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Accueil du site > Tribune Libre > Sonate d’automne, vocalises de BHL, déliaisons, ruptures

Sonate d’automne, vocalises de BHL, déliaisons, ruptures

A l’heure où j’écris ces lignes, la séparation du couple présidentiel n’est pas encore officielle. Mais le moins qu’on puisse dire est qu’il y a de la rupture dans l’air. Qui ne date pas d’hier. Une dissension qu’on ne jugera pas, cela ne nous regarde pas, excepté le signe des temps que cette rupture incarne. Notre époque est marquée par la dissension, les conflits et par un style, celui inauguré par Mai-68. La parole libérée. Exprimez-vous, dites-nous ce que vous avez dans la tête, sur le cœur. Les slogans de mai étaient pénétrés d’espérances et d’aspiration envers un autre monde. Les phrases et autres réactions en 2007 sont marquées par le désenchantement, les ressentiments, les mécontentements, les petites haines diffuses. Un autre monde est possible ! Ce slogan avait une pertinence après 1968 où une réelle ferveur animait le cœur d’une jeunesse en quête de changement social, une jeunesse aussi passionnée que les premiers chrétiens dans l’Empire. Mais maintenant, l’autre monde possible des altermondalistes ressemble à une formule écrite sur un missel anti-libéral récitée à l’occasion des forums sociaux. Triste à pleurer que d’entendre les militants de la LCR chanter L’Internationale en pointant le poing de gauche désabusé que par compassion on inventerait le viagra gauchiste pour lui redonner une érection.

Dissensions. Tensions. Ruptures, voulue par Sarkozy, mais aussi ruptures subies par la société qui se disloque, se dissocie, une dissociété comme le dit Jacques Généreux. Dislocation, séparation de lieux, mais aussi de classes, de revenus, les deux faisant l’objet d’une articulation ; un cliché, boboland pour gens friqués en centre-ville, beaufland pour travailleurs dans les banlieues.

Beaucoup d’errances, de séparations, de haines, de disputes, d’agressions physiques et surtout verbales, dans une société qui perd chaque année un peu de sa cohésion. Le temps des vocalises est arrivé et BHL qui avec quelques incantations... et c’est dégueu, et ces salopards... tente de conjurer les mauvaises odeurs émanées du frontisme, à l’instar du four à pyrolyse qui élimine les mauvaises graisses. Sarkozy aussi y était allé sans complexe dans les vocalises utilisant quelques mots corrosifs, kärcher et racaille. Ne parlons pas des forums et des blogs car le net est un lieu où l’homme a perdu sa courtoisie et ses réflexes de retenue, devenant à l’image du supporter, éructant ses aigreurs, bref, loin de cette société de cours qui selon Elias, marqua de son empreinte des siècles de civilisation française. Dans notre France de défiance, les gens ne se frappent que rarement, mais les mots cognent durement, les gens se délient, d’autres se lient, et la vie sociale se fait et se défait. Se fiance et se défiance.

A cette époque de désenchantement, les élans collectifs ou personnels semblent emprunter quelques voies déviantes. Dépressions, mais aussi pulsions, harcèlement moral, perversion narcissique dans les cas les plus lourds. En politique, le problème de la gauche est qu’elle ne se situe plus dans un horizon de projet, d’espoir, de vie joyeuse orchestrée en commun et partagée par tous. La gauche a perdu la foi, mais pas ses militants et notables pour qui le bien commun est secondaire par rapport au combat politique. Les militants de gauche veulent que leurs candidats arrivent au pouvoir non pas pour un progrès social, mais pour le plaisir de battre la droite. Ils veulent du combat, de la vengeance, laver l’affront de 2002 puis celui de 2007. Ils ont eu Alain Juppé aux législatives et rêvent de le déboulonner du palais Rohan en 2008, exhortant en cela Alain Rousset à entrer dans l’arène, faut qu’ça saigne !

En paraphrasant Alain Finkielkraut, nous pourrions parler de guerre civile à très bas bruit, une sorte de bruit de fond qui grogne, un mécontentement, un sentiment de victimisation, entretenu par Sarkozy, mais aussi dans une autre optique par les gauchistes, un appel au coupable, une mise en place de la justice comme œuvre psychologique et non de droit, ainsi le procès prévu même en cas de reconnaissance d’irresponsabilité pénale, pour le travail de deuil des parties civiles. Dans un tout autre domaine, la chasse aux vélos a été lancée par la police et les piétons. Certes, quelques cyclistes abusifs sont coupables d’incivilité, mais c’est la première fois que ce spécimen naguère jugé comme un gentil pédaleur devient presque un prédateurs aux yeux de certains. Les PV pleuvent pour quelque feu grillé sans qu’il y ait danger et encore moins mort d’homme.

Alors, plus généralement, nous pourrions méditer sur ce progrès technique et faramineux qui, au bout, engendre cette société autant vaillante dans quelques domaines que vacillante dans d’autres secteurs, vie sociale, vie privée, séparation, convulsions nerveuses, crispations consuméristes, ressentiments, mots et maux. En vérité, la société vit une sorte d’éruption, de règlement de compte. Tous ces faits ne sont pas la cause, mais le dévoilement de maux et de construction intérieure des sujets et des ressorts sociaux mal fondée, mal agencée et un philosophe dirait, du faux, du factice, du négatif. Les politiciens ne cherchent qu’à réguler depuis des décennies, sans se poser la question des conditions de civilisation causant en profondeur ce marasme ordinaire ou délétère. A moins que l’homme, s’il n’est pas imprégné du péché originel, est voué à se pourrir la vie car en tant qu’être désirant, voulant et subissant, il se charge d’un lourd karma de frustrations, détestations, haines. Mais après tout n’est-ce pas la marque de l’existence humaine, avec ses contradictions, la plus fondamentale entre les désirs individuels et les conditions et règles du jeu social ? Ces mêmes contradictions qui ont enflammé l’Europe de 1914 à 1945 et qui actuellement, se manifestent dans le champ psycho-social.

Quelque ésotériste de passage pourrait vous convaincre que de mauvaises énergies traversent la société. Il n’en est rien. Certes, il se peut que les énergies (universelles) augmentent en intensité, mais elles ne font que pousser vers la tendance d’un processus inscrit dans la substance, si bien que si rupture il se produit, c’est que l’édifice était mal construit et pour parler en philosophe, en porte-à-faux. Il y a quelque chose relevant du jugement dernier et de la justice éternelle (un mixte au sens de la métaphysique de Proclus) selon Schopenhauer, quelque chose échappant à la rationalité, mais loin d’être irrationnel. La rationalité est trop limitée pour appréhender un ordre supra-rationnel. Comme on le voit, les émotions s’amplifient, depuis des années et se manifestent positivement dans les événements médiatisés, source de rassemblement des foules, puis négativement dans une série de faits dont la liste est étendue, les formes diverses, sourdes, sournoises parfois ; violentes en d’autres cas comme à l’occasion d’émeutes. Bref, rien de nouveau sous le soleil, dans l’agencement des principes métaphysiques. Les formes sociales, le style, les mots, eux, ont changé, avec l’Histoire.

Dégeulasse, salopard, salaud, voilà littéraire le style de BHL à l’antenne, un style qui en jette et qui dispense de penser une fois que le philosophe le plus médiatique a parlé. Mais ce philosophe se préoccupe-t-il de toute la misère qui règne en France, de l’état de l’enseignement, de la condition étudiante, des précaires, des sous-logés, des expulsés ? Non, car sans doute, M. BHL ne connaît-il pas la condition des misérables, enfin, pas ceux d’ici. Il est de ce point de vue en phase avec Sarkozy qui, épris de luxe et de réussite matérielle, prétend parler et agir pour les smicards. L’Histoire sait que quand les aristos sont en délicatesse avec un peuple acquis par la persuasion, mais trompé par les actes (et les mots), quelque révolution peut en découler. Quoique, l’Histoire étant achevée, il se peut bien que la France se réfugie dans une « apathie active ».


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19 réactions à cet article    


  • Marc P 15 octobre 2007 13:00

    « Dissensions. Tensions. Ruptures »..., « la société qui se disloque, se dissocie, une dissociété » Dislocation, séparation de lieux, mais aussi de classes, de revenus"...

    « Beaucoup d’errances, de séparations, de haines, de disputes, d’agressions physiques et surtout verbales, dans une société qui perd chaque année un peu de sa cohésion... quelques mots corrosifs, kärcher et racaille. »

    Sans doute Bernard....

    Mais peut on faire abstraction du caractère fusionnel renforcé de beaucoup de relations, de complicités, ignorer des replis sur soi dans l’entre-soi de ceux qui s’épaulent entre eux pour échapper à ce qu’ils laissent volontiers aux autres... ? échapper à la relation « viendez ma bande » de cour d’école (y compris de « grandes écoles » ou de régiment) prolongée jusqu’à la fin de la retraite (on ne sait jamais, ça peut toujours servir), des identifications les uns aux autres jusqu’au clonage des esprits...

    Les nouvelles technologies y sont également pour beaucoup...

    Sur les téléphone portables les numéros du réseau sont pré enregistrés ce qui referme les cercles et les clubs... et les plus intimes se dérangent et s’appelle au secours à n’importe quelle heure du jour et de la nuit...

    En fait la dislocation de la société ne vient elle pas d’une nouvelle forme de la relation amicale ou « fraternelle »... relation fusionnelle jusqu’à l’extrème, l’individu est , fondu, noyé, dilué, pratiquement dissout dans son réseau d’élus ou de gens bien... il a renoncé à toute individualité en s’identifiant à son petit groupe de privilégiés. Ainsi ces petits groupes d’appartenance élitiste ont il réussi contre la « pensée personnelle » ce que même la revue « Salut les copains » ou l’idéologie communiste n’avait pas fait aussi à fond... enfin, presque...

    Evidemment on pense à des Guénot, Sarko, Johnny, Guéant... On en trouve autant à gauche sans doute, un peu moins décomplexé...

    Etonnante expression celle que j’ai entendu sur une radio confessionnelle : notre société s’attacherait à fabriquer des « idiots utiles »... comment faire pour ne pas en être, utile à quoi ? utile à qui ?

    « Ne parlons pas des forums et des blogs car le net est un lieu où l’homme a perdu sa courtoisie et ses réflexes de retenue, devenant à l’image du supporter, éructant ses aigreurs, bref, loin de cette société de cours qui selon Elias, marqua de son empreinte des siècles de civilisation française. Dans notre France de défiance, les gens ne se frappent que rarement, mais les mots cognent durement... »

    Parceque le lien par internet ne remplace pas la présence habitée... en chair, en os, et en voix...

    on insulte difficilement une présence habitée....

    Cordialement...

    Marc P


    • tvargentine.com lerma 15 octobre 2007 13:32

      Qui peut penser que BHL représente quelque chose en France ?

      Qui peut dire que son choix est guidé par BHL en France ?

      BHL,pour vendre et pour exister ne voit rien d’autre que d’agresser et de ramener tout à niveau le plus bas,sinon,tout le monde aurait déjà oublié qu’il existe !

      C’est du LEPEN,pour exister il agresse et fait les médias.

      COmment cet actionnaire d’une multi-nationale qui pille l’Afrique,ce propriétaire au Maroc d’une villa de Luxe qui se fait construire des murs suffisament haut pour que « la racaille » ne le voit pas lui et son autruche",pourrait-il prétendre incarner quelque chose en France.

      Il pourrait rejoindre le parti du néant,celui de BAYROU


      • Signé Furax 15 octobre 2007 14:11

        @ Marc P

        l’expression « idiots utiles » n’est pas nouvelle. C’est ainsi que Lénine désignait ses suppôts de l’étranger, qui, sans rien connaître de la situation réelle de l’URSS, ne tarissaient jamais d’éloge à son égard.

        L’expression ne s’est, malheureusement, jamais démodée et les idiots utiles fleurissent encore sous les sunlights. Des exemples ?

        - Besancenot pour Trotzki et/ou Che Guevara,
        - Jospin pour Trotzki, décidement très tendance le créateur de l’armée rouge,
        - la kyrielle habituelle des « artistes et intellectuels » toujours à la recherche de la défense d’une cause quelconque à condition qu’elle soit bien médiatisée. Je ne cite pas de nom, regardez TF1 ce soir.

        Maintenant que vous connaissez l’origine de l’expression, vous pouvez compléter la liste, pour ma part j’abandonne pour cause de nausée.


        • Marc P 15 octobre 2007 19:09

          Merci Signé Furax de nous rappeler l’origine de cette expression... Je l’avais en effet oubliée... Le locuteur l’utilisait cependant dans un sens différent désignant d’autres catégories de personnes.

          Bonne soirée.

          Marc P


        • Alice Alice 15 octobre 2007 14:34

          J’ai trouvé votre article très intéressant et bien écrit. Il résume fort justement l’état général d’une société malade qui ne semble pas déranger grand monde. Je suis surprise que le vote négatif soit si important. Mais les vrais questions sont-elles entendues ? Cordialement.


          • Alice Alice 15 octobre 2007 14:54

            Il est triste de constater comment certaines personnes ne voient que par le petit bout de la lorgnette. Cet article ne fait pas seulement référence à l’affrontement traditionnel gauche-droite. Le fond des questionnements évoqués par M.B.Dugué semble éludé par une pulsion animale à rejeter avec violence celui qui pense différemment de soi. Ensuite, il faudrait voir quel est le sens attribué au terme « pensée ». Quel manichéisme chez ceux qui se targuent de faire de la politique ! Cela dit, il y avait longtemps que je le savais.


          • Y. DESGREES 15 octobre 2007 14:36

            « Une dissension qu’on ne jugera pas, cela ne nous regarde pas, excepté le signe des temps que cette rupture incarne »... Alors, ne nous en parlez pas ! Foutez leur la paix, intéressez-vous plutôt à vos propres problèmes... Il est facile d’écrire « cela ne nous regarde pas... » et faire tout une tartine sur les pseudo-déboires d’autrui ! C’est article complaisant est nul... et mal venu !


            • maxim maxim 15 octobre 2007 18:33

              eh non....BHL ne connait pas la condition des défavorisés ,comme Strauss Khan qui va encaisser plus de 300.000€uros du FMI ,comme Fabius plein aux as ,comme Ségolène et le bon gros François Hollande qui ne sont pas dans le besoin ,ni Emmanuelli qui fût à la direction d’une banque ,c’est bien ceux là qui se veulent les défenseurs des démunis ,et qui chantent l’Internationale à chaque congrès ????? ah quelle époque ,c’est bien simple ,tout fout le camp !!!!! et les déliaisons et les ruptures ????m’en parlez pas mon pauvre monsieur !!!! j’vous le répète ,tout fout le camp !!!!


              • torr-ben 15 octobre 2007 19:30

                Notre société, que vous décrivez très bien, ressemble à une société paîenne, qui adore son ventre, son veau d’or. On se mire dans la glace pour être le plus beau, le plus fort, le plus intelligent. On prend, on jette, on écrase les petits, les sans-grades.

                Pas de place pour les humbles. L’égo, l’individualisme, la cupidité règnent en maître...Moi qui ne suis pas pratiquant (mais chrétien tout de même), me viennent à l’esprit les 7 péchés capitaux : l’orgueil, l’avarice, la luxure etc... On les pratique tous de façon démesurée, dans notre société repue (pas pour tous, je n’en disconviens pas).

                Finalement, la religion, bien comprise, a du bon. L’homme ne vit pas seulement de pain... Quel sens donner, en effet, à cette existence de consommateurs à outrance ? Consommer les êtres et les choses toujours plus et in fine déprimer touours plus puis sombrer dans l’aigreur, l’amertume d’une vie ratée, du fait des ruptures en tous genres. Post coïtum, animal triste...

                Finalement, foi d’un truand, plus je réfléchis, plus je me dis que l’Evangile est une somme de vérités basiques, très incarnées...Si on pratiquait tous modérément les 7 péchés capitaux, si on évtait les haines sans rémission, la société devrait être plus viable.

                Voilà, c’était ma contribution spirituelle à votre très fine pensée , moi être très charnel...


                • le pen la vie la vraie 15 octobre 2007 19:32

                  moi ça m’intéresse les déboires de cécilia, je ne suis pas un faux-cul. Pauvre femme, léchouillée par son mari sur les marches de l’Elysée pour donner le change. Elle ne t’aime pas (plus) mon pauvre. Elle doit être bien malheureuse la pauvre. C’est quand même plus intéressant que les idées hypocrites d’un bayrou, d’une royal ou d’un sarko. Ca, ça intéresse le peuple. Le peuple qui aimait son bon roi, aime sa triste « présidente » et il n’y a pas de quoi se moquer. Quand au président on peut y voir une métaphore de ce qui l’attend : la France l’a « épousé » pour x raison mais cela finira sans doute de la même manière.


                  • koton 15 octobre 2007 22:31

                    le veau d’or,en effet...d’ailleurs,ça ma fait penser au dernier film de jean jacques annaud« sa majesté minor »


                  • moebius 15 octobre 2007 22:07

                    ...mon dieu on y est en plein ici...dans la frustration des classes moyennes


                    • moebius 15 octobre 2007 22:12

                      ...embouiteillage aus heures de pointe, et l’aut con il avance pas avec sa bagnole de merde, connard !


                      • moebius 15 octobre 2007 22:13

                        pardon « embouteillage »...hé ! connard


                      • moebius 15 octobre 2007 22:13

                         ;..lutte des classes...


                      • Antoine Diederick 15 octobre 2007 23:42

                        Bonsoir Bernard,

                        Un très bon article sur l’air du temps...merci.


                        • Antoine Diederick 15 octobre 2007 23:51

                          c’est vrai que l’irritation BHLienne devient irritante...

                          Mais bon, s’il n’a pas tout à fait tort sur les quelques videos en ligne que j’ai pu voir, je me demande s’il n’est pas en effet comme le font remarquer d’autres intervenants ici, sur une autre planète....


                        • ernst 16 octobre 2007 02:24

                          très bon article ou « le talent français pour l’analyse, la synthèse et la syntaxe ».

                          Mais pendant la petite heure où vous vous êtes donné la peine de vous et nous faire plaisir, qu’avez vous fait de votre jeunesse ?.... Vous nous proposez quoi ?... sinon cracher dans la soupe..

                          On pourrait peut-être jouer à un autre jeu qu’a être celui qui est le plus intelligent et tâcher de construire ou reconstruire ce que notre lucidité a si bien détruit..

                          À commencer par BHL, qui persiste à faire ses bruits d’outrages à sa pensée. Encore lui faudrait-il en avoir une. Et non plusieurs, suivant les circonstances. En somme, c’est un écrivain raté. Qui ne mérite pas sa photogénie hargneuse.

                          Mais comment peut on prendre au sérieux un magnat maqué avec une danseuse de saloon ?...


                          • JPL 16 octobre 2007 05:06

                            Et mis à part des invectives et pas mal d’insultes gratuites contre pas mal de gens.. vous avez quelque chose à dire ??

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