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Béatrice Buguet

Habitant les Hauts-de-Seine, je suis engagée dans la vie associative et politique. Pour une citoyenneté active !

Tableau de bord

  • Premier article le 12/06/2008
  • Modérateur depuis le 29/10/2008
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Derniers commentaires



  • Béatrice Buguet 7 janvier 2009 15:01

    Sans doute est-ce possible dans une petite intercommunalité, mais il existe maintenant 171 communautés d’agglomération dont près de la moitié regroupent plus de 100 000 habitants, et ce qui s’y passe ne ressemble pas vraiment au travail "avec toutes les tendances" que vous pratiquez personnellement (bravo !). Les commentaires et compléments apportés par les signataires de la pétition sont édifiants, au cas où on ne le saurait pas déjà.

    Bien sûr, "personne ne se laisse représenter par l’opposition", c’est bien pour cela que des lois prévoient à tous les niveaux une représentation de l’opposition - sauf à ce niveau là, et c’est le sujet. 

    Quant à la population, nombreux sont les mécanismes et les discours destinés à ce qu’elle ne se mêle pas de ces questions - qui la concernent on ne peut plus directement ! voir les décisions prises en communauté d’agglo sur l’aménagement, le logement, la gestion de services publics en nombre toujours plus grand, les décisions financières des agglomérations qui commencent à s’endetter, etc. La technique classique est de présenter ces sujets comme "des problèmes d’élus", des "problèmes techniques", des sujets compliqués (ben voyons...). Technique bien rôdée, on ne peut plus banale et souvent efficace, devant laquelle il est essentiel de construire une parole précise et de présenter des informations étayées. Diluer la parole, c’est choisir son camp. 

    Quant à l’article laissons le vivre, pour ma part je fais confiance aux lecteurs. Quant il y a trois ans je publiais des informations sur ma propre communauté d’agglomération (l’une des plus emblématiques), elles recueillaient bien moins d’intérêt que des sujets anecdotiques, mais cela change. Et changera d’autant plus vite qu’il y aura de bonnes volontés.
    (NB : pour ma part j’arrête les commentaires, laissons lire et laissons faire... )



  • Béatrice Buguet 7 janvier 2009 06:53

    Notre démocratie est-elle si atteinte que l’on puisse raisonnablement qualifier de "secondaire" le fait que des décisions majeures se prennent, institutionnellement, sans aucune représentation de souvent près de la moitié des citoyens concernés ?

    Quand nous votons pour une équipe municipale, l’opposition est , à la suite de ce vote, bien évidemment représentée au sein des instances délibératives. Même si elle l’est faiblement du fait du très fort avantage majotaire que concède le mode de scrutin. Puis cette même équipe municipale délègue ses compétences à une communauté d’agglomération, et la représentation de l’opposition disparaît !

    Il s’agit d’une anomalie tellement évidente qu’elle concerne les seules communautés de communes et d’agglomération, et non pas les communautés urbaines (+ de 500 000 habitants). Mais les communautés d’agglomération ont mainitenant des pouvoirs étendus, elles sont aussi de plus en plus vastes et ce mouvement ve s’amplifier à la suite de la loi de 2004 qui favorise les fusions - ce qui donne pour les plus grandes des structures de 300 à 400 000 habitants, décidant de l’aménagement de l’espace, de la politique de la ville, du développement économique et de multiples autres sujets, sans aucun contrôle démocratique... Un sujet "secondaire" ??



  • Béatrice Buguet 7 novembre 2008 09:38

    Réponse à certains commentaires :

    Vous aurez noté que le sujet de l’article n’est pas le nom des collèges, mais l’attitude différenciée du conseil général 92 qui dans un cas, affirme qu’il faut respecter le choix du conseil municipal, dans d’autre passe outre. Qu’une autorité publique agisse ainsi mérite au moins d’être signalé. On peut ensuite estimer, concernant les Hauts-de-Seine, que c’est surprenant ou non, à chacun de voir. 

    Concernant tout de même les dénominations, il se trouve que très peu (aucun selon une enquête du Monde de 2004) d’établissements scolaires français ne portent de noms à consonnance arabe, ici d’ailleurs plutôt berbère. Sans idéologie particulière, on peut dès lors regretter que la proposition du conseil municipal de Nanterre se soit heurtée à un veto., alors même qu’elle était fondée sur une intervention locale du sociologue concerné. A avoir à l’esprit à l’heure où pas mal de monde récupère la victoire d’Obama. 



  • Béatrice Buguet 23 septembre 2008 08:15

    C’est en l’occurrence la préfecture qui est chargée de négocier les objectifs de construction, et qui fixe le montant des pénalités. La préfet est bien entendu le représentant du gouvernement dans le département...


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