Oui enfin, au moins un autre dirigeant accro à la cocaïne éconduit à son bunker après avoir provoqué la destruction complète de son pays. C’est plutôt bon signe.
Il est vrai que les grands penseurs de l’histoire, ceux qui ont changé la donne, étaient exposés à des problèmes récurrents et ont le plus souvent produit un travail de synthèse, une sorte d’hégémon d’idées, et qui ont rapidement été instrumentalisé en totalitarisme.
D’autant plus que la colère engendrée par ce type de situation incitait à diaboliser les responsables d’une situation accablante, d’oppression.
L’auteur prend l’exemple de la Chine qui réussit : c’est sans doute qu’aucune idéologie ne prédomine vraiment (intérêt commun et intérêt individuel sont reconnus), et la taille de ce pays n’en fait pas un adversaire aisé.
Par contre, je ne suis pas certain que la souveraineté soit la seule réponse au mondialisme (et je l’ai démontré), d’autant plus que la souveraineté peut facilement être instrumentalisée par le pouvoir en place au mépris du peuple, tout comme l’arme de la dette.