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Gilles Lévy

Gilles Lévy

Créateur d’entreprises, aujourd’hui consultant indépendant j’ai également été cadre supérieur reponsable de recherche dans un groupe céréalier.
J’accompagne la création ou reprise d’entreprise et, enseignant à l’Université d’Angers, j’interviens en formation continue dans le cadre de formations à l’entrepreneuriat.
Je suis passionné de voile et particulièrement de raids et de régates en catamaran de sport.

Curieux insatiable, j’aime partager les expériences de chacun et je porte un intérêt particulier au développement et aux défis personnels.

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  • Premier article le 10/02/2006
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Derniers commentaires



  • Gilles Lévy Gilles Lévy 17 mars 2006 16:24

    Merci pour cette réflexion pertinente. J’ai bien des exemples dans ce domaine de l’insertion de jeunes diplômés. Je vous l’aisse réfléchir à l’insertion d’un jeune titulaire d’un DEA « d’ampélologie » ! Qu’en faire ? Qu’y a-t-il derrière tout cela ? RMiste de 26 ans,Bac+5... J’ai eu le cas il y a quelques années. Nous n’étions plus alors « dans une période d’incertitude » mais dans un chaos psychologique intense. C’est en travaillant sur les compétences induites par la formation que nous avons mis en place et réussi son insertion. Je suis persuadé que le diplôme n’est qu’un passeport et seulement s’il est explicite et recouvre une réalité. Au delà, il n’indique qu’un niveau apparent et c’est en passant par le décriptage des compétences implicites et explicites, exprimées dans le référentiel de l’entreprise que nous avancerons. Le système éducatif et le supérieur en particulier n’y est pas prêt. Certains y travaillent mais, le plus souvent, ces enseignants n’ont pas eux-même la grille de lecture de l’entreprise. C’est cette passerelle qui fait défaut. Alors pourquoi pas le CPE pour permettre « à une entreprise de parier sur les aptitudes et la capacité d’apprentissage de ces jeunes » et en amont de travailler avec le corps enseignant et les jeunes en formation ? Depuis des années, je continue à oeuvrer dans ce sens, dans et hors de l’Université. Changer les états d’esprit n’est pas simple et doit s’inscrire dans le temps ! (Voir mon blog : « le doctorant et l’entreprise » ; http://gilleslevy.typepad.com/ )



  • Gilles Lévy Gilles Lévy 14 février 2006 09:36

    Merci pour cette confirmation, je reste à l’écoute de toute information sur cette question.



  • Gilles Lévy Gilles Lévy 14 février 2006 09:32

    Vous soulevez de nombreux points qui chacun demanderait un développement particulier. J’adhère, entre autre, à cette notion de période de transition plutôt que de période chômée et à la nécessité de se placer dans une dynamique positive. J’approuve également la nécessité d’une très forte capacité d’adaptation. Je vous renvoie sur ces thèmes aux travaux et nouvelles formes d’accompagnement - en formation initiale comme en formation continue - mises en place en Finlande à l’initiative de Johannes Partanen au travers de le Team Academy (http://www.tiimiakatemia.fi/en/teamacademy.php ). Les principes mis en œuvre vont au-delà de la formation à l’entrepreneuriat et préparent à ces changements et mutations de la vie professionnelle (voir : http://gilleslevy.typepad.com/gilles_levy/2005/02/team_academy_ap.html ). Vous vous interrogez sur les cycles scolaires et les choix et orientations trop précoces qu’ils impliquent. Ayant fait pendant des années de l’insertion de jeunes diplômés, je connais bien cette problématique où les réveils sont parfois brutaux et les réorientations dramatiques. Le tutorat n’est effectivement qu’une phase dans une processus plus long qui permet de construire sa vie professionnelle. La route est longue mais j’attire votre attention sur le fait qu’a l’intérieur du monde éducatif, de nombreuses initiatives ont vu le jour ces dernières années et que des enseignants, des pédagogues, et chercheurs comme des entrepreneurs (et employeurs !) travaillent de concert pour mettre en œuvre de nouveaux outils (OPPE (http://www.apce.com/index.php?type_page=I&rubrique_id=160#OPPE ), travaux 19/10/05 (http://www.apce.com/upload/fichiers/initiative_fait_ecole/compte_rendu_stra tegie_d_etablissement.pdf ). De nombreuses initiatives sous forme de concours sont proposées aux jeunes pour aiguiser leurs facultés d’adaptation et stimuler l’autonomie. Je participe à l’une de ces opérations : Les Entrepreneuriales (http://gilleslevy.typepad.com/gilles_levy/2005/09/les_entrepreneu.html ). Les résultats sont étonnants ; moins en terme d’entrepreneuriat qu’en développement personnel de ces jeunes qui, à n’en pas douter, deviendront des adultes actifs, responsables, adaptables et capables de se former tout au long de leur vie.


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