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KOUINO

KOUINO

 

Lettre de Chine, d’un citoyen français, vivant entre les 2 pays, et qui a l’occasion du débat électoral s’inquiète de voir la France si peu ouverte au monde qui l’entoure alors qu’elle en est totalement dépendante ; Lettre d’un militant de gauche, qui décide ce jour qu’il ne le sera plus ; Lettre d’un citoyen ordinaire, qui ne peut se résoudre à ce que le mot « Démocratie » ne soit plus rien d'autre qu'un simple slogan publicitaire ; Lettre d’un optimiste, qui pense que c’est le seul chemin possible.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 28/04/2006
  • Modérateur depuis le 22/09/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • KOUINO Didier Couineau 8 décembre 2007 07:31

    @ l« auteur de l’article : Bravo pour cette intéressante réflexion. A lire en complément »Les médias en question" sur http://sondagesnonmerci.unblog.fr

    Extraits : « ... Le discours convenu sur l’indépendance des entreprises de communication ne peut plus tromper personne. Ce qui les caractérise est, au contraire, leur interdépendance. Les maîtres mots de leur réalité politique et économique sont : concurrence et concentration. L’objectif de ces entreprises est certes de produire de l’information, mais cette information n’a de sens que si elle s’adresse au plus grand nombre, que si cela est fait à travers un langage commun à tous et que si le média qui la véhicule est positionné, du plus possible, au plus près du pouvoir. La » pensée unique « , c’est » eux « . Un peu plus chaque jour, de TF1 à M6, de Moscou à New-York et même jusqu’à Kinshasa, les informations distillées aux téléspectateurs, répondent au même cahier des charges, à la même idéologie, et presque jusqu’aux mêmes contenus. La » World Company Médias § Co « étend son emprise. » Big Brother « , le vrai, c’est » elle..."



  • KOUINO Didier Couineau 9 août 2007 20:25

    @ Bateleur.

    Diable, des réactions à mon petit commentaire ! Si vite ! Si nombreuses ! Si agressives ! Apparemment vous guettiez l’ennemi ! Vous devez être très organisés ! Vous fonctionnez en réseau ? Bon... je vais vous répondre, Bateleur, car il me semble que vous êtes à la fois le plus drôle... et le plus méchant. Mais désolé, je le ferai sur le même ton que le vôtre, vous méritez bien çà... brave petit soldat, animé d’une si sainte colère !

    Vous dîtes « Mais bon Zen, Couineau, et les autres restez donc dans votre (alter) monde qui semble bien loin du Monde, continuez à critiquer les politiques qui ne sont pas conforme à VOS idée et qu’il faut donc combattre jusqu’à la destruction. Non Staline n’est pas mort... ».

    Apparemment « MES » idées (avec un « s », à idée, S.V.P, car je n’en ai pas qu’une) ne sont pas conformes aux votres. Staline est sans doute convoqué là, pour en attester ! C’est cela ? Voyons voir, Staline, c’est le méchant ? Il faut donc que j’en conclue quelque chose ! ? ? ? Quoi qu’il en soit, nous sommes sur la même longueur d’onde sur au moins un point. Ce qu’il y a de bien avec les dictateurs, c’est qu’on peut leur cogner dessus à bras raccourci sans la moindre vergogne, çà mange pas de pain (lorsqu’ils sont morts ou tenus à distance, s’entend, bien entendu). C’est des méchants, point final. Il n’y a pas de tenants, pas d’aboutissants, tout est nickel. Le dictateur possède cette formidable vertu d’être un ennemi extérieur à soi-même. C’est pas un problème de système. Il est méchant... et pis c’est tout. C’est fou ce que le thème des dictateurs préoccupent les esprits dans les démocraties modernes. C’est formidable. Il semblerait d’ailleurs que plus elles sont molles, bouffies et impuissantes, plus elles sont préoccupées par ce sujet.

    Cessons de digrèsser, revenons au sujet central. Vous dîtes : « Qui à fait de Gaza et de la Cisjordanie des »territoires dit palestiniens ?« - l’Egypte, la Jordanie ou Israël ?Pour mémoire : Gaza appartenait à l’Egypte et la Cisjordanie à la Jordanie avant 1967. Personne avant cette date n’a demandé à ces pays d’en faire des territoires et un état palestiniens. Ils étaient dans des camps égyptiens et jordaniens. »

    Oui, et alors ? Faut-il vous décerner une médaille, Monsieur le petit propriétaire ? Il y a là un glissement de sens par rapport à ce que je disais dans mon commentaire, on pourrait dire, une espèce de réflexe compulsif et possesif qui vous fait vous débarasser d’un sujet qui vous concerne sur le dos des autres. « La construction de la conscience nationale palestinienne est la résultante du déni d’existence des israéliens envers les Palestiniens », disais-je dans ce commentaire. C’est l’avenir qu’il faut regarder, Monsieur le petit propriétaire, c’est avec lui qu’il va vous falloir composer, et non pas avec un passé arrangé à votre guise. C’est vous qui êtes un dogmatique et non moi.

    Point final, j’arrête là. Madwill va dire encore que je suis un peu court dans mes argumentaires, mais tant pis. Qu’il aille s’instruire en lisant l’article cité dans le commentaire « Mahmoud Abbas, Prix Nobel de la paix ». Je suis sur qu’il y apprendra beaucoup de choses. Lisez-le vous aussi, Batteleur, cela vous formera à une gymnastique intellectuelle qui semble vous faire défaut. C’est méchant çà ! Vous voyez, votre agressivité déteint sur moi... comme elle déteint sur le peuple palestinien. La solution au conflit israélo-palestinien ne peut venir de ceux qui en sont d’abord les victimes, elle doit venir de ceux qui ont les moyens d’y mettre un terme. Israél doit revenir s’asseoir à la table d’Oslo.



  • KOUINO Didier Couineau 9 août 2007 16:42

    Cet approche historique du conflit israélo-Palestinien a au moins une vertu. Mettre en évidence le rapport dialectique qu’induit un conflit dans la fabrication d’une conscience collective. Mais les conclusions que l’auteur en tire sont à l’inverse de ce qu’il met en lumière. Il y a aujourd’hui une évidente et incontournable nécessité de séparation des peuples israéliens et palestiniens.

    Ce que nous dit cet article, c’est que la construction de la conscience nationale palestinienne est la résultante du déni d’existence des israéliens envers les Palestiniens, d’hier à aujourd’hui. Par voie de conséquence, le bout de ce chemin ne peut être que la création d’un Etat palestinien. C’est vrai pour les palestiniens, bien évidemment, qui n’ont aucune raison d’accepter la domination israélienne, mais ça l’est tout autant pour les israéliens, qui ne peuvent trouver d’issue tant qu’ils n’auront pas reconnu leur responsabilité dans cette situation. La reconnaissance de cette responsabilité passe par la reconnaissance de la nation palestiniene et la restitution des territoires occupés.

    L’auteur se trompe. Il n’est pas temps de se réfugier dans l’angélisme. Il est au contraire temps, d’appuyer là où ça fait mal. Il est temps de dire une vérité simple qui n’a pas réussi à exister au cours des dernières années, tant le tumulte de la violence effaçait tout. C’est aux puissants du monde qu’il faut demander des comptes et non aux faibles. Les responsables de ce désastre, sont ceux qui ont les moyens de résoudre le conflit et qui ne le font pas ; désastres passés et à venir, si l’on se contente de geindre. Car il ne peut exister de statut-quo. Au cours des 15 dernières années le conflit n’aura cessé de s’envenimer et de s’étendre. Nous assistons à une généralisation du conflit à l’ensemble du Moyen-Orient, dans laquelle les « puissants », les « responsables » (Isréliens, Américains..), jouent en permanence la surrenchère et se comportent en pompiers pyromanes. Mais ils vont de défaites en défaites, des défaites de plus en plus cinglantes et dangereuses pour la communauté internationale. Irak, Liban ... la liste est longue !

    Il est temps que les citoyens du monde leur disent que cela suffit. Pour poursuivre cette réflexion, lire du même commentateur l’article du 22/11/06 paru sur agoravox : « Mahmoud Abbas, Prix Nobel de la paix » - http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=15782



  • KOUINO Didier Couineau 15 avril 2007 16:25

    « Je n’en peux plus de ce PS le plus bête du monde » dites-vous ? Diable, tant que ça ? Comment est-ce possible ? Peut-être n’avez-vous pas remarqué, mais le PS n’est plus au pouvoir depuis 5 ans ! Il doit s’agir d’hallucinations, non ? Peut-être, voyez-vous des éléphants partout ? Sont-ils roses ? Vous devriez cesser d’écouter TF1. A haute dose, cela fatigue l’esprit. Si cela peut vous rassurer, permettez-moi de vous révéler un scoop, qui semble vous avoir échappé. Le mouvement socialiste s’est partagé en deux familles distinctes en 1920. D’un côté les adeptes de la révolution, de l’autre, ceux qui considèrent que le marché est une réalité nécessaire. Je m’arrêterai là sur le sujet, ce serait trop long à développer. je vous renvoie au paragraphe de cet article, portant sur la légitimité du clivage droite/gauche.



  • KOUINO Didier Couineau 12 avril 2007 09:33

    Je suis d’accord avec ce que dit Guy Carcassonne et opposé à ce que dit Bayrou. La réthorique de Bayrou consiste à nier l’existence de la droite et de la gauche. Mais le centre tout court, cela n’existe pas. Monsieur Bayrou était jusqu’à présent un homme de centre-droit, la radicalisation de la droite l’a poussé sur sa gauche. Cela peut conduire à la naissance d’un centre-gauche, mais l’opposition droite-gauche demeurera. Les jours de « l’extrême-centre » de Mr. Bayrou sont comptés. Il ne pourra faire illusion que quelques semaines. Au lendemain des élections présidentielles, Bayrou nommera, s’il est élu, un gouvernement auquel ne participera aucun membre significatif du PS, ni aucun membre significatif de l’UMP. Puis les législatives viendront et la vérité de la fausse posture de Bayrou apparaitra. Son parti marquera des points, certes, mais insuffisament comme le souligne Guy Carcassonne, pour qu’il forme à lui seul une majorité. La cohérence des électeurs, dont parle Monsieur Bayrou sera de favoriser la naissance d’une recomposition politique dont le centre-gauche et la gauche seront les moteurs. La majorité ainsi constituée à l’assemblée nationale obligera Mr. Bayrou à revoir sa copie et à constituer un gouvernement dont l’essentiel lui sera imposé par la gauche.

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