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  • Freebird 3 mai 2010 14:07

    Concernant la Grèce, il est facile de refaire l’histoire aujourd’hui, avec le recul. Mais quitte à mettre Paris en bouteille, allons-y jusqu’au bout et posons la question qui n’a pas encore été posée : et si la Grèce n’avait pas intégré l’euro dès sa création, en 2002, où en serait-elle aujourd’hui ? Sans doute dans une situation encore pire.


    Concernant les agences de notation, il faut, là aussi, essayer d’analyser froidement la situation. Ces agences ne sont que le messager, il ne sert donc à rien de s’en prendre à elles. Le fond du problème vient du fait que les européens ont du mal à accepter le message qu’elles nous délivrent, celui d’un monde qui change et dans lequel le poids économique et géopolitique de l’Europe décline dramatiquement, au profit de l’Asie et, dans une moindre mesure, de l’Amérique latine.

    Quant à l’Europe, je fais partie, comme l’auteur, de ceux que nous ne tarderons pas à appeler les euro-déçus. L’idée de départ était belle mais il y a clairement eu tromperie sur la marchandise au moment de la mise en oeuvre. L’élargissement de 2004, à la fois sur le fond et dans la forme, restera une erreur monumentale qui risque bien de mener à la fin pure et simple de l’UE.


  • Freebird 3 mai 2010 14:03

    C’est un peu facile d’affirmer que l’Allemagne n’a pas supporté le coût de l’intégration européenne, quand on voit les efforts qui ont été demandés aux allemands sous Schroder et maintenant Merkel. Le plan d’austérité décrété en Grèce ressemble à s’y méprendre à ce qu’à fait Schroder il y a 10 ans : baisse des salaires, notamment dans la fonction publique, assouplissement du marché du travail, mise à plat des retraites et de la Sécu. La seule différence, c’est que les allemands n’ont pas attendu d’être au bord de la faillite pour mener les réformes nécessaires ; au contraire, ils ont eu la bonne idée de faire ces réformes en pleine période de croissance. Bilan des courses : l’Allemagne est « tranquille » pour au moins 10-15 ans et peut paisiblement engranger ses milliards d’euros d’exportations sans se soucier de devoir éviter le mur qui arrive droit devant. Cela devrait servir de leçon à la France.



  • Freebird 3 mai 2010 13:42
    Un français de 39 ans, qui ne jure que par un programme vieux, lui, de 64 ans...pauvre France, embourbée dans sa nostalgie du temps jadis, incapable d’envisager le moindre changement. Qu’y a-t-il de mal à vouloir se débarrasser du programme du conseil national de la résistance ? Et depuis quand est-ce devenu un dogme inattaquable, gravé dans la pierre pour l’éternité tel l’équivalent franco-gauchiste des 10 commandements ? J’ai pour ma part 32 ans et je ne vois pas pourquoi je devrais continuer à suivre benoitement un programme politique mis en place au siècle dernier, dans les conditions très particulières de l’après-guerre qui plus est.


  • Freebird 1er avril 2010 15:24

    Voilà un poisson d’avril bien ficelé, j’ai ri du début à la fin...


    Ah, mais on me dit dans l’oreillette que cet article n’est pas une blague ; au temps pour moi. 

    Donc pour résumer, en gros, tous les pays du monde sont des paradis fiscaux comparés à la France. S’est-on seulement demandé si le problème ne viendrait pas plutôt de la fiscalité française excessive ?

    Au fait, si l’Etat est actionnaire de BNP Paribas, même sans voix au CA, il doit toucher des dividendes, non ? Avec 17% du capital, il doit toucher environ la même part des bénéfices ; il faudrait faire le calcul mais ça doit largement compenser ses « pertes » en termes d’IS (pertes très hypothétiques car les profits, donc l’IS, de la BNP seraient certainement bien moindres si la pauvre devait assumer le poids de toutes les taxes françaises).


  • Freebird 30 mars 2010 14:51

    Je voulais dire que le GIEC a un agenda politique IMPOSE par ses commanditaires, à savoir les principales puissances par le biais de l’ONU. Le fait que son rôle soit dénoncé au moment-même où la hiérarchie mondiale est bouleversée n’est d’ailleurs pas un hasard : les nouveaux venus au club des puissants (Chine, Inde notamment) ne veulent tout simplement pas cautionner cette mascarade.

    Encore une fois, je ne remet pas en question la compétence des scientifiques du GIEC ; je dis simplement qu’ils ont été placés dans des conditions (notamment le chantage aux financements publics de leurs recherches si les résultats n’allaient pas dans le sens voulu par les décideurs) qui ne leur permettent pas de faire leur travail de scientifiques du mieux qu’ils peuvent.
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