anne-gabrielle

Toutes mes félicitations (lire ici une légère pointe d’ironie dans l’expression que j’emploie) pour cet article qui n’a d’autre fondement qu’un procès, seulement à charge, à l’encontre de Marie Drucker.

Faire reposer l’intégralité du contenu d’un JT sur les épaules d’une seule présentatrice ne me semble pas pertinent, bien au contraire. Il aurait peut être mieux valu faire une analyse du traitement de l’information sur les trois premières chaînes françaises plutôt que de s’acharner sur elle et elle seule. D’ailleurs, je ne pense pas que vous soyez bien informée sur la façon dont fonctionne la fabrication d’un JT. A moins de me tromper, le JT de France 2 n’appartient pas à « Marie Drucker »... De plus, la fonction d’un JT n’est pas de fournir du « scoop »...

Depuis pratiquement 20 ans Jean-Pierre Pernaut nous sert un JT de 13h on ne peut moins journalistique sur TF1 mais vous préférez faire un article sur Marie Drucker qui ne sourit pas assez à votre goût et qui ne mentionne pas un rapport médical sur l’affaire DSK ?
Je suis comme vous, je ressens la mésinformation qui nous entoure que ce soit sur France 2 ou sur une autre chaîne. Vous avez un sens des priorités qui vous est propre et ne regarde que vous, mais faites au moins un article complet et construit...

Même si la démarche partait d’un bon sentiment, un tel raisonnement est idiot et, par voie de conséquence, amène des commentaires idiots, sexistes et injurieux de la part de certaines personnes. Ce n’est, certes, pas directement de votre faute mais votre article est un véritable appel à ce genre de réactions inutiles et gratuites.
 
Au risque de vous contrarier, la coquille vide, c’est votre papier.

Au plaisir de vous lire de nouveau.

PS : C’est la première fois que je poste une réaction sur ce site. Je suis outrée d’y trouver un grand nombre de messages injurieux et, de surcroit, antisémites. Agora vox se veut, d’après ce que je lis en haut de page « un média citoyen » et donne un espace de parole dans une tribune libre. Je suis surprise de constater l’utilisation réelle qui en est faite.