Les socialistes (et toute la gauche en général, y compris bien entendu les pastèques écologistes) ne réservent nullement ce traitement méprisant qu’à leurs ministres.
Depuis qu’ils ont en effet décidé, sur conseil de la « pensée char d’assaut » (du « think tank ») Terra Nova, de défendre la cause des immigrants plutôt que celle du peuple, trop réactionnaire, patriote et conservateur (« rance », selon leur mot favori), ces politiciens n’ont de cesse de rappeler leur couleur et leur origine à tous ceux qui ne sont pas nés Européens (Blancs) afin d’en faire des arguments de victimisation et donc de se faire passer pour leurs défenseurs.
Alors qu’ils en sont, comme le souligne l’auteur, les adversaires les plus acharnés puisque non-seulement ils les déracinent pour en faire des électeurs, mais qu’en plus ils leur nient toute possibilité d’intégration en les encourageant au communautarisme, tout comme ils leur dénient toute responsabilité en les exonérant de toute faute, même quand ils commettent les piress de crimes, et en leur offrant une « discrimination positive » qui les favorise non par leurs qualités et talents mais uniquement sur la base de leur couleur de peau.
Cet article, dont le titre nauséabond fait un amalgame douteux entre une minorité infime de terroristes déséquilibrés mentalement et l’écrasante majorité des Saoudiens aimant la paix et la tolérance, n’est pas loin de verser dans une stigmatisation islamophobe et raciste intolérable n’étant pas sans nous rappeler les heures les plus sombres de notre histoire«
(J’aurais bien aimé inclure »valeurs de la République" dans cette phrase, mais il aurait fallu trop la rallonger).