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Accueil du site > Tribune Libre > Un père gifle une élève qui harcelait son fils

Un père gifle une élève qui harcelait son fils

 

Une #vidéo virale circule sur #internet où on voit un père #gifler une #élève qui harcelait son fils. De mon point de vue, cet incident met en lumière les conséquences d'une absence de cadre clair dans l'éducation de certains enfants.

***L'importance des limites éducatives

Les limites jouent un rôle essentiel dans le développement des enfants, leur apprenant le respect d'autrui et des règles sociales. Lorsque ces repères font défaut, les enfants adoptent des comportements inappropriés, tels que l'insolence ou le harcèlement. Dans le cas présent, l'élève incriminée a manifesté une attitude irrespectueuse en refusant de présenter ses excuses, illustrant...

***Responsabilités parentales et institutionnelles

Je rappelle que les parents ont la responsabilité première d'inculquer des valeurs et des comportements adaptés à leurs enfants. Cependant, l'école joue également un rôle crucial en renforçant ces enseignements et en assurant un environnement propice au respect mutuel. Une collaboration étroite entre parents et institutions scolaires est donc indispensable pour prévenir les dérives comportementales, ce qui est rarement le cas.

***Les conséquences d'une absence de limites claires

Lorsqu'un enfant n'a pas intégré les limites appropriées, il peut se retrouver confronté à des sanctions extérieures plus sévères, c'est ce qui s'est passé pour cette jeune fille. Bien que le geste de ce père puisse être perçu comme inadmissible, il reflète une réaction à une accumulation de manquements éducatifs. Une réaction symptomatique d'un système défaillant Oui, la gifle administrée par ce père peut être interprétée comme le symptôme d'un système éducatif défaillant, où ni les parents de l'agresseuse ni l'institution scolaire n'ont su imposer les limites nécessaires.

https://www.jeanlucrobert.fr

 


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38 réactions à cet article    


  • jacques 14 mars 17:23

    pas possible !!!! mais où va t’on ? je vous le demande smiley


    • berry 14 mars 18:03

      @jacques
      On va jusqu’aux coups de couteaux.
      Ils se généralisent dans les établissements scolaires.
      https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/les-couteaux-deviennent-des-objets-du-quotidien-des-lyceens-en-vaucluse-8595432


    • GoldoBlack 16 mars 10:15

      @berry
      Carrément ! « Ils se généralisent » ?
      Combien de coups de couteau pour combien d’élèves ?
      On peut avoir des stats ? Notamment, l’évolution sur plusieurs décennies ?
      T’en as forcément, sans quoi, tu ne viendrais pas asséner des propos ressemblant plus à une analyse empirique, émotionnelle, ayant juste pour objet de faire flipper pour amener les gens dans les bras des nazis.


    • colibri 14 mars 18:19

      Le risque est que la harceleuse porte plainte contre le père et que ca soit lui qui soit condamné :la justice inversée , les victimes qui se défendent se retrouvent au tribunal ...


      • Astrolabe Astrolabe 14 mars 18:28

        conseil à l’auteur : sur chaque vidéo ,il y a un click sonore assez pénible mais aisément enlevable avec un montage audio.

        Sur le présent papier : 

        En France, la gifle est interdite depuis la loi du 10 juillet 2019 relative à l’interdiction des violences éducatives ordinaires. Cette loi stipule que l’autorité parentale s’exerce sans violences physiques ou psychologiques.

                  

        Les psychologues, a fortiori ceux qui travaillent avec les enfants, sont bien au courant qu’une violence physique d’un adulte sur un enfant ne « reconnecte » en rien le « cerveau » de la victime du coup , contrairement à ce que dit le monsieur chauve dans la vidéo .. !


        • charlyposte charlyposte 14 mars 18:30

          @Astrolabe
          Sources ???


        • PaulAndréG (PàG) PaulAndréG (PàG) 15 mars 17:48

          @Astrolabe
          .
          Le monsieur de la video précise :
          « Je n’ai pas vu la video virale que tout le monde me demande de commenter... »
          mais il en fait un article et ce montage vidéo  smiley
          .
          Je pensais qu’un adulte qui « reconnecte quelques connexions avec cette claque... à une enfant » est coupable de coup et blessure sur mineur... ce que semble ignorer https://www.jeanlucrobert.fr


        • Astrolabe Astrolabe 15 mars 17:58

          @PaulAndréG (PàG)
                   
          En effet !
          D’ailleurs s’il avait vu la vidéo, il ne parlerait de notre Education Nationale car elle ne se passe pas en France.... et la mandale est hyperviolente smiley



        • Astrolabe Astrolabe 15 mars 18:13

          d’ailleurs sur les sites anglosaxons, la plupart des tags titrent avec le mot : uppercut


        • Et hop ! Et hop ! 15 mars 20:32

          @Astrolabe : "... la gifle est interdite depuis la loi du 10 juillet 2019 relative ...

          Ça fait des dizaines d’années que chez tous les peuples de la Terre et à toutes les époques il y a un usage pour les adultes de donner des tapes sur la joue, sur la main ou sur la fesse aux enfants pour les éduquer, sans bien sûr les blesser, jamais aucun législateur ne s’était ingéré dans cette question, et en 2019 des députés en France ont l’orgueil et l’arrogance inouïe de prétendre mettre fin à cette coutume et priver les enfants d’éducation. 


        • Astrolabe Astrolabe 15 mars 20:38

          @Et hop !
                      
          Le problème avec la violence des adultes sur les enfants, c’est qu’elle ne cesse de faire des ricochets…
                   
          Votre réponse me fait étrangement penser à ce dessin de Franquin.
                      


        • Astrolabe Astrolabe 15 mars 20:41

          La France a définitivement adopté une loi interdisant la fessée, la gifle et d’autres formes de violences éducatives ordinaires en juillet 2019.
          Cette loi fait de la France le 56e pays à interdire ce type de violences.
          Avant cela, le Conseil de l’Europe avait déjà condamné la France en 2015 pour ne pas avoir interdit clairement les châtiments corporels.

          Actuellement, 54 pays ont aboli les châtiments corporels, y compris la Suède qui a été le premier pays à interdire tout châtiment corporel en 1979.
          Parmi ces pays, on trouve également l’Espagne, le Portugal, l’Irlande, le Brésil, la Bolivie, l’Argentine, le Pérou et d’autres.


        • Et hop ! Et hop ! 15 mars 20:49

          @Astrolabe

          A 12 ans, j’ai été pensionnaire dans une public school anglaise très chic, le samedi tous les parents étaient réunis à la chapelle néo-gothique pour l’office, et après certains jours, il y avait un élève qui était appelé par le directeur de la section, le censeur lisait les reproches faits et la sentence de tant de coups de canne, il relevait les basques de sa veste, et un géant avec un costume à brandebourgs lui appliquait les coups de cannes sur les fesses en les comptant, le censeur l’arrêtait avant le dernier, l’enfant ne faisait pas un murmure puis retournait au milieu de ses camarades. Le châtiment était beaucoup moins la douleur que la démonstration publique.

          Les causes étaient toujours des actes d’indiscipline, comme quitter le collège sans autorisation, la rebellion ou le manque de respect, ou la violence contre d’autres élèves, jamais le travail, le niveau scolaire, des oublis ou des insuffisances.


        • Et hop ! Et hop ! 15 mars 21:03

          @Astrolabe

          L’éducation est par principe une violence faite à l’enfant, la question n’est pas la violence mais la brutalité, la maltraitance. 

          Ne pas éduquer est une forme de maltraitance car l’enfant ne se maîtrisera pas, il ne développera pas ses potentialités, il ne sera pas adapté à la vie sociale, il sera sanctionné pour des conduites inappropriées. Toutes les personnes de valeur et très originales que j’ai connues avaient reçu une éducation sévère de leurs parents, le laxisme éducatif fait des adultes conformistes et sans caractères, tous pareils.


        • colibri 15 mars 22:28

          @Et hop !

          je ne place pas le fait de faire le mur au même niveau que le manque de respect ou la violence , 


        • GoldoBlack 16 mars 10:12

          @Et hop !
          Effectivement, j’ai toujours pensé que la violence « éducative » sur des gosses fabriquait souvent des adultes cons.
          Merci de venir confirmer mon point de vue.


        • Et hop ! Et hop ! 16 mars 10:28

          @GoldoBlack

          Vous avez subi de la violence « éducative » ?


        • Et hop ! Et hop ! 16 mars 10:39

          @colibri

          C’est la désobéissance volontaire qui était sanctionnée, faire la mur n’était pas faire une fugue qui est un problème à étudier avec les parents, mais de sortir en douce du collège pour aller dans le bourg d’à côté faire des conneries, ce que les responsables des enfants ne pouvaient pas tolérer.

          La solennité de la sanction n’ayant pas pour but de punir l’intéressé, mais de l’impressionner et d’impressionner tous les enfants.

          Ce collège m’avait donné une impression de grande liberté et d’indulgence des professeurs par rapport au collège français.


        • charlyposte charlyposte 16 mars 11:34

          @Et hop !
          Bien vu smiley


        • charlyposte charlyposte 16 mars 11:35

          @Astrolabe
          Sources ?


        • charlyposte charlyposte 16 mars 11:39

          @Astrolabe
          Sources ?


        • colibri 16 mars 12:55

          @Et hop !

          j’ai souvent fait le mur entre midi et deux , mais pas pour faire des bêtises , pour aller acheter des sucreries , j’ai eu une remontrance une fois , mais ce n’est pas du même ordre que le non respect envers les adultes , juste un esprit d’indépendance , 


        • Astrolabe Astrolabe 16 mars 14:05

          @colibri
                
          Et bien pour certain adepte de la pédagogie noire, vous auriez mérité des « coups de canne » !

          @tous

          Un bon bouquin sur le sujet :
                    

          « C’est pour ton bien » , d’Alice Miller


        • colibri 16 mars 14:38

          @Astrolabe

          je suis contre les coups de cannes et le martinet , les gifles et les coups , par contre les punitions ne font pas de mal en cas de manque de respect , d’insultes ou comportement inapproprié  : 
          dans la chambre au lit après le repas ,
          ou privation de sorties ludiques et non trop importante avec les amis style ciné ,
          et aussi suspendre l’achat de vêtement dernier cri ou de jeux ,
          confiscation de jeux vidéos , 

          à une époque il y avait les heures de colle dans les collèges et lycée , je ne sais pas si ca existe encore ?


        • Et hop ! Et hop ! 16 mars 16:00

          @colibri

          C’est votre point de vue individuel.
          Imaginez que c’est vous qui êtes responsable de la sécurité de 500 enfants de 7 à 14 ans internes dans un grand collège, et qu’il y en a qui sortent sans prévenir personne, vont sur les routes, dans des cafés, se baigner dans la rivière, suivent des gens chez eux, mangent n’importe quoi, vous les laisez-faire en pensant que c’est leur esprit d’indépendance ? Alors il y en aura 300 en vadrouille dans la ville et dans la campagne.


        • Et hop ! Et hop ! 16 mars 17:18

          @charlyposte : @Astrolabe
                       Sources ?

          Ses sources, c’est l’Émile, le traité d’éducation qui dit que l’enfant doit inventer lui-même tout le savoir.
          Le traité écrit par Jean-Jacques Rousseau, le père qui a préféré ne abandonner ses cinq enfants aux Enfants Trouvés.


        • colibri 16 mars 21:31

          @Et hop !

          ca mérite une punition pas des coups , parce que les coups ne servent à rien 


        • babelouest babelouest 14 mars 18:38

          La gifle ! Ceux qui l’ont interdite légalement devraient recevoir une gifle .


          • GoldoBlack 16 mars 10:10

            @babelouest
            C’est tellement efficace et satisfaisant de frapper des enfants !


          • Vous enfoncez des portes ouvertes.

            A partir de 9 ans .

            Moi, j’ai toujours encouragé mes gamins a trouver par eux-mêmes le courage et les solutions à leur problème.

            Sauf si cela devenait pus grave j’intervenais ou je signalais le problème mais hors de leur présence.

             



            • @SPQR-audacieux complotiste-Monde de menteurs

              Aujourd’hui les décisions de justice sont devenues aléatoire, c’est aussi pour cela que l’on peut constater que certains avocats changent de travail ou de milieu pour exercer !

              Le Présidiot et ses larbins détruisent systématiquement toutes les structures de la R F.

              Embaucher un ancien Militaire dans la police nationale sans avoir détecté si la ou le candidat est en mesure de faire ce bouleau de FLIC.
              Être propre intellectuellement et psychologiquement.
               
                
               


            • microf 15 mars 14:46

              Ce sont les parents qu´il faut aujourd´hui éduquer.

              Mais tout cela vient de la société dans laquelle nous vivons aujourd´hui, cette société d´LGBT dans laquelle nous vivons et évoluons aujourd´hui au point oú il

              n´ya plus de norme, fait comme tu veux au nom de la LIBERTÉ, mais de la fausse LIBERTÉ.

              Cette société aujourd´hui oú les enfants ne savent dire que NON.

              Vous dites á un enfant fait ceci, il vous répond NON, va ici il vous répond NON, vient ici il vous répond NON.

              Dans certains pays les enfants ont même le No de tél de la police oú un enfant appelle la police pour dire que son père l´a grondé, que son père le persécute, et la police arrive et vous gronde devant l´enfant, si elle ne prend pas

              l´enfant avec elle pour l´emmener dans un centre, et malheur á vous si vous l´avez giflé, alors lá vous aurez de sérieux problèmes avec la justice.

              Enfant en Afrique dans les années 70, il nous arrivait aussi d´être têtus, nous recevions alors une bonne fessée qui nous apprenait á ne plus recommencer.

              Ou des fois nous faisions des bétises, bétises pas au niveau des enfants

              d´aujourd´hui qui dépassent vraiment l´entendement, alors surpris par un adulte de notre entourage, il nous corrigeait et il nous amenait chez nos parents qui nous redonnaient une autre fessée.

              Avec le retour en arrière aujourd´hui, cette manière de nous éduquer était la bonne, cette éducation nous a appris la discipline, discipline qui hélas vu les comportements aujourd´hui, manque á la société.


              • Com une outre 15 mars 18:50

                La gamine sur la vidéo se fout de la gueule du père et de son fils. Une claque est justifiée, moins appuyée aurait eu le même effet. Une gamine ado qui ne sait pas qu’un parent adulte n’est pas un de ses camarades de classe n’est pas capable de comprendre l’implication de ses actes par de simples mots. Surtout qu’elle ne doit pas être une lumière de part son comportement. Au moins, maintenant elle sait que la violence provoque la violence. Il est vrai que nos dirigeants européens ne l’ont toujours pas compris eux. Je leur mettrai bien des claques en fait, ça doit leur avoir manqué.


                • Astrolabe Astrolabe 16 mars 11:04

                  @Com une poutre
                            

                  « An eye for an eye will only make the whole world blind ... »

                         

                  Ghandi



                • charlyposte charlyposte 16 mars 11:33

                  @Astrolabe
                  Sources ?


                • GoldoBlack 16 mars 10:09

                  Encore une fois, tu t’es pas éreinté , Bobby !

                  C’est un façon de nous dire que frapper des gosses est/peut être une bonne méthode éducative ?

                  T’as été formé à Betharram ?


                  • Phil 16 mars 15:06

                    Dans la violence faite aux enfants, il y a le visible et l’invisible.

                    Voir cet excellent organisme : https://www.oveo.org

                    J’ai eu l’occasion de travailler avec eux sur le cas d’une école que nous avons réussi à faire fermer. Dans cette école qui était hors contrat et qui prônait une pédagogie dite « parallèle » très intéressante et aussi utilisée par l’éducation nationale, on ne voyait pas de violences apparentes. Mais il y avait un parti pris éducatif qui infligeait une violence non visible aux enfants. Avec l’excuse d’un apprentissage dit alternatif (mal interprété), il y avait un manque évident d’intentions et d’attentions éducatives. Sous prétexte de ne pas forcer, de ne pas obliger, de respecter les rythmes de l’enfant, ceux ci étaient mis en situation d’échec par rapport à ce qu’ils étaient en droit de recevoir, et aussi par rapport à eux mêmes dont la curiosité naturelle n’était pas alimentée, ni mise en valeur. Il y avait là une forme de maltraitance invisible, qui amenait certains enfants à n’être plus curieux, ni demandeurs de savoirs, et qui était expliquée par les responsables éducatifs comme étant une expression de liberté. Après des mois de luttes de dossiers, car ces gens (les responsables de l’école) avaient pris soins auprès des politiques, des partenaires administratifs, des conseils départementaux, journalistes, et autres, de bien verrouiller leur relationnel, et bien nous avons réussis à ce que cette école ferme définitivement ses portes. Pendant cette période et après, ceux qui ont été à l’origine de l’action qui a conduit à la fermeture de cette structure ont été considérés comme agresseurs.

                    Tout ceci pour expliquer, que la violence physique sur les enfants est l’architecte d’une société bancale. Que cela n’est pas anodin, même si il n’y aurait pas de traces physiques. Par contre la violence psychologique comme le harcèlement, ou autres manquements éducatifs, ne se perçoit pas sur le moment, mais à des effets tout aussi délétères pour l’avenir de celui qui les subit. Nous sommes émotionnellement toujours plus enclins à juger la violence physique et son auteur, comme étant à juste titre un acte condamnable. Celui qui franchit la ligne, celui qui bouscule, celui qui blesse, est désigné comme coupable. Mais quand est-il de ceux qui poussent à bout, qui cherchent l’embrouille, qui pervertissent, qui harcèlent et qui après viennent se plaindre que l’autre est un agresseur ? C’est pas aussi simple qu’il n’y paraît au premier abord me semble t’il et les jugements hâtifs sont pour moi l’expression d’une forme de violence.

                    Ceci dit pour le cas présent, le père avait certainement d’autres solutions que de donner un coup.

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