de malformations congénitales parmi des enfants de vétérans et ainsi que des anomalies sanguines ou des lymphomes sont manifestement dus à des causes n’ ayant aucun rapport avec le stress. D’ autres vétérans de la guerre du Golfe souffrent de pathologies, comme la mort soudaine ou la maladie de Lou Gehrig ( =Sclérose Latérale Amyotrophique), maladies très significatives. Mais le problème est malencontreusement plus large et non limité à ce groupe de population militaire.

              Les symptômes très similaires sont décrits par des soldats qui ont servi dans les Balkans pendant les conflits de Bosnie, Serbie ou Kosovo, mais avec une incidence exceptionnellement haute de lymphomes d’ Hodgkin ou non – Hodgkiniens. Des personnels de missions humanitaires et la population locale souffrent également des mêmes maladies.
              [........]
              Ainsi, aucune réponse n’était donnée à la question : pourquoi est-ce que les gens vivant dans des théâtres de guerre et les soldats travaillant dans des conditions particulières contractent ces maladies avec une fréquence aussi alarmante ?

              Notre Laboratoire de Biomaterials de L’université de Modena et Reggio Emilia (Italie) s’ est engagé en vérifiant par la bioptique et l’ autoptique des échantillons venant de patients appartenant aux groupes décrits ci-dessus. Il est un fait incontestable que tous les échantillons contiennent des micro et nano particules inorganiques, tandis qu’il peut être intéressant à observer qu’ aucun d’eux montre de trace d’uranium.

              Du point de vue technique, ces très petits fragments peuvent être analysés en utilisant une technique innovatrice de microscopie électronique que nous développons et qui a été décrite déjà dans la littérature scientifique. Ce que nous trouvions c’ était, en très petites quantités, agglomérés parfois, des métaux combinés ou simples comme : Fe-Si, Cu-Cl-Zn, Si-Ti-Fe-Al, Si-Bi, Si - Pb, Fe-Cu-Zn, Cr-Fe-Ni, Fe-Mn et, mais juste une fois que, du Zr seul.
              [.........]
               Les gens présents dans les théâtres de guerre, et étant soldat ou civils indifféremment, respirent les micro et nano - particules tandis qu’elles sont suspendues dans l’air comme un aérosol, mangent et boivent des légumes et de l’eau contaminés.

              Nous avons amplement démontré avec nos recherches qu’une fois que ces particules de taille évaluée à : 10-9 à 10-5 m, entrent dans le corps, soit par l’ appareil digestif ou le système respiratoire, elles peuvent aisément franchir les tissus protecteurs ou même être capturées par les tissus eux-mêmes et être transportées par le sang ou la lymphe jusqu’à ce qu’ elles finissent leur le voyage dans un certain organe (par exemple les reins et le foie) ou les ganglions lymphatiques, par exemple, qui sont les organes où les lymphomes commencent et se développent. Dans tous cas pathologiques vérifiés, nous trouvions la présence de particules inorganiques. Mais encore dans tout autres spécimens pathologiques, nous avons eu la possibilité d’ observer cela clairement et sans aucune exception la présence de ces particules. 

              Il est important de souligner qu’aucune des particules trouvées est biodégradable.

              Il est juste de confirmer l’ applicabilité de la théorie selon laquelle le « soi-disant Syndrome Balkanique » a une origine écologique et nanopathologique. Les particules trouvées dans les tissus malades de soldats et civils, et les particules trouvées dans le sol des territoires où les pathologies étaient contractées sont mutuellement compatibles.

              Si aucun uranium n’était jamais détecté, cela ne signifie pas nécessairement qu’ il n’y en a aucune trace quelque part dans les tissus des patients. Le fait est vraisemblablement dû à sa quantité qui est extrêmement rare comparée aux masses énormes des cibles. Il est aussi possible que ces particules d’uranium aient été capturées par des tissus mais, probablement parce qu’ils n’atteignaient pas un seuil critique, ne déclenchant pas de maladie et, par conséquent, nous n’avions pas la chance de recevoir et d’étudier les échantillons.

              En conclusion, la responsabilité de l’ Uranium Appauvri est seulement indirecte, et ce n’est pas sa radioactivité qui est à blâmer, mais la température très haute de ces produits d’uranium une fois que les munitions dans lesquelles ils sont contenus frappent la cible.

              Il est alors possible que le « Syndrome Balkanique » ait une origine multi – factorielle, incluant radioactivité et vaccinations, mais la cause principale est sans tout doute nanopathologique.

              http://loulou.chars.chez-alice.fr/gatti.htm


            • njama njama 19 mars 2018 11:23

              L’étude * réalisée par les docteurs Antonietta M Gatti et Stefano Montanari pour le Conseil National de Recherche d’Italie révélait de façon inattendue des nano-particules de différents métaux que l’on peut bien ce demander ce qu’ils font dans les vaccins !? La conclusion apporte une hypothèse
              Conclusion (traduction perso)
              Les analyses effectuées montrent que dans tous les échantillons contrôlés les vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants qui ne sont pas déclarés par les producteurs, contre lesquels le corps réagit dans tous les cas. Cette nouvelle enquête représente un nouveau contrôle de qualité qui peut être adopté pour évaluer la sécurité d’un vaccin. Notre hypothèse est que cette contamination n’est pas intentionnelle, car elle est probablement due à des composants ou des procédures polluées de procédés industriels (par exemple des filtrations) utilisés pour produire des vaccins, non étudiés et non détectés par les producteurs. Si notre hypothèse est réellement le cas, une inspection minutieuse des lieux de travail et la pleine connaissance de l’ensemble de la procédure de préparation du vaccin permettraient probablement d’éliminer le problème.
              * New Quality-Control Investigations on Vaccines : Micro-and Nanocontamination International Journal of Vaccines and Vaccination http://medcraveonline.com/IJVV/IJVV-04-00072.pdf

              Conclusion
              The analyses carried out show that in all samples checked vaccines contain non biocompatible and bio-persistent foreign bodies which are not declared by the Producers, against which the body reacts in any case. This new investigation represents a new quality control that can be adopted to assess the safety of a vaccine. Our hypothesis is that this contamination is unintentional, since it is probably due to polluted components or procedures of industrial processes (e.g. filtrations) used to produce vaccines, not investigated and not detected by the Producers. If our hypothesis is actually the case, a close inspection of the working places and the full knowledge of the whole procedure of vaccine preparation would probably allow to eliminate the problem.




            • njama njama 19 mars 2018 11:27

              Antonietta Morena Gatti, est physicienne et bio-ingénieur, fondatrice et la directrice du Laboratoire de Biomaterials de L’université de Modena et de Reggio Emilia (Italie) . Elle recherche la présence de micro - et nano - particules dans des tissus biologiques et leurs effets pathologiques.

              D’autre part, et surtout pour ceux chercheraient à discréditer ses compétences, la Communauté Européenne l’ a nommée Coordonnatrice du groupe international en charge d’ une étude en nanopathologie.

              Stefano Montanari est un pharmacien et un conseiller scientifique. Il a collaboré avec le Dr Gatti pendant près de 25 ans.


            • Et hop ! Et hop ! 18 mars 2018 22:07

              Le serment d’Hippocrate est aboli, il interdisait de pratiquer un avortement, un euthanasie volontaire, de révéler des informations personnelles à l’État sauf pour les maladies contagieuses, il était résolument contre la vénalité et l’esprit de commerce, il obligeait à soigner gratuitement les indigents ou à leur faire crédit, et à faire payer un peu plus les gens riches.


              • HELIOS HELIOS 19 mars 2018 10:37

                ... vous venez tous de découvrir que c’est celui qui paye qui commande ... et le mot « solidarité » est sorti de votre vocabulaire, sauf lorsqu’il s’agit de renflouer les banques !


                Bienvenue en Macronie... ne vous plaignez pas (encore) il vous reste 4 ans de bonheur, a 80 km/h sur la route.

                • air pur air pur 19 mars 2018 11:14

                  Il n’y a plus de médecins en zone rurale, à la sortie des études il faut les obliger à pourvoir ces postes deux ou trois ans c’est simple. Comme il n’y a plus de médecins et qu’ils ne veulent plus se déplacer, quand je lui ai posé la question le mien m’a répondu « même pas en rêve » les malades vont aux urgences qui sont soit fermées la nuit (Clamecy), soit tellement surchargées que les hopitaux demandent aux patients de ne plus venir (Bourges). Lorsque l’on aura résolu ce problème les choses auront avancé d’un grand pas.


                  • njama njama 19 mars 2018 12:55

                    @air pur

                     A force d’avoir fermé des hôpitaux, la surfréquentation des services d’urgence de ceux qui restent n’est qu’affaire de mathématiques ...

                    Quant à contraindre de jeunes diplômés en médecine d’aller en zone rurale, vous rêvez des genoux. La solution peut-être envisageable dans votre cas de figure serait d’en recruter un certain nombre en début d’études de médecine, de les payer pendant leurs études, ainsi que cela se passe pour les aspirants médecins militaires ... ce qui revient à créer un corps de fonctionnaires d’État.


                  • air pur air pur 20 mars 2018 08:33

                    @njama
                    on a toujours considéré les médecins comme une caste à part, dès le début des études il suffirait de leur faire signer un document qui les obligent à la sortie de leurs études à aller dans les déserts médicaux un certain temps, ceux qui acceptent poursuivent leurs études financées par l’état, les autres vont dans le privé et financent leur cursus. C’est choquant ?


                  • njama njama 20 mars 2018 10:09

                    @air pur
                    leur faire signer un document qui les obligent à la sortie de leurs études à aller dans les déserts médicaux un certain temps,

                    c’est irréaliste votre histoire d’envoyer TOUS les jeunes diplômés en milieu rural ... sachant que la plupart remplacent des départs en retraite

                    leurs études financées par l’état,...
                    c’est la règle générale dans toutes les universités publiques, grand principe républicain il me semble, grandes écoles d’ingénieurs comprises.
                    Pourquoi une telle discrimination pour les études de médecine ?
                    Votre projet ferait fuir les vocations, études déjà très longues, auxquelles vous ajouteriez une servitude très complexe à gérer d’ailleurs, et très coûteuse certainement.

                    Comme beaucoup de petites structures hospitalières ont disparu des écrans radar ces deux, trois dernières décennies, c’est la logistique qu’il faut développer, dans les deux sens, ambulances, taxis, et unités mobiles de consultations, web consultations ...


                  • titi titi 19 mars 2018 16:04
                    « Quant à contraindre de jeunes diplômés en médecine d’aller en zone rurale, vous rêvez des genoux. »
                    C’est pourtant simple.
                    Tous les médecins de France ont un seul client : la sécu.

                    Si la sécu voulait elle pourrait. Il suffit de « dérembourser » les médecins qui ne suivent pas ses instructions.


                    • njama njama 20 mars 2018 10:12

                      @titi
                      Je sais c’est triste pour le milieu rural, ils ont perdu leurs curés, leurs écoles, et voilà qu’ils perdent petit à petit leurs médecins !

                      Tout fout le camp ... pour des raisons politico-économiques globales et vous voudriez prendre les jeunes diplômés en otages ! 


                    • njama njama 20 mars 2018 10:31

                      @titi et @air pur

                      Je suggère que l’on vaccine beaucoup moins >> combien de consultations par an  ? 800.000 nourrissons avec la nouvelle loi Buzyn, plus probablement quelques millions de rappels ou autres injections vaccinales pour satisfaire au calendrier.

                      La vaccination de masse est inutile (suivant Rapport de l’OMS 1979 mais pas que ... *) et débile au principe, ça fait perdre du temps aux médecins d’occuper leur temps avec des patients en bonne santé, tout en leur remplissant les poches sur le compte de la sécu, c’est à dire celui des français, pas celui de l’État.

                      * ainsi que le prétend la doxa « santé publique » du moment, s’il faut atteindre un certain taux de couverture vaccinnale pour éradiquer une maladie, la vaccination a clairement atteint ses objectifs concernant un certain nombre de celles-ci, diphtérie, tétanos (qui ne touche par an qu’une demi poignée de vieux de plus de 75 ans que l’on supposera vaccinés par le passé), poliomyélite disparue de la planète sauf quelques rares cas de virus vaccinaux en Pakistan et Afghanistan. On peut supprimer aussi les vaccins hépatite B transmis essentiellement par transfusions sanguines (affaire du sang contaminé) et voies sexuelles dans les milieux à risque. On peut supprimer le vaccin oreillons pour les filles ... et le Gardasil qui est loin d’être sans danger.


                    • Lanla 19 mars 2018 17:52

                      @Titi
                      les médecins perdent leur sens clinique, parfois même leur éthique à force de passer sous les fourches caudines du formatage que représentent l’administratif, les protocoles, etc...
                      Continuez à leur mettre des contraintes, vous verrez ce qu’il vous reste : des ombres. Ne restera plus qu’à les remplacer par des robots...c’est fiable, protocolisé, pas de risque de procès, le discours idéal en cas d’infarctus, de dépression avec les grilles d’évaluation qui vont avec, etc...pendant ce temps, l’espérance de vie diminue en Europe... vive le progrès !


                      • titi titi 20 mars 2018 12:14
                        @Lanla

                        Les médecins réclame plus de « libéral » lorsqu’il s’agit de définir le prix de la consultation.
                        Mais c’est la sécu qui paie leur assistante, leur informatique (pour la carte vitale), et assure la solvabilité des leurs patients. Et dans certains cas c’est la mairie qui paie leur loyer.

                        Liberté des tarifs ? Allons y ! Mais que le sécu ne rembourse plus, ne participe plus. Un vrai système libéral, avec, pourquoi pas, un « trop advisor » des médecins : celui-ci ne prend jamais à l’heure... celui-là a la main leste sur les prescriptions... un autre fait faire des km en VSL pour alimenter la clinique de sa femme....

                        Ca aurait de la gueule...




                      • hervepasgrave hervepasgrave 20 mars 2018 06:10

                        Bonjour,
                        Que c’est beau de défendre soit disant la santé,c’est charitable ! Tout le monde constate pourtant la même chose au quotidien.Vous avez dit ,le serment de d’hippo quoi ,d’Hypocrite !« D’un côté cette poussée de privatisation et de libéralisme forcené qui est destructrice de la bonne santé et non le contraire.Des preuves ! Il suffit de regarder nos praticiens qui ne travaillent qu’en flux tendu.Pas de creux , une minute sans profit ?, »vous êtes fous ou quoi !" Il manque des médecins ?A mon avis ce n’est pas cela.Il n’y a pas de place pour eux dans ce flot tendu.Cela risquerait de déséquilibrer les finances.Et de l’autre des médecins qui fonctionnent a la mendicité chaque actes est rétribué par de petites primes ,alors la santé la dedans,dites moi ? Cestpasgrave ! Il faut bien faire des choix.Alors de qu’elle santé parlez vous ,celui du porte-monnaie ou de la santé humaine ?


                        • njama njama 20 mars 2018 14:51

                          L’article de N et G Delepine est plus que jamais d’actualités et tombe à pic pour alerter des dérives intégristes de la médecine puisque une petite « ligue » (fronde ?) de 120 médecins réclament pas moins que les autorités sanitaires (politiques) et le conseil de l’ordre mettent fin aux pratiques alternatives pourtant reconnues par les facultés de médecine

                          Cent vingt médecins appellent à mettre fin aux « médecines alternatives »
                          19 mars 2018
                          Paris, le lundi 19 mars 2018 – L’appel a été lancé sur Twitter par un internaute utilisant le pseudonyme Asclépios. Derrière ce nom se cache un « cardiologue remplaçant » également auteur de vidéos sur l’histoire de la médecine diffusées sur You Tube comme l’indique sa présentation. La semaine dernière, le praticien a invité ceux qui le suivent à participer à la rédaction d’une tribune sur les médecines « alternatives ». Derrière ce terme, sont rangées diverses pratiques, dont l’homéopathie, qui ne s’appuieraient pas sur des données scientifiques fiables pour confirmer leur efficacité, voire même leur innocuité.
                          Une tribune au vitriol
                          Cent vingt-quatre professionnels de santé, principalement des médecins, ont rejoint l’initiateur de ce mouvement et un texte vient d’être publié par le Figaro. La tribune est sans concession et évite les formules neutres. Les signataires parlent en effet de « pseudo-médecines à l’efficacité non prouvée et aux promesses fantaisistes. Sous couvert d’une prétendue innocuité bien moins évidente qu’il n’y paraît et produisant un discours à la limite du complotisme, entretenant la confusion dans l’esprit du public entre médecine scientifique et croyances, ces disciplines à la tête desquelles trône l’homéopathie font du mal bien plus que du bien » expliquaient au site Décider et Entreprendre les auteurs du texte avant sa publication. Dans leur tribune, les auteurs qualifient encore ces pratiques et notamment l’homéopathie de « discipline ésotérique ». Les praticiens ne sont pas plus tendres avec leurs confrères qui promeuvent ces méthodes : « Il est facile et valorisant d’afficher son savoir. Il est bien plus difficile d’expliquer et d’accepter ses limites. La tentation peut alors être grande de pratiquer des soins sans aucun fondement scientifique. Cette tentation a toujours existé. Elle a été, et est toujours, nourrie par des charlatans en tout genre qui recherchent la caution morale du titre de médecin pour faire la promotion de fausses thérapies à l’efficacité illusoire » peut-on lire dans le Figaro.

                          Ne plus pouvoir se dire médecin quand on prescrit de l’homéopathie !
                          [...]
                          lire la suite :
                          https://www.jim.fr/medecin/e-docs/cent_vingt_medecins_appellent_a_mettre_fin_aux_medecines_alternat ives__170756/document_actu_pro.phtml


                          • njama njama 20 mars 2018 14:58

                            Le docteur Jérémy Descoux, cardiologue serait initiateur de cet appel qui accuse le Conseil de l’Ordre des médecins de complaisance envers les médecins « charlatans » ... bien que officiellement, il y a quatre médecines complémentaires reconnues par le Conseil de l’Ordre des médecins : l’homéopathie, l’acupuncture, la mésothérapie et l’ostéopathie.

                            suivant cet article de francetvinfo.fr du 19 mars 2018


                          • njama njama 20 mars 2018 15:50


                            Le jeune cardiologue Jérémy Descoux, alias Asclépios sur Youtube, (qui semble prendre la voie médiatique de Michel Cymes) souhaiterait que les résultats des pratiques homéopathiques ou d’acupuncture puissent être comparés à des résultats placebo ... question somme toute légitime quoiqu’il y aurait quelques difficultés méthodologiques.

                            On n’en attendrait pas moins des mêmes méthodes pour les mises sur le marché des vaccins ... ce qui n’a jamais été fait pour aucun !

                            Vaccins : le vrai scandale des faux placebos
                             S’il est bien un domaine où le recours à de véritables placebos devrait être systématique, c’est bien celui des vaccins. Car enfin, il s’agit là de médicaments prioritairement destinés à des personnes saines qui ont à priori plus à perdre qu’à gagner et pour qui le risque doit donc être particulièrement réduit.

                            Pourtant, il faut savoir que cela n’est jamais le cas. Jamais, pour aucun essai clinique destiné à évaluer la sécurité des vaccins, on ne compare des personnes vaccinées avec des personnes qui n’auraient reçu qu’une substance neutre !

                            lire l’article : http://initiativecitoyenne.be/article-vaccins-le-vrai-scandale-des-faux-placebos-97058382.html

                            TOUS les vaccins sont expérimentaux : voici pourquoi
                            14 juillet 2013
                            http://initiativecitoyenne.be/article-tous-les-vaccins-sont-experimentaux-voici-pourquoi-118489412.html

                            Vaccins : Laurette Onkelinx avoue le recours aux faux placebos
                            14 août 2012
                            La députée fédérale Ecolo Thérèse Snoy a adressé deux questions orales, le 21 juin dernier, à la Ministre de la Santé Laurette Onkelinx au sujet de la sécurité des vaccins.
                            ...
                             Laurette Onkelinx : « Pour évaluer la sécurité des vaccins, on les compare effectivement avec un autre vaccin, un vaccin dit référence. Ce choix de méthode est le résultat de débats, menés il y a quelques années, avec notamment les comités d’éthique. »

                            « Cette méthode permet d’évaluer la plus-value réelle du nouveau vaccin. En outre, dans certains cas -dans le cas de l’oncologie par exemple- on ne peut admettre de soumettre des individus à des placébos purs. »
                            ...
                            http://initiativecitoyenne.be/article-vaccins-laurette-onkelinx-avoue-le-recours-aux-faux-placebos-109096577.html


                          • njama njama 21 mars 2018 10:42

                            Le jeune cardiologue Jérémy Descoux, alias Asclépios sur Youtube ferait bien de prendre connaissance des recherches et travaux dans son domaine de spécialité concernant l’apport de ces médecines alternatives qu’il souhaiterait voir disparaître au lieu de s’en tenir aux seuls poncifs académiques...


                            • njama njama 21 mars 2018 10:48

                              CARDIOLOGIE ET ACUPUNCTURE
                              °
                              HYPOVASCULARISATION DES MEMBRES INFERIEURS

                              Gauthier. Revue Française d’Acupuncture. 1977 ;10:25-43.
                              Traitement par l’acupuncture de l’hypovascularisation des membres inférieurs
                              Par DR Ph. GAUTIER, Attaché de Consultation du Service de Soins Intensifs de Cardiologie de l’Hôpital de Bergerac

                              http://www.gera.fr/Downloads/Formation_Medicale/CARDIOLOGIE-ET-ACUPUNCTURE./gauthier-9939.pdf
                              Groupe d’Etude et de Recherches en Acupuncture
                              http://www.gera.fr/documents/hypovascularisation-membres-inferieurs
                              °
                              TROUBLES CIRCULATOIRES DES MEMBRES INFERIEURS
                              Minh L. Revue Française d’Acupuncture. 1985 ;44:35-41.
                              En fonction de la circulation de l’énergie et du sang dans les couches superficielles et profondes des membres inférieurs, l’auteur décrit les différentes pathologies observées en cas d’obstruction de cette circulation.
                              http://www.gera.fr/Downloads/Formation_Medicale/CARDIOLOGIE-ET-ACUPUNCTURE./minh-19103.pdf

                              http://www.gera.fr/documents/troubles-circulatoires-membres-inferieurs


                            • njama njama 21 mars 2018 10:56

                              Atténuer l’artérite avec l’homéopathie

                              Arsenicum Iodatum
                              ...
                              Indications en cardiologie

                              Arsenicum Iodatum est efficace contre les troubles du rythme cardiaque, les cardioscléroses, les artérioscléroses, la péricardite et les palpitations.
                              Il est surtout indiqué lorsque la maladie cardiaque est accompagnée de vives douleurs, de dégénérescence graisseuse, de constriction et d’anxiété.

                              Secale Cornutum est un remède homéopathique principalement élaboré pour le traitement des hémorragies veineuses dues à une vasoconstriction des artérioles.
                              ...
                              Angéiologie
                              Secale Cornutum est surtout utilisé pour traiter le syndrome de Raynaud. Cependant, il est également efficace pour soigner les troubles circulatoires au niveau des membres inférieurs provoquant des fourmillements, des crampes, des troubles de la sensibilité des jambes, des escarres voire des ulcères.

                              http://www.homéopathie.com/pathologies/arterite.html


                            • njama njama 21 mars 2018 11:04

                              ... d’autant plus que la médecine allopathique n’a pas grand chose à proposer aux patients concernant le traitement de l’athérosclérose, en dehors de prendre quotidiennement un peu d’aspirine et de prendre en « préventif » des statines dont l’efficacité est très controversée, sans parler de leurs nombreux effets secondaires qui rendent la balance bénéfices / risques assez défavorable sur leur usage.


                            • njama njama 21 mars 2018 11:10

                              La théorie du cholestérol détruite… par son meilleur médicament !
                              par La rédaction de l’AIMSIB | 25 Jan 2018

                              Les Anti-corps anti-CETP représentaient le Graal ultime que tous les lipidologues attachés à la « théorie du Cholestérol » attendaient avec fébrilité. Car ils effondrent vraiment et terriblement le « mauvais » LDL tout en propulsant le « bon » HDL vers des sommets, et résultat médical ? Retenez-vous de rire les Aimsibiens et bon visionnage…

                              https://aimsib.org/2018/01/25/theorie-cholesterol-detruite-meilleur-medicament/

                              L’AIMSIB répond au Pr Martine Gilard, Présidente de la Société Française de Cardiologie
                              par La rédaction de l’AIMSIB | 14 Mar 2018
                              Il faut se souvenir que l’AIMSIB est née en 2016 d’un rejet catégorique de la théorie du « cholestérol qui tue » et de ses différents traitements, tant de la part d’anciens patients intoxiqués que de prescripteurs médecins. Donc une prise de position officielle quasiment idolâtre de la part d’une cardiologue en vue a imposé de notre part cette courtoise mise au point…

                              Madame la Présidente et chère Collègue,
                              ...
                              lire l’article : https://aimsib.org/2018/03/14/laimsib-repond-au-pr-martine-gilard-presidente-de-la-societe-francaise-de-cardiologie/

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