« La commission des affaires européennes du Sénat est nettement moins optimiste. Selon elle, la compétitivité des énergies renouvelables avec le nucléaire n’est possible que dans un mix énergétique où les énergies renouvelables sont minoritaires. Au delà de 15% de la consommation finale d’électricité, se pose la question de l’intermittence des énergies renouvelables – il ne fait pas tout le temps soleil, le vent ne souffle pas toujours avec la même intensité – et de leur stockage. Et c’est là où le bât blesse. Quel que soit le moyen choisi – méthane, hydrogène – les procédés de stockage se révèlent »extrêmement coûteux« et induisent une très forte déperdition d’énergie. »Aujourd’hui, la perte d’énergie avoisine les 30% à chaque étape« , note le rapport de la commission sénatoriale. »
Cabanel, le mix énergétique c’est une base-load solide qui puisse répondre rapidement à la sollicitation sans tout faire écrouler, et le reste, des ENR.
Lorsque vous aurez compris ça, les poules auront des dents !
Décharge nucléaire : en voilà de biens grands mots pour bien faire peur au quidam ! Mais bon, c’est votre modus operandi habituel. Faire peur, faire peur à tout pris, pour rester crédible dans votre communication habituelle.
Pour décharge nucléaire (bouh, j’en ai les jambes qui flageolent), il s’agit en fait de déchet uranifère à faible teneur en uranium, mélangé à de la terre et posé sur une double couche d’argile. Le tout recouvert d’une couche de 45 cm de terre dont son sommet est végétalisé par de l’herbe et des broussailles. lien