Le Sieur Typhon pourrait-il me redonner le lien qui conduit à la page du dénommé Asp Explorer ? Un problème technique (n’en doutons pas) a effacé le message qui le contenait. Le lien était dans un commentaire qui me conseillait de fuir bien vite. J’ai eu le temps de cliquer sur le lien et de le lire et j’imagine que grâce à Google, j’arriverais bien tôt ou tard à le retrouver mais j’ai la flemme. Et je voudrais bien l’emporter avec moi dans le maquis.
Je ne rabache pas et je ne pinaille pas. Mais comme toute personne normalement constituée, je suis doté d’un esprit critique qui me fait m’interroger sur certains points qui me paraissent obscurs, en particulier le fait que l’espéranto (qui n’est pas un projet couillon), ne se soit pas plus diffusé de par le monde. Mais des indices (et l’aide précieuse de Typhon) me mettent sur la piste.
J’ai lu attentivement le paragraphe 9 de votre article et en effet, vous y exposez avec justesse les quelques raisons qui pourraient expliquer l’état perpétuellement végétatif de l’espéranto. Ce qui me chagrine un peu, c’est que vous ne vous posez pas la question de savoir si le problème ne pourrait pas venir un petit peu de la communauté espérantiste elle-même. Vous me faites penser à ces bobos socialistes qui se demandent bien pourquoi diable les ouvriers ne votent plus pour leur parti. Dans le paragraphe, je n’ai pas vu le début d’une remise question. Est-ce que l’espéranto, projet superbe, ne souffrirait pas parfois du comportement excessif de certains de vos membres les plus illuminés ? A la suite d’un de vos articles, Il me semble avoir déjà lu dans le commentaire d’un espérantiste que la plus grande secte, c’était les Etats-Unis d’Amérique, ce qui, bien évidemment, est un propos d’une bêtise insondable que toute personne équilibrée va immédiatement contredire. Or, curieusement je ne me souviens pas avoir lu une seule réaction d’espérantiste indigné. Personne pour conseiller gentiment à ce monsieur de prendre des calmants. J’avoue que ça me laisse perplexe...